III.1. Examen graphique des résidus

La Figure 11 représente les résidus des modèles de court terme estimés pour la relation transport/activité industrielle. Cette figure ne semble pas indiquer la présence d’auto-corrélation temporelle des résidus.

Figure 10. Résidus estimés pour la relation transport/activité industrielle de court terme – Résidus pour la relation transport/ activité industrielle pour le transit littoral (
Figure 10. Résidus estimés pour la relation transport/activité industrielle de court terme – Résidus pour la relation transport/ activité industrielle pour le transit littoral (p), l’échange franco-italien (f) et le transit nord-européen (n)

Il en est de même pour les résidus de la relation transport/PIB de court terme pour laquelle la Figure 11 tend à corroborer l’absence d’erreur auto-corrélée.

Figure 11. Résidus estimés pour la relation transport/PIB de court terme

En revanche, il est plus difficile de rejeter l’hypothèse d’absence d’erreurs auto-corrélées pour la relation transport/activité industrielle de moyen terme (Figure 12). Cette figure tend en effet à supporter l’hypothèse d’une auto-corrélation positive des résidus.

Figure 12. Résidus estimés pour la relation transport/activité industrielle de moyen terme

La relation transport/PIB de moyen terme ne semble pas non plus exempte d’erreurs auto-corrélées comme le montrent les figures qui suivent.

Figure 13. Résidus estimés pour la relation transport/PIB de moyen terme
Figure 13. Résidus estimés pour la relation transport/PIB de moyen terme

L’analyse graphique des résidus reste toutefois une première approche pour détecter la présence d’erreurs auto-corrélées, prolongée dans ce qui suit par le test de Dubin et Watson.