Annexes

Annexe 1 : Echelle globale des niveaux communs de competences

Annexe 2 : Transcription de l’interview d’une étudiante française et le bulletin de l’école qu’elle présente

  • Q1 : Est-ce que vous pouvez vous présenter d’abord ?

R1 : Oui. Je m’appelle Anne, j’ai 25 ans, et je suis actuellement à une formation à l’Université de la Mode de Lyon 2. Donc je suis en DUERM, c’est un diplôme universitaire en recherche de mode, qui est équivalent à Maîtrise, donc Bac + 4, et qui propose une formation en Histoire de la mode, en Marketing, en Sémiologie, en Communication et en Anglais, et qui inclue un mémoire de fin d’étude à réaliser pendant l’année, avec une soutenance en septembre.

  • Q2 : Pourquoi avez-vous choisi ce métier ?

R2 : Parce que c’est un métier passion et que j’adore tout ce qui est artistique, et la mode est fait partie, donc de ce tout artistique, je peinds pour moi-même, je fais beaucoup de poteries, et je crois que dans les vêtements on peut vraiment se libérer au niveau de la création et faire des choses intéressantes surtout dans le contexte actuel.

  • Q3 : Quelles études avez-vous suivies avant ce Master ?

R3 : Alors j’ai démarré mes études par un Deug d’Art plastique à l’Université de St. Etienne, donc il donait une formation en peinture, graphisme, dessin, photographie, histoire de l’art et esthètique, qui est très intéressant. Comme je ne voulais pas particulièrement finir professeur d’art plastique ou conservateur de musée, j’ai choisi de me rediriger après dans le stylisme. J’ai donc fait un BTS de stylisme à Lyon, à la suite de quoi j’ai décidé de faire une Licence professionnelle que l’Université de la Mode de Lyon 2 propose. En fait, c’est une formation donc sur PhotoShop et Illustrateur qui sont deux logiciels qu’on utilise partout dans les bureaux de style aujourd’hui, et qui sont très demandés donc par les entreprises, donc j’ai ravie de me maîtriser ces logiciels en plus. Cette année j’avais envie de faire la recherche un peu plus approfondie en mode, donc j’ai choisi de faire le DUERM à l’université de la Mode de Lyon.

  • Q4 : Comme ça s’est passé, votre entretien avant l’admission à cette université ?

R4 : Alors, il y avait un jury de trois personnes : Natine Gelas qui est la directrice de l’Université de la Mode, Martine Villon qui est professeur dissteur de la Mode, et une personne venant d’un cabinet de style de Paris, dont je mesure pas le nom. Simplement ça a duré un quatre d’heure, donc ils ont d’abord voulu savoir quelles étaient mes motivations, pourquoi est-ce que je voulais faire le DUERM, en suite savoir sur quoi est-ce que je pensais faire mon mémoire, quel serait le thème, la ligne directrice, et puis ils étaient très contents aussi de savoir que j’avais fait la Licence professionnelle puisque c’est l’Université de la Mode qui le propose et il y a notamment un concours qui est organisé pendant cette Licence, un concours de jeunes créateurs que j’ai fait, en fait, j’ai gagné le premier prix, donc ils ont voulu un petit peu savoir quel était la marque que j’avais décrigné, proposé, quelles étaient les vêtements, quelles étaient les conceptes, en fait, de la ligne qui avait fait que j’avais gagné. Voilà.

  • Q5 : Est-ce que vous pouvez nous expliquer généralement l’organisation de l’ensemble de votre formation ?

R5 : Alors, [...] on a plusieurs cours. Donc en Histoire de la Mode, on a eu deux professeurs qui se sont alternées pendant l’année, et qui ont pallié en fait l’histoire de la mode d’aussi bien de l’antiquité jusqu’à nos jours en fait. Donc c’est assez large, c’est très rich, il y a beaucoup d’informations, mais c’est très intéressant. Donc pour cette matière, on a une prof en milieu d’année, en janvier à peu près, une prof de connaissance vraiment, c’est des questions de cours, des questions d’histoire. Et à la fin on a un examen de deux heures, et là, c’est plutôt une dissertation, donc c’est la laisse un peu plus libre le cours à ce qu’on a envie de dire. Ensuite on a un cours de Marketing, toutes les semaines, fin, deux fois, deux semaines par mois. Donc la prof nous a appris les bases du marketing, les stratégiques du marketing direct, de la vente, donc on a fait un peu de marchantising aussi. Ce qui est intéressant, c’est on a eu un cas concret à faire pendant deux mois, avec un group d’étudiants, fin, de notre calsse : on se divise en plusieurs groups. Donc c’était un cas sur un parfum Hermes, donc nous a permis de travailler vraiment concrètement le cours. Puis à la fin de l’année, en juin, on a également eu un examen de trois heures avec différentes épreuves, mais qui portaient plus sur le cours.

  • Q6 : Est-ce que vous pouvez nous raconter plus concrètement une séance en particulier ?

R6 : Alors une séance en particulier, par exemple, en Hisoire de l’art. Ce qui est très bien, c’est que la professeur qui parle appuye son cours sur des diapositives. Donc en même temps qu’elle nous explique, par exmple, les tenues Louis XIV, les pagnes, les , ces genres de choses, on peut voir en même temps des diapositives avec des dessins, des croquis de l’époque, des peintures, aussi des tableaux qui présentent ces robes. Donc c’est intéressant pour nous, elle parle pas dans la vague, en fait, elle nous montre, et on peut visualiser vraiment ce dont elle parle.

  • Q7 : Comment avez-vous trouver votre stage ?

R7 : Alors cette année j’ai fait un stage avec le Marché de la mode Vintage qui est organisé par l’Université de la Mode de Lyon 2, et qui clôture la Semaine de la mode. Donc la Semaine de la mode est aussi organisée par l’Université de la Mode, en particulier par les élèves de DESS, et donc le Marché de la mode vient clôturer, c’est la dernière activité de la Semaine. Donc j’ai travaillé la page, je me suis occupée de toute la communication, j’ai fait les publicités, des encarts publicitaires aussi qui sont apparu dans des journaux comme Lyon Capital. J’ai supervisé une équipe de jeunes étudiants qui ont distribué des fleuieurs pour faire connaître le Marché dans Lyon. Je me suis occupée aussi de customésier des smarts qui ont circulé dans Lyon pour faire la promotion du Marché. C’est très intensif, mais très intéressant.

  • Q8 : J’ai trouvé cette publication à votre Centre de Documentation. Est-ce que vous la connaissez ?

R8 : Vous voulez parler du « Question de Mode » ? Oui. C’est un petit éditorial qui fait A3 recto-verso, qui est publié depuis cette année, depuis octobre je crois qui est apparu le Numéro 1. Publié par l’Université de la Mode, fait par des professeurs, donc Natine Gelas, Martine Villelongue, ce genre de personnes qui parlent de l’actualité, en fait, de la mode à Lyon. Donc c’est un édito, oui, qu’il propose toutes les activités, les expositions, le Café, tout ce qui a un rapport avec la mode.

  • Q9 : Est-ce que vous pouvez nous expliquer en détail ce No. 2 de 2005 ?

R9 : Alors, donc, ce « Question de Mode » No. 2 est composé d’un édito, donc rédigé par Nadine Gelas, qui est la directrice de l’Université de la Mode de Lyon 2 et Martine Villelongue qui est professeur de l’Histoire de la mode. Ensuite, on nous propose le progamme de la Semaine de la Mode de cette année, de 2005, qui avais porté manitique « En mode, Pin-up ! », donc qui révisait toutes les « Pin-ups » des années 50, 60, après la libération de la guerre. Donc il y a un article qui est en plus, on a tout le programme, le détail du programme de la Semaine, avec donc « les ateliers de re-looking » qui ont lieu à la Part-Dieu, avec la programmation du cinéma lumière qui porte surtout la Semaine, mais qui propose des filmes de l’époque, donc c’est très intéressant. Les défilés qui ont lieu, qui sont organisées par les étudiants du DESS. Donc c’est eux qui trouvent les créateurs, qui prètent leurs tenues pour les défilés. C’est eux qui font habilleures, c’est eux qui doivent diriger les mannequins. Bon, ils organisent tout en fait, ils choisissent la musique, vraiment ... . On a le programme aussi des soirée spectacles. Et puis on a un article après lorsqu’on ouvre la « Question de Mode ». On a un article sur le Marché de la Mode Vintage qui clôture justement la Semaine de la Mode. En fait, on peut lire une interview de Marie-Christine Parouty qui est la personne en fait, qui est en charge le Marché de la Mode. Moi, Je n’étais qu’une stagière, c’était elle, ma directrice, qui m’a dit tout ce que j’avais à faire, qui m’a appuyé, qui m’a permis de travailler dans les meilleures dispositions qu’il soit. Donc voilà, dans cet article elle raconte un petit peu comment est-ce que le marché se met en place cette année, qu’on essaie un petit peu de travailler avec l’étranger aussi. Ensuite on a un petit article sur Gilles Lipovetsky, qui est un philosophe et sociologue, et qui est venu faire un conférence à Lyon, donc sur « les temps hypermodernes », et normalement, notamment sur la mode aujourd-hui. Ensuite on a un article qui présent le « Panorama du livre de mode », qui est aussi organisé par les étudiants de DESS, donc c’est un prix qui est remis à un auteur de livre de mode parmis toute une liste, donc on peut voire la liste de préselection sur la droite. Donc les étudiants de DESS partagent la lecture de ces livres, et discutent entre eux pour savoir quel est vraiment le live le plus innévateur ou celui dont on n’a plus de besoins en ce moment, quel est le livre le plus intéressant. Et donc il y a une remise de prix à ce moment-là. Ensuite on a un article sur une étudiante de DUERM, Evane, qui travaille au Tube à Essai, et qui a travaillé aussi avec nous en étroite collaboration pour la Marché de la Mode Vintage, puisqu’elle devait recruter un maximun de créateurs, de jeunes créateurs qui retravaillent le vintage, ou qui ont pour base le vintage, qui ont donc un lien avec le Marché de la mode, puisque au Marché de la mode on avait effectivement un carreau réservé uniquement aux jeunes créateurs. Sur la dernière page, on a ce qu’on appelle « l’agenda », avec les dernières expositions, le café de la mode qui va avoir lieu, tout en fait l’actualité, en vrai que je dirais avec juste l’essentiel des informations pour ces activités.Voilà.

Extrait d’Un cadre européen commun de référence pour les langues : apprendre, enseigner, évaluer. Strasbourg. 2000. pp. 25.