1.5. Boris, l’analyseur « universel ».

1.5.1. Liminaire.

Cette fin de chapitre voudrait reprendre et analyser les perspectives développées jusque là, sous l’angle de la pré-adolescence de «l’enfant-clodo". En effet, nous avons suggéré que, rien n’étant encore définitivement fixé à son âge, Boris montrait les prémisses d’une position erratique ultérieure. Notre proposition concerne ainsi les possibles sources de l’errance psychique, ses modalités défensives non encore sclérosées ou enfouies dans une a-temporalité radicale, enfin les indices discrets d’un amarrage, encore envisageable pour quitter la dérive dans les espaces infinis. Pour cette partie, il nous faudra quitter les personnages de la littérature et nous intéresser plus particulièrement aux personnes réellement rencontrées, afin de tenter une construction théorique de l’errance dans ses différents moments.