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Il aura fallu quatorze années au total, pour que je mène à bien ce travail - de façon discontinue. Mes proches auront subi au quotidien les contraintes de cette charge. Je leur en sais gré.
Au long de ce parcours chaotique, nombreux sont ceux qui m’ont aidé, soutenu, ou encouragé, à divers titres - notamment sur le terrain, dans la phase de collecte des données. Que tous soient ici remerciés.
- A Dijon, Lyon, et Besançon / Lons-le-Saunier :
Jean-François Reynaud bien sûr ;
Christian Sapin, qui m’aura le premier, il y a bien longtemps, incité à reprendre l’étude de quelques bâtiments médiévaux de Tournus... ;
Georges-Noël Lambert, et toute l’équipe du laboratoire de dendrochronologie de Besançon ;
Luc Françoise dit Miret, pendant des années ingénieur au service régional de l’archéologie de Bourgogne ;
mais aussi, de nombreux collègues et amis, prêtant main-forte avec humour, astuce et disponibilité, parfois dans un cadre professionnel, souvent bénévolement, ou les deux à la fois - et sans qui je n’aurais pu mener à bien le travail de terrain, les dessins, ou les études de mobilier :
- pour les dessins, relevés et études de mobilier : Olivier Juffard (dont le nom figure au bas de la plupart des relevés...), Carlos Castillo, Philippe Gerbet, Emmanuel Poil, Yves Petident, Sylvie Mouton, Cécile Frémyot, Patrick Noguès, Pascale Sarazin, Stéphane Venault, Arnaud Rémy, et Gilles Fèvre ;
- pour un peu tout : Christine Canat, Carole Lallet, Jean-Paul Garreau, Isabelle Munsch... et toute la sympathique équipe de bénévoles de la fouille de 1994 à l’emplacement de la cuisine de l’abbaye
- A Tournus,
rien n’aurait été possible sans l’accueil chaleureux, le soutien énergique, la disponibilité ou l’aide matérielle, à différents niveaux, d’un certain nombre de personnes :
Marguerite Thibert, dynamique secrétaire du Centre International d’Etudes Romanes ;
Jean Duriaud, et le Groupe de Recherches Archéologiques du Tournugeois qu’il anime - dont plusieurs membres ont participé bénévolement à la fouille de 1994 à l’abbaye (parmi lesquels Christian Berthaud, actif également sur la fouille de 1994 au Castrum, 18 - 19, quai du Midi ; Matthieu Rué quant à lui, a continué à suivre les travaux en ville ces dernières années, en me tenant toujours informé) ;
Anne-Françoise Pataille, directrice pendant des années de la bibliothèque municipale - aux locaux stratégiquement situés dans la cour du cloître de l‘abbaye - ainsi que toute l’équipe de la bibliothèque ;
l’abbé Bachelet, longtemps curé de Saint-Philibert ;
Giuseppe Sorrentino, propriétaire des maisons 10, et 12, rue de la République, mais qui nous a rendu aussi bien des services ;
Monsieur et Madame Picard - qui m’ont, entre autres, fait visité plusieurs maisons du quartier de l’ancien castrum, et tous les habitants qui m’ont ouvert leurs portes ;
Christelle Rochette et Clémence Poivet, successivement conservatrices du musée Greuze ;
Pierre Raynaud, architecte ;
La Société des Amis des Arts et des Sciences de Tournus et ses présidents successifs, M. de Divonne et M. Dassonville ;
Mme Nicot, Mme Ramel, et Mme Lauby ;
la ville de Tournus bien sûr, avec ses services techniques et en particulier MM. Vaux et Chavy ;
Les propriétaires de maisons où j’ai eu la possibilité de faire des relevés ou des sondages, à l’abbaye ou à travers la ville :
M. et Mme Bouvet (†), M. et Mme Chopin, M. Chauzy, Mme Dabrowska, M. Dolweck, M. (†) et Mme Dumont, M. et Mme Fauconnier, M. Gasquet, M. Guinard (†), M. Sorrentino.
- A Gissey-sous-Flavigny (Côte-d’Or) :
M. Guéritte, propriétaire (et en partie, dessinateur) de la « tour-saule », dont il est question à plusieurs reprises dans cette étude.
Enfin, je remercie l’Institut National de Recherches Archéologiques Préventives (INRAP), qui m’emploie depuis plusieurs années, de m’avoir octroyé un congé de recherche de 5 mois, me permettant enfin d’achever cet ouvrage, en 2005.