Mes remerciements vont en premier lieu à Monsieur Bernard LAMIZET, pour l’intérêt qu’il a accordé à cette recherche durant toutes ces années, pour ses conseils éclairés, pour les encouragements qu’il m’a prodigués tout au long de ce travail et enfin pour les échanges stimulants que nous avons eus sans lesquels ce travail n’aurait sans doute jamais vu le jour.
Je tiens également à remercier Mesdames et Messieurs les membres du jury pour leur disponibilité, leur participation mais aussi les remarques judicieuses sur ce travail qui, en soit, est loin d’être parfait, et donc me permet de poser les jalons d’une recherche que je voudrais féconde à moyen termes.
Je remercie Thierry SOUKSAVANH (Responsable service RITAV de l’Institut d’Etudes Politiques de Lyon) pour son appui à la conception informatique de ce travail, mais aussi « Son Altesse » Clara FUSTIER et Bérangère SGANDURRA, d’avoir été mes lectrices attentives et patientes.
Enfin, ces remerciements sont formulés à tous ceux qui de près ou de loin m’ont soutenu tout au long du chemin ardu mais exaltant que constitue celui des études.
Parmi ces « êtres miens », une mention spéciale pour le « cercle d’amis (es) » rencontrés au gré de mon cheminement personnel pendant ces années d’étude dans la capitale des Gaules, et qui me renvoient au quotidien, l’idée selon laquelle « rien de ce qui est humain ne m’est étranger ».
La cruauté politique est toujours un surplus, une surenchère gratuite et choisie dont il faut analyser les ressorts.
Les guerres sont ainsi parsemées de mises en scènes particulièrement moches et dégueulasses, de déchaînements d’une violence hallucinante, perpétrées pour horrifier, meurtrir à jamais les corps et les âmes, voire bafouer intentionnellement les Droits de l’Homme.