2.4.2.3. Violence.

Pour ce troisième point, c’est la catégorie de l’effraction qui est concernée, dans une référence corporelle évidente: la peau est invoquée avec les notions de brûlure, d’irritation, coupure; la méfiance intéresse le regard, l’observation prudente; les muqueuses sont attaquées par l’acidité ou l’amertume; les os sont frappés, à tout le moins commotionnés; les organes internes, systèmes digestif et respiratoire, sont également touchés par les nausées et oppressions suscitées par la rencontre. Seule, à cette étape, la sphère psychique ne résonne pas, comme absente.

La violence attaque donc notre présence corporelle, chair et os, dans toutes ses strates comme nous avons vu que cela s’était produit dans leur cas.