C. Pensée, ironie, défi du maître de la mort

Ainsi, le parcours de ‘cette pensée’, qui a accompagné l’abbé Donissan dans toute sa vie sacerdotale en le menant sur de fausses pistes depuis la nuit du Noël et qui sera identifiée définitivement à ‘l’affreuse pensée’ à la dernière page du roman, se dévoile dans l’oeil de l’enfant comme une ‘ironie’. Sous la figure de l’‘ironie’, le curé de Lumbres reconnaît finalement le véritable inspirateur de ‘cette pensée’ : Satan qui le défie.