S’afficher avec les organisations savantes du patrimoine et travailler avec des organismes intergouvernementaux

Le travail d’auto-légitimation de l’Ovpm s’accompagne de stratégies de rapprochement auprès de plusieurs organisations internationales pour affirmer l’existence de l’Ovpm comme acteur savant de la mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial. Les stratégies entreprises sont principalement le fait des secrétaires généraux de l’Organisation, le maire de Québec n’y étant, au cours des années quatre-vingt-dix, impliqué que de manière très marginale. Les deux Canadiens, ayant occupé le poste de secrétaire général de l’Ovpm, ont auparavant travaillé dans des services en relations avec des organismes extérieurs au Canada et ont dirigé l’organisation d’évènements d’envergure internationale 963 . Ils disposent, avant même leur arrivée au sein de l’Ovpm, de relations personnelles avec des individus affiliés à de telles scènes ainsi que d’une bonne connaissance des organismes qui participent à la mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial. Ils se sont évertués, depuis 1993, à mobiliser, à établir et à justifier une confiance ainsi qu’à consolider des partenariats avec les fondations et avec diverses organisations internationales : l’Unesco, l’Icomos, l’Iccrom ou encore l’Icom, mais également la Banque Mondiale, le Conseil de l’Europe et les grandes fondations nord-américaines œuvrant pour la protection du patrimoine. Ces partenariats revêtent différentes formes selon les caractéristiques des organisations concernées et selon les accès dont disposent les salariés de l’Ovpm 964 .

Marcel Junius en est nommé secrétaire général en 1993 juste après qu’il a organisé un congrès international de l’Icom. Architecte de formation, spécialiste de la protection du patrimoine culturel, cet individu réussit à établir une confiance réciproque avec les principaux dirigeants de l’Icom, de l’Iccrom et de l’Icomos auxquels il « vend », selon ses termes, les possibilités que représente l’Ovpm en termes de « diffusion des normes internationales et de déclinaison des grandes actions » 965 pensées dans le cadre de l’Unesco. Fort de leur soutien, il s’appuie ensuite sur la notoriété de ces organismes pour obtenir quelques financements de la Banque Mondiale, puis progressivement des subventions plus substantielles de la part de fondations nord-américaines. Son successeur procède de même et développe principalement des partenariats avec les fondations américaines, il est d’abord à la recherche de fonds pour l’Organisation 966 . Les soutiens en termes de savoir et de savoir-faire de la part des organismes reconnus par la Convention du patrimoine mondial sont systématiquement mis en évidence lors des manifestations officielles de l’Organisation. L’élaboration du contenu, lors des congrès, d’un atelier traitant spécifiquement de la gestion quotidienne de tels sites et visant à sensibiliser les « élus entrés les plus récemment dans le club » 967 est réalisé par d’éminents adhérents de tels organismes 968 . Depuis 1995, une séquence des congrès de l’Ovpm est consacrée au Iccrom workshop au cours duquel un représentant de l’Iccrom vient exposer des méthodes et des théories relatives à un problème spécifique 969 . La présence de ces savants du patrimoine indique que les questions de la conservation et de la protection demeurent posées et présentes dans les thématiques de l’Organisation ; elles y sont toutefois présentées de manière un peu différente des déclinaisons réalisées dans le cadre de l’Iccrom ou de l’Icomos. Les principaux problèmes traités sont, outre la valorisation (notamment touristique) du patrimoine, la gestion des déchets, celle des flux touristiques ou encore la proximité touristes-habitants. Depuis quelques années en outre, les conférences ne s’adressent plus à l’ensemble des congressistes. Des ateliers spécifiques en fonction des besoins, identifiés par les salariés de l’Ovpm, sont construits qui pour les employés municipaux, qui pour les élus déjà sensibilisés, qui pour les nouveaux adhérents de l’Ovpm 970 , etc. Le chargé de mission site historique de Lyon relate, en entretien, cette division entre élus et agents, d’où il ressort un manque à gagner dans la coopération entre ces acteurs et un glissement par rapport aux objectifs initiaux qui visaient à construire du savoir et de la connaissance en situation, lors des congrès :

‘« Bon l’Ovpm, nous sommes donc allés à Rhodes avec P. Béghain et il y avait trois types de conférences, celles du personnels politiques, celle des techniciens et celles des experts, je trouve cela finalement un peu dommage que les gens ne soient pas plus mélangés et surtout nous aurions eu des choses à dire vraiment, à montrer, mais c’est plutôt un lieux où on nous dit, où des gens parlent… (…) Mais c’est quand même une grosse usine à gaz et il y a de gros problèmes entre l’Ovpm et le Centre du patrimoine mondial. Donc nous nous travaillons pour essayer de les ramener ensemble, sinon cela ne sert à rien. L’Ovpm est un réseau assez formel et les questions de patrimoine ne sont pas abordées comme nous le faisons à Lyon, donc nous avons quand même pisté quelques villes qui effectivement ont des stratégies similaires aux nôtres et c’est pour cela que nous allons essayer de monter ce groupe de travail à partir du bureau régional de Cordoue » 971

Ce groupe de travail viserait à représenter les intérêts particuliers aux villes du patrimoine mondial situées dans le sud de l’Europe. La question de la création d’un tel groupe témoigne de la diversité des intérêts des municipalités adhérentes ainsi que des difficultés de représentation au sein de l’Ovpm. Les propos précédents soulignent également le fait que les congrès de l’Ovpm visent davantage à donner connaissance d’un acteur à même de soutenir les municipalités, de leur expliquer comment construire des actions publiques portant sur la valorisation du patrimoine mondial et de se porter volontaire pour aider les agents municipaux dans leurs démarches. Les salariés et les dirigeants de l’Organisation présentent alors leurs activités comme nécessaires aux municipalités urbaines. Les congrès de l’Ovpm constituent ainsi, depuis quelques années, des lieux où un savoir et, éventuellement un savoir-faire, sont énoncés et présentés, plus que discutés et co-construits par la confrontation des différentes pratiques. Peu de discussions visent à expliciter les intérêts des municipalités urbaines, à construire les discours que les dirigeants de l’Ovpm pourraient porter auprès de l’Unesco, de l’Icomos ou encore des Etats. L’analyse des collaborations recherchées par les dirigeants de l’Ovpm laisse apparaître une organisation se présentant davantage comme un relais potentiel des organisations internationales auprès des administrations municipales. Les dirigeants de l’Ovpm se targuent aujourd’hui de la « force incontestable » 972 dont disposerait l’Ovpm dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial. Cette force résiderait dans les moyens matériels et humains que l’Organisation pourrait aisément obtenir : la collaboration d’organismes internationaux reconnus et les travaux communs avec des agents des administrations municipales (cf. infra). Les actions, régulièrement renouvelées, menées en collaboration avec le Programme Getty Grant, le Global Heritage Fund, le World Monument Fund, le Aga Khan Trust for Culture, l’Agence canadienne de développement international ou encore la Norwegian Agency for development Cooperation assureraient aux dirigeants et aux adhérents de l’Ovpm un accès à un savoir portant sur le patrimoine et sa gestion reconnu par les principales scènes affiliées à l’espace transnational. Les salariés de l’Ovpm seraient à même de mobiliser des acteurs et d’obtenir des financements en provenance d’organisations partenaires, de se déployer sur d’autres scènes, certaines étant auparavant déjà affiliées à l’espace transnational du patrimoine mondial, d’autres, comme les fondations, développant des programmes d’action sans véritable coordination avec cet espace et d’autres enfin, tels que la Banque Mondiale, demeurant très éloignées de ces thématiques. Ces collaborations, dont le secrétaire général de l’Ovpm reste le principal vecteur, sont finalement davantage appuyées sur des relations interpersonnelles que sur la défense, auprès de tels organismes, des intérêts spécifiques aux municipalités urbaines par une organisation transnationale parlant en leur nom.

Le secrétaire général de l’Ovpm se dit aujourd’hui satisfait de son travail : il estime avoir réussi à imposer l’Ovpm comme un partenaire potentiel des grandes organisations internationales s’intéressant au patrimoine, à sa protection et à sa valorisation, comme un acteur détenant un savoir et un savoir-faire spécifique. Enfin, il pense que les travaux de l’Ovpm exercent une certaine influence sur les administrations urbaines. De fait, il est régulièrement invité aux manifestations officielles (congrès, colloques, réunions de travail) de l’Unesco, de l’Iccrom, du Programme Getty Grant ou encore du Global Heritage Fund. Il participe également de façon assez régulière aux débats relatifs au patrimoine dans le cadre du Conseil de l’Europe ou encore à la Banque mondiale. Fin connaisseur du fonctionnement de telles institutions, le secrétaire général de l’Ovpm dit y défendre « les intérêts et les particularités des villes du patrimoine mondial » 973 .

A travers l’affichage de collaborations avec des organisations développant un savoir reconnu sur l’objet patrimoine, collaborations auxquelles participent l’Ovpm, le secrétaire général de l’Ovpm réussit à présenter l’Organisation comme un partenaire intéressant et important pour les agents de l’Unesco ou d’autres organismes intergouvernementaux dont les approches du patrimoine ne sont pas principalement dominées par une représentation culturelle de cet objet (le Conseil de l’Europe par exemple). Des représentations économiques et sociales du patrimoine sont ainsi diffusées et les travaux de l’Ovpm recueillent rapidement l’intérêt des agents de l’Unesco (Centre du patrimoine mondial, Secteur de l’Education notamment) comme en témoigne le récit de cet agent :

‘« L’Ovpm est un bon truc pour nous, ils ont de l’argent, beaucoup, alors que nous n’avons rien et ils réussissent à peu près à faire travailler les villes ensemble ; donc, c’est sûr quand on peut passer par eux, on le fait… Le problème reste toutefois de ne pas froisser les Etats… ou d’autres partenaires ! » 974

L’enthousiasme pour l’Ovpm manifesté par cet agent de l’Unesco est loin d’être partagé par les acteurs aux profils multiples qui traversent l’espace transnational du patrimoine mondial. Les adhérents de l’Icomos international, en particulier, sont nombreux, à l’image de ceux de Québec, à émettre des réserves, voire des discours hostiles au développement de partenariats avec l’Ovpm et à son insertion dans la configuration d’acteurs assurant la mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial. Ces acteurs évoquent généralement le manque de connaissances et de compétences de l’Ovpm, la dépendance trop grande aux élus des villes et, enfin, l’affichage trop important d’actions en faveur de la valorisation du patrimoine mondial qui, selon eux, « dénature complètement l’idée de la Convention du patrimoine mondial » 975 . Il serait trop aventureux de lier les réticences de tels acteurs vis-à-vis de l’Ovpm et la mise à l’écart de celle-ci de la procédure d’inscription de biens sur la Liste du patrimoine mondial. De fait, aucun élément lors de l’analyse des principales activités de l’Ovpm ou à travers les récits de ses secrétaires généraux ou de ses pères fondateurs ne permettent d’affirmer que des velléités de prendre part à la procédure d’inscription se sont fait jour. La réponse du premier secrétaire général de l’Ovpm à la question d’une éventuelle participation du réseau de villes dans la procédure d’inscription apparaît sans ambiguïté et laisse à nouveau voir l’absence, du moins jusqu’à présent, de lobbying de l’Organisation dans la définition même du patrimoine mondial :

‘« Non, les règles d’inscription relèvent de l’Unesco et il faut leur laisser cela. Je ne me suis jamais immiscé la dedans et je crois que l’Ovpm ne s’y immiscera pas. Ce sont des règles des Etats membres, ce que nous disons, c’est que pour favoriser les programmes dans les villes… » 976

Les récits soulignant les ambitions de participation émanant de l’Ovpm proviennent d’adhérents de l’Icomos international, visiblement soucieux du rayonnement et de la notoriété qu’acquiert progressivement l’Organisation des villes du patrimoine mondial 977 . Ils sont également nourris des tensions qui traversent l’Icomos international (cf. partie II) ainsi que des difficultés rencontrées par le premier secrétaire général de l’Ovpm pour structurer au plan international cette organisation et des problèmes liés à l’émergence d’un nouvel acteur qui tente de s’imposer dans l’espace transnational. Le premier secrétaire général de l’Ovpm revient, en entretien, sur ces tensions, d’où il ressort que les relations interpersonnelles sont déterminantes :

‘« (…) il faut dire que le centre du patrimoine mondial qui est établi à l’Unesco avait lui une auréole internationale, mondiale, sur toutes les villes, sur les sites naturels et sur les monuments qu’ils soient n’importe où. Or de leur assemblée, on tirait les villes et pour les villes, ce n’était pas des ruines pour nous, mais c’était des parties habitées, c’était des architectures habitées. Alors là on a tiré les villes et eux disaient qu’on venait jouer dans leurs plate bande. (…) L’Unesco faisait appel à nous à l’occasion et puis il y a eu des contacts, cela dépend aussi des personnes qui là, moi j’ai eu le premier directeur du patrimoine et ce n’était pas drôle et puis maintenant avec Francesco cela va beaucoup mieux, mais Van Drost au début c’était très difficile, c’était un empereur et il voyait en moi un autre empereur et c’était des conflits, pas des conflits de personnalité, on a des bonnes photos ensemble et on sourit beaucoup, mais on sait très bien que chacun voulait gagner la partie. (…) C’était de dire, nous contrôlons tout et vous arriver et vous faites une brèche, si bien que les villes se rapporte à vous directement et vous avez toutes les villes ensemble et moi, je les ai un peu moins. » 978

De tels propos témoignent également de la mise en concurrence des légitimités d’action des différents organismes, chacun tentant de conserver un certain monopole d’intervention et de maîtriser les activités des autres. De fait, l’analyse des entretiens recueillis montre que les dirigeants et les salariés de l’Icomos international s’accordent une plus grande légitimité d’intervention dans des actions portant sur le patrimoine parce qu’ils sont partie prenante de la fabrique de la Liste du patrimoine mondial 979 , les adhérents de l’Ovpm ne bénéficiant pas de ce type de légitimité. Aussi, tous les propos portant sur la légitimité d’action de l’Ovpm lient-ils cette dernière à la présence des maires et des hommes politiques municipaux 980 , comme les propos de l’actuel secrétaire général de l’Ovpm en témoignent :

‘« L’Icomos c’est différent, je dirais que si on compare l’Ovpm, l’Iccrom et l’Icomos et comme toute comparaison c’est certainement boiteux ce que je vais vous dire, l’Iccrom est composé de spécialistes au patrimoine, des gens forts qui s’y connaissent en patrimoine, des scientifiques, des professeurs d’université, etc. L’Icomos est composé d’amoureux du patrimoine, des gens qui chacun dans leur ville, dans leur pays font partie de leur regroupement Icomos, ce ne sont pas nécessairement des spécialistes, ce ne sont pas nécessairement des gens qui travaillent dans le domaine du patrimoine, mais qui sont membres avec une petite cotisation. Et il y a l’Ovpm qui est composé de ceux qui ont le pouvoir de l’implanter. Il peut y avoir de très bonnes idées, c’est l’Iccrom, il peut y avoir de très bonne intention, c’est l’Icomos, mais si vous voulez concrétiser quelque chose, c’est au niveau des élus que cela se fait par le biais des maires et des spécialistes urbains. Mais je ne veux pas en disant cela dénigrer l’une ou l’autre ; Nous avons besoin des deux autres. Plus une ville est sensibilisée et là c’est l’Icomos, plus le maire est à même d’implanter des projets à caractère patrimonial. Plus il va vouloir le faire, plus il aura besoin de l’Iccrom. Donc c’est un tout. » 981

Le discours précédent donne à voir quelques tensions et luttes d’influence engendrées par la création d’une telle structure au sein de l’espace transnational de circulation. Les conditions initiales de la création de l’Ovpm et les imbrications possibles avec les scènes déjà structurées et affiliées à l’espace transnational du patrimoine mondial ont de fait contribué à orienter les contenus des programmes d’actions des uns et des autres, en particulier ceux de la jeune Ovpm alors en train de se définir. La prédominance de la logique de représentation au sein de l’Ovpm provient de conflits et d’apprentissages avec ces autres scènes, de négociations et de renégociations des prérogatives et des actions des différents partenaires. Reste qu’en insistant ainsi sur une légitimation par le politique, les permanents de l’Ovpm, comme les membres de son Conseil d’administration, s’interdisent tout droit de regard sur l’élaboration et la mise en œuvre d’action portant sur le patrimoine urbain et menée par les villes adhérant à l’organisme. Le secrétaire général de l’Ovpm revient, en entretien, sur les raisons pour lesquelles ni lui, ni les membres du conseil d’administration de l’organisme ne sont intervenus lors des conflits autour du patrimoine mondial à Québec (cf. infra) :

‘« J’imagine qu’en étant présent à Québec, au moment des grandes discussions sur le vieux port…’ ‘On n’intervient pas, on s’y refuse. Le jour où nous ferons cela, nous tuerons l’organisation très rapidement, parce qu’aujourd’hui si l’organisation à laquelle vous appartenez comme maire, je vous critique, la prochaine fois, c’est peut-être moi qui serais critiqué et vous ne serez pas tenté de renouveler votre cotisation, moi non plus, etc. On ne prend pas de position, pour la première raison, c’est que nous ne sommes pas en mesure d’évaluer. Je n’ai pas des gens ici qui courent aux quatre coins du monde pour dire : un groupe de citoyens conteste et c’est fondé. » 982

Ces propos présentent une certaine contradiction avec l’affichage officiel d’un savoir propre au réseau de villes. Ils soulignent, en outre, un certain assujettissement de l’Ovpm aux élus municipaux. Cette section invite à penser que l’Ovpm promeut bien davantage un usage politique du label international qu’elle ne participe à la constitution et à la diffusion de la connaissance et du savoir relatif au patrimoine mondial. Reste alors à savoir ce qui circule auprès des congressistes lors des colloques des villes du patrimoine mondial.

Notes
963.

 Marcel Junius a piloté l’organisation du congrès international de l’Icom tenu à Québec (Canada) du 19 au 26 septembre 1992 sur le thème Musées : Y a-t-il des limites ? ; Denis Ricard a coordonné l’organisation du troisième Sommet des Amériques à Québec en avril 2001, il s’agit du rassemblement des trente-quatre chefs de gouvernement démocratiquement élus de l’Amérique du Nord, de l’Amérique Centrale, de l’Amérique du Sud et des Caraïbes.

964.

Ces observations résultent des entretiens menés auprès de Michel Bonnette (employé municipal présent au sein de la Division du Vieux Québec lors de l’élaboration des dossiers de candidature de l’Arrondissement historique de Québec, 10 janvier 2003), Marcel Junius (premier secrétaire général de l’Ovpm de 1993 à 1998, 23 mars 2004), Denis Ricard (secrétaire général de l’Ovpm depuis 1998, 23 mars 2004) et Chantal Emond (conseillère à la mise en valeur du patrimoine – Ville de Québec, 11 mars 2004).

965.

Entretien avec Marcel Junius, premier secrétaire général de l’Ovpm de 1993 à 1998, 23 mars 2004.

966.

Entretien avec Denis Ricard, secrétaire général de l’Ovpm depuis 1998, 23 mars 2004. L’arrivée de Denis Ricard au poste de secrétaire général de l’Ovpm correspond à la fin des subventions des gouvernements canadien et québécois.

967.

Idem.

968.

 Pour ne citer que quelques exemples : Whalen (Timothy P.), « Architectural Conservation Grants », dans Ovpm, Actes du 2ème colloque des villes du patrimoine mondial « Le financement des opérations de mise en valeur des villes du patrimoine mondial : pour qui, par qui, comment ? », Fès, 6-8 septembre 1993, p. 69-75 ; Descamps (Françoise), Hardy (Mary), Arauz (Maria Isaura), « Risk preparedness and emergency response in el Salvador, 2001 », dans Ovpm, Actes du 6ème colloque des villes du patrimoine mondial « Mesures de prévention et protection des villes du patrimoine mondial en cas de désastres », Puebla 3-5 octobre 2001, p. 141-146.

969.

Voir : Jokilehto (Jukka), « La sauvegarde des villes du patrimoine mondial », dans Ovpm, Actes du 3ème colloque des villes du patrimoine mondial « La communication – Comment communiquer et échanger des connaissances, en tenant compte des diversités culturelles et linguistiques et des particularités régionales », Bergen, 28-30 juin 1995, p. 230-238 ; Stovel (Herb), « Iccrom and Owhc : looking for new ways to collaborate in strenghtening the management capacities of World Heritage Cities conservation authorities », dans Ovpm, Actes du 5ème colloque des villes du patrimoine mondial « L’innovation dans la gestion des villes du patrimoine mondial », Saint Jacques de Compostelle, 20-24 octobre 1999, p. 197-199 ; Stovel (Herb), « Iccrom Workshop », dans Ovpm, Actes du 6ème colloque des villes du patrimoine mondial « Mesures de prévention et protection des villes du patrimoine mondial en cas de désastres », Puebla 3-5 octobre 2001, p. 47-50.

970.

 Entretien avec Denis Ricard, secrétaire général de l’Ovpm depuis 1998, 23 mars 2004. Voir également l’organisation du 7ème congrès de l’Ovpm : Ovpm « La participation des citoyens dans la gestion et la mise en valeur de l’arrondissement historique de Vieux Québec », Actes du 7 ème Colloque international des villes du patrimoine mondial, « Garder le patrimoine vivant. Eduquer et former en vue de la préservation et de la gestion du patrimoine culturel », Rhodes, 24-26 septembre 2003.

971.

Entretien avec Bruno Delas, chargé de mission site historique – Ville de Lyon, 7 janvier 2004.

972.

Entretien avec Denis Ricard, secrétaire général de l’Ovpm depuis 1998, 23 mars 2004.

973.

Entretien avec Denis Ricard, secrétaire général de l’Ovpm depuis 1998, 18 mars 2003.

974.

 Entretien avec Emmanuel Robert, agent du Centre du patrimoine mondial – division Europe, 10 juin 2004.

975.

Entretien avec Françoise Pitras, salariée de Icomos France, 5 décembre 2003.

976.

Entretien avec Marcel Junius, premier secrétaire général de l’Ovpm de 1993 à 1998, 23 mars 2004.

977.

Voir les entretiens réalisés auprès de Régina Durighello (Directrice du programme patrimoine mondial – Icomos International, 19 décembre 2003), de Dinu Bumbaru (Président de Heritage Montréal, membre du comité francophone de Icomos Canada et secrétaire général de l’Icomos international, 5 mars 2004), d’Olivier Poisson (Inspecteur général des Monuments Historiques, DAPA – Ministère de la Culture, 05 janvier 2004), ou encore de Françoise Pitras (salariée de Icomos France, 5 décembre 2003)

978.

Idem.

979.

Voir ainsi les entretiens menés auprès de Régina Durighello (Directrice du programme patrimoine mondial – Icomos International, 19 décembre 2003), de Michel Bonnette (employé municipal (Division du Vieux Québec) lors de l’inscription de l’Arrondissement historique, 9 mars 2004), de Dinu Bumbaru (Président de Heritage Montréal, membre du comité francophone de Icomos Canada et secrétaire général de l’Icomos international, 5 mars 2004) ou encore de Françoise Pitras (salariée de Icomos France, 5 décembre 2003).

980.

Voir notamment les allocutions d’ouvertures des congrès de l’Ovpm par exemple celle de Fédérico Mayor, de Jean-Paul L’allier et de Med Abdellah Al-Hammad, dans Ovpm, Actes du 2 ème colloque des villes du patrimoine mondial « Le financement des opérations de mise en valeur des villes du patrimoine mondial : pour qui, par qui, comment ? », Fès, 6-8 septembre 1993.

981.

Entretien avec Denis Ricard, secrétaire général de l’Ovpm depuis 1998, 23 mars 2004.

982.

Entretien avec Denis Ricard, secrétaire général de l’Ovpm, 18 mars 2003.