Références bibliographiques

  1. Ajuriaguerra, J. ; Diatkine, R. et Badaracco, G. (1956). Psychanalyse et neurobiologie. Psychanalyse d’aujourd’hui, Paris : PUF,Vol. 2, 437-498.
  2. Arnold, M.B. (1960). Emotions and personality. vol.1, Psychological aspects, New-York :Columbia University Press. 269 p.
  3. Auchlin, A. (2000). Grain fin et rendu émotionnel subtil dans l’observation des interactions : sur le caractère « trans-épistémiques » des attributions d’émotions, in :C. Plantin, M. Doury et V. Traverso (Eds), Les émotions dans les interactions, Lyon : Presses Universitaires, 195-204
  4. Bard, P. A. (1934). The neuro-humoral basis of emotional reaction. Handbook of general experimental psychology, Worcester : Clark University Press, 264-311.
  5. Barat, C. ; Bartschi, M. ; Battistelli et al. ; Minkowski, A. et Zucman, E. (1985). L’enfant déficient mental polyhandicapé, quels projets ? Paris : ed. sociales françaises, 283 p.
  6. Bavelas, J.B. ; Black, A., Lemery, C.R. ; Mc Innis, S. et Mullet, J. (1986). “Experimental methods for stuying « elementary motor mimicry », Journal of Nonverbal Behavior, 10, 102-119.
  7. Beck, A.T. (1976). Cognitive therapy and the emotional disorders, New-York : InternationalUniversity Press, 345-351.
  8. Berthoz, A. (1997). Le sens du mouvement, Paris : Odile Jacob, 86-103.
  9. Berthoz, A. et Jorland, J. (2004). L’empathie, Paris : Odile Jacob, 308 p.
  10. Bion, W.R. (1962). Aux sources de l’expérience, Paris  : PUF, bibliothèque de psychanalyse, 1979. 112 p.
  11. Bion, W.R. (1963). Eléments de Psychanalyse, Paris : PUF, bibliothèque de psychanalyse, 1979. 107 p.
  12. Bloch, S. (1992). Modèles effecteurs des émotions fondamentales : une méthode expérimentale d’induction émotionnelle, in : P. Mazet et S. Lebovici, et al., Emotions et affects chez le bébé et ses partenaires. Paris : Eshel, 209-223.
  13. Bonis, (de), M. (1996). Connaître les émotions humaines, Hayen : Mardaga.
  14. Brazelton, T. B. et Nugent, J. B. (2001). Echelle de Brazelton, Evaluation du comportement néonatal, 3ème édition M & H.
  15. Brun, P (2003). “Psychopathologie de l’émotion chez l’enfant : l’importance des données développementales typiques”, Enfance, n° 4, 281-291.
  16. Brun, P. et Mellier, D. (2004). “Régulation émotionnelle et retard mental”, Revue de sciences humaines et sociales, 101-102, Janvier-Juin, 5-12.
  17. Brun, P. et Nadel, J. (1997). “Les jeunes enfants face à l’émotion”, Revue de psychologie de l’éducation,2, 75-86.
  18. Bruyer, R. (1983). Le visage et l’expression faciale. Approche neuropsychologique, Bruxelles : Mardaga, 175 p.
  19. Bruyer, R. (1987). Les mécanismes de reconnaissance des visages, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble.
  20. Bruyer, R. (1988). La Reconnaissance des visages, La Recherche, 200, 774-783.
  21. Bullinger, A. (1994). “Le concept d’instrumentation, son intérêt pour l’approche des différents déficits”, in : M. Deleau et A. Weil-Barais, Le développement de l’enfant. Approches comparatives, 29- 43.Paris : PUF.
  22. Bullinger, A. (1996). “Le rôle des flux sensoriels dans le développement tonico-postural du nourrisson”, Motricité cérébrale, 17, 21-32.
  23. Camélio, M-C. (2006). “L’enfant polyhandicapé et les aléas de la communication empathique et émotionnelle”, Dialogue, n° 174.
  24. Caliandro, S. (2004). “Empathie et esthésie : un retour aux origines esthétiques”, Revue française de psychanalyse, Vol. 68, n°3, 791-800.
  25. Campos, J.J. (1983). Socioemotional development, in Handbook of child psychology.vol. 2. ed. M. Haith et J. J. Campos, et al., New-york : Wiley, 447-465.
  26. Cannon, W. B. (1927). “The James-Lange theory of emotion. A critical examination and alternative theory”, American journal of Psychology, Vol. 39, 10-124.
  27. Channouf, A et Rouan, G. (2002). Emotions et Cognitions, De Boeck Université, éd. Neurosciences & cognition, 9-42.
  28. Channouf, A,. et Pichevin, M-F. (1998). Le pouvoir subliminal. Influences inconscientes sur les comportements, Paris : Delachaux & Niestlé. 340 p.
  29. Cicchetti D. et Sroufe L. A (1976). “The relationship between affective and cognitive development in Down’s syndrome infants”, Child Development, 47, pp. 920-929.
  30. Cicchetti D. et Schneider- Rosen K. (1984). “Relationship between affect and cognition in atypical infants”, Emotions cognition and behavior, Cambridge : University Press, 648-658.
  31. Comte-Sponville, A. (2001). Dictionnaire philosophique. Paris : PUF, p. 650.
  32. Cosnier, J. (1984). “Observation directe des interactions précoces ou les bases de l’épigenèse interactionnelle”, Psychiatrie de l’enfant, 27, 1, 107-112
  33. Cosnier, J. (1991). “Communication et déficit”, Psychologie médicale, 23 (11), 1281-1285.
  34. Cosnier, J(1992). “La fonction référentielle de la kinésique”, Protée, 20, 40-47.
  35. Cosnier, J. 1994. Psychologie des Emotions et des Sentiments, Paris : Retz.
  36. Cosnier, J. (1996). “Les gestes du dialogue, La communication non verbale”, Psychologie de la motivation, 21, 129-138.
  37. Cosnier, J. (1997). “Empathie et communication : partager les émotions d’autrui”, Sciences humaines, 68, 24-26.
  38. Cosnier, J. (2000). Les mimiques du créateur, ou l’autoréférence des représentations affectives, in : Les émotions dans les interactions, sous la direction de Christian Plantin, Marianne Doury et Véronique Traverso, Lyon : Presses Universitaires, 157-168.
  39. Cosnier, J. (2003). Les deux voies de communication de l’émotion (en situation d’interaction de face à face), in : Les émotions. Cognition, langage et développement, sous la direction de Jean-Marc Colletta et Anna Tcherkassof, Bruxelles : Mardaga, 59-67.
  40. Colletta, J. M. et Tcherkassof, A. (2001). Emotions, interactions et développement, Colloque international, Grenoble, 28 et 29 Juin 2001.
  41. Crunelle, D. (2000). “La communication de la personne polyhandicapée. De la spécificité au savoir-faire”, CESAP, 2000, 73-75.
  42. Crunelle, D. et Naud, P-J. (2003). “La communication de la personne polyhandicapée : L’évaluer pour mieux la comprendre”, CESAP, 2003, 177-179.
  43. Dalla Piazza, S et Godfroid, B. (2004) La personne polyhandicapée, Bruxelles : de Boeck Université.
  44. Damasio, A. (1994). L’erreur de Descartes, Paris : Odile Jacob, 2001, 396 p.
  45. Damasio, A. (1999). Le sentiment même de soi, corps, émotions, conscience, Paris : Odile Jacob, 2002, 476 p.
  46. Damasio, A. (2003). Spinoza avait raison. Joie et tristesse, le cerveau des émotions, Paris : Odile Jacob, 2003, 340 p.
  47. Darwin, C.R. (1872). The expression of emotions in man and animals, London : Murray.
  48. Descartes, R. (1649) Les passions de l’âme, Paris : Flammarion, 1994.
  49. Duparc, F. (1996). “Hallucination négative, Formes motrices et comportements auto-calmants”, Monographie de la Revue française de Psychanalyse, PUF 91-116.
  50. Emde, R.N. (1992). Génétique des émotions (développement terminé et interminable), in Emotions et affects chez le bébé et ses partenaires, Paris, Eshel, 59-131.
  51. Emde, R.N. , Osofsky, J.D. et Butterfield, M.A. (1993). The Ifeel Pictures. A New Instrument for Interpreting Emotions, International Universitics Press, Inc Madison Connecticut.
  52. Edelman, G. (1992). Biologie de la conscience, Paris :Odile Jacob
  53. Ekman, P., Friesen, W., Ellsworth, P. (1972). Emotion in the Human Face : guidelines for Research and an Integration of Findings. New-York : Pergamon Press.
  54. Ekman, P., et Friesen, V W. (1971). “Constants across cultures in the face of emotion”, Journal of Personality and Social Psychology, 17, 124-129.
  55. Ekman, P. et Friesen, V W. (1975). Unmasking the face, a guide to recognizing emotions from facial expressions. Prentice- Hall, inc., New jersey.
  56. Ekman, P. et Friesen V W (1978). The facial action coding system, Palo-Alto : Consulting Psychologist Press, 1983.
  57. Fain, M. ; Soulé, M. et Kreisler, L. (1974). L’enfant et son corps, Paris : PUF, le fil rouge.
  58. Favre, D. ; Joly, J. ; Reynaud, C. et Salvador, L. L. (2005). “Empathie, contagion émotionnelle et coupure par rapport aux émotions”, Enfance, 57, Oct-Déc, 4 – 2005, 363-382.
  59. Ferenczi, S. (1928). “Elasticité de la technique psychanalytique”, in Psychanalyse IV, Paris : Payot, 1982, 53-65.
  60. Fraiberg, S. (1981). “Mécanismes de défense pathologiques au cours de la petite enfance”, in : Vie émotionnelle et souffrance du bébé, ( 2002), Mellier et al. (s. dir.) Paris.
  61. Freud, S.(1895). “Esquisse d’une psychologie scientifique”, in : La naissance de la psychanalyse, Paris : PUF, 1956.
  62. Freud, S. (1901). Psychopathologie de la vie quotidienne, Paris : petite bibliothèque Payot, 1981, p. 257.
  63. Freud, S. (1905). “Fragment d’une analyse d’hystérie (Dora)”, in : Cinq psychanalyses, Paris : PUF.
  64. Freud, S. (1920). “Au-delà du principe de plaisir”,in : Essais de Psychanalyse, tr, Jankélévitch, éd. Payot, 1968, 280p.
  65. Freud, S. (1926). Inhibition, symptôme, angoisse, Paris : PUF (1ère éd. 1951), 1986.
  66. Freud, S. (1929). “Malaise dans la civilisation”, Revue Française de psychanalyse, tome VII, 4, 1934, p. 696.
  67. Fridja, N. (1986). The emotions, Cambridge : Cambridge University Press.
  68. Fridja, N. (1989). “Les émotions : un bilan des théorie”, in Rimé, B., Scherer, K.R. Les Emotions, Textes de Base en Psychologie. Paris éd. Dlachaux et Niestlé. 21- 68.
  69. Fridja, N. (2003) “Passions : L’émotion comme motivation”, in Les émotions, cognition, langage et développement. Mardaga. 15-31.
  70. Frölich, A. (1995). Qualité de vie. L’accompagnement des personnes ayant un handicap grave, Traduction Nora Tüscher, copyright institution de Lavigny, p. 90.
  71. Fulcher, J. S. (1942). “Voluntary facial expression in blind and seeing children”, Arch. Psychol., n° 272, 1-49.
  72. Caddini, E. (2001). L’imitation, Le Fil rouge, Paris, PUF, 42-64.
  73. Gascon, H. (1996). “Réflexions sur la qualité de vie de la personne handicapée”, CESAP informations, 31, Juin 1996, 5-18.
  74. Gauvain-Picard, A. (1995) Journée de formation : La douleur de l’enfant. Site : La Bourguette-autisme. p. 40 .
  75. Georges- Janet. L. (1995). « Quels projets pour quels enfants, adolescents polyhandicapés », in : Le polyhandicap, n° hors série, Paris : CTNERHI, 90-95.
  76. Georges-Janet, L. (2000). “Approche médicale de la prise en charge de la personne polyhandicapée”, Empan, n° 37, Mars 2000.
  77. Gesell, A. L. (1952). Ontogenèse du comportement de l’enfant, in : Carmichaël, Manuel de psychologie, Paris : P.U.F, tome 1.
  78. Ghiglione, R. ; Landré, A. ; Bromberg, M. ; Molette, P. (1998). L’Analyse Automatique des Contenus, Paris : Dunod, 156 p.
  79. Girard, R., (1972). La violence et le sacré, Paris : Pluriel, 241 p.
  80. Goodenough, F.L. (1932). “Expression of the emotions in a blind-deaf child”, J. Abn. Soc. Psychol., 27, 328-333.
  81. Goldsmith, H. ; Campos, J.J. (1986). “The genetics of infant temperament”, in Adwances in Infant Behavior and development, ed. M Lamb et A. Brown, Hillsdale, N. J., Erlbaum.
  82. Golse, B. (2001). “Emotions, affects, représentations mentales et handicaps”, CESAP informations, n° 34, décembre 2001, 25-35.
  83. Green, A. (1973). Le discours vivant : la conception psychanalytique de l’affect, Paris : PUF, 1973, 212-218.
  84. Cosselin, P. ; Roberge, P. ; Lavallée, M-F. (1995). “Le développement de la reconnaissance des expressions faciales émotionnelles du repertoire humain”, Enfance, n° 4, 1995, 379-396.
  85. Guidetti, M. et Tourrette, C. (1996). Handicaps et développement psychologique de l’enfant, Armand Colin (Masson), 189 p.
  86. Haag, G. (2000). « Rythmiques » (Activités). In : Houzel, D ; Emmanuelli, M ; Moggio, F. Dictionnaire de psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent, Paris, PUF, 660-662.
  87. Hermann, I. (1972). L’instinct filial, Paris : Denoël, 210 p.
  88. Hulsegge, J., Verheul. A. et al. (1988). Snoezelen. Un autre monde, 144 p. ed. Rompa.
  89. Hobson, R.P. (1986). “The autisticchild’s appraisal of expressions of emotion”, Journal of child Psychology and Psychiatrie, 27, 3, 321-342.
  90. Hodapp, R. M. (1999). “Indirect effects on genetic mental retardation disorders : Theoretical and methodolocical issues”, International Review of research in Mental Retardation, 22, 27-50.
  91. Hoffman, M. 1984. “Interaction of affect and cognition in empathy”, in : Emotions, cognition and behavior, Cambridge University Press. 312-367.
  92. Izard, C. E. (1977). Human emotions. New-York : Plenum Press, 516 p.
  93. Izard, C. E. et Malatesta, C. Z. (1987). Perspectives on emotional development : Differential emotions theory of early emotional development, New-york : John Wiley and Sons, Inc, 494-554.
  94. Izard, C. E. (1995). The maximally Disciminative Pacial Movement Coding System (Max), Revised, 1995, University of Delaware. p. 81.
  95. James, W. (1894). “The physical basis of emotion”, Psychological Rewiev, (1994), 101, 2, 205-210.
  96. Jeannerod, M. (1994). “The representing brain. Neural correlates of motor intention and imagery.”, Behavioral and Brain Sciences, 17, 187-245.
  97. Johnson, W. ; Emde, R.N., Scherrer, K. R. ; Klinnert, M. D. (1986) : « Recognition of Emotion from vocal cues », Arch. Gen. Psychiatry, 43, 280-283.
  98. Kant, I. Anthropologie du point de vue pragmatique, Paris : librairie philosophique, traduction Foucault, livre III, J. Vrin. (1964).
  99. Kaës, René. (1999). Les théories psychanalytiques de groupe, Paris : PUF, Que sais-je, 3458, 120 p.
  100. Kerbrat-Orrechioni, C. (1980). L’énonciation de la subjectivité dans le langage, Paris : Armand Colin, 68-113.
  101. Klein, M. (1946). “La vie émotionnelle des bébés. Quelques conclusions théoriques au sujet de la vie émotionnelle des bébés”, in : Développements de la psychanalyse, Paris : PUF, 1986. 187-222.
  102. Korff-Sausse, S. (2001). D’Œdipe à Frankenstein, Paris : Payot, 307 p.
  103. Lacan, J. (1949). “Le stade du miroir comme formateur du Je”. in : Ecrits 1, Paris, Points, 1966, 90-97.
  104. Lang, P. J. (1994). “The varieties of emotional experience : A meditation James- Lange theory”, Psychological review, vol. 101, n° 2, 211- 221.
  105. Lange, C. (1885). The emotions, Baltimore : Williams & Wilkins, 1922.
  106. Lazarus, R. S. (1968). “Emotions and Adaptation. Conceptual and empirical relations”, in : W.J. Arnold (Ed.), University Nebraska Press.
  107. Lazarus, R.S. (1984). “On the primacy of cognition”, American Psychologist, 39, 124-129.
  108. Lebovici, S. et Soulé, M. (1983). La connaissance de l’enfant par la psychanalyse, Paris : Le fil rouge, PUF. 685p.
  109. Lecourt, E. (1992). Freud et le sonore, le tic-tac du désir, Paris : L’Harmattan.
  110. Leventhal, H., Scherer, K.R. (1987). “The relationship of emotion to cognition : a functional approach to a semantic controversy”, in Cognition and Emotion, 1, 3-28.
  111. Lipsitt, L.P. (1981). “Advances in infancy research”, Ablex Publishing Corporation, 267 p.
  112. Malrieu, Ph. (1952). Les émotions et la personnalité de l’enfant, Paris: 2ème .éd. revue et augmentée, Librairie philosophique J.Vrin.
  113. Mandler, G. (1975). Mind and emotion, New-York : Wiley, p. 280.
  114. Meir J.H. et Sloan, M. P. (1084). “The severely handicapped child and child abuse”, in J. Blancher. ED., Severely handicapped and their Families, 247-272.
  115. Mellier, D. et Deleau, M (1991). “Handicap sensoriel précoce et communication. Problèmes et perspectives”, Revue internationale de Psychologie Sociale, 1991, 4, 1-2, 99-122.
  116. Mellier, D. et Lécuyer, R. (2003). “Etudier le développement de l’enfant : la place des pathologies. La variaté des pathologies”, Enfance, 1, 55; 2003, 5-12.
  117. Mellier, D. (2006). “Handicap, famille et troubles dans la communication primitive”, Dialogue, Décembre 2006, 174, 4-5.
  118. Meltzoff, A. N. et Moore, M. K. (1977). “Imitation of facial and manual gestures by human neonates”, Science, 212, 685-687.
  119. Misès, R. (1977). “Les dysharmonies évolutives de l’enfant”, Informations psychiatriques, 9, 1003-1138.
  120. Misès, R. et Quemada, N.(1992). Déficience mentale et processus : Quelques repères épidémiologiques et cliniques. Publication de la fondation Vallée, centre collaborateur de l’O. M. S. pour la Recherche et la formation en santé mentale.
  121. Misès, R. et Quemada, N. (1993). “Classification française des troubles mentaux de l’enfant et de l’adolescent”, CTNERHI, 3èmeédition remaniée.
  122. Misès, R. (2000). “Les dysharmonies psychotiques : une approche nosographique”, Neuropssychiatrie de l’Enfance et l’Adolescence, 48, 396-401.
  123. Nadel, J. (1986). Imitation et communication entre jeunes enfants, Paris : PUF.
  124. Nadel, J. (2003). “Le futur des émotions”, Enfance, 3, 23-32.
  125. Oatley, K. et Johnson-Laird, P. (1987). “Towards a cognitive theory of emotions”, Cognition and Emotion, 1, 29-50.
  126. O’ Connor (N). (1987). Cognitive Problems in the Development of autistic children, Colloque INSERM Autisme infantile, Paris : ed. Grémy F. Tomkiewicz, S., Lelord, G. 146, 155-167.
  127. Ouss-Ryngaert, L. (2004). “L’intersubjectivité comme paradigme de l’intérêt des liens neurosciences-psychanalyse”, Psychiatrie Française, 1, 2004. 36-60.
  128. Papousek, M. (1996). Le parentage intuitif, source cachée de la stimulation musicale dans la petite enfance, in : Naissance et développement du sens musical.Paris : PUF, Croissance de l’enfant.
  129. Petitpierre-Jost, G. (2005). “Programmes de stimulation pour personnes polyhandicapées. Suggestions”, Devenir,17, 1, 2005, 39-53.
  130. Piaget, J. (1924). Le jugement et le raisonnement chez l’enfant, Delachaux et Niestlé, Neuchâtel.
  131. Piaget, J. (1967). Biologie et connaissance, Paris : Gallimard.
  132. Plamondon, L. (2006). Sondages auprès de 205 professionnels sur les risques et facteurs de risque et de vulnérabilité des personnes handicapées, RIFVEH et FQCRD.
  133. Portalier, S. (1981). Analyse différentielle du deficit et du handicap sensoriels, Thèse de doctorat (Université Lyon 2).
  134. Portalier, S. (1991). “L’instrumentation visuelle. Naître de parents aveugles”, Journal des psychologues, 84, 30-34.
  135. Portalier, S. (1996). “Le traitement cognitif des images tactiles. Application à l’étude de la lecture bimanuelle du Braille”, Neuromimétisme, Colloque AIDRI, 193-196.
  136. Porte, F. et Coblence, J.M. (2004), “L’empathie”, Revue française de psychanalyse, Paris : 2004, vol. 68, n° 3, 771-790.
  137. Pry, R., Guillain, A. et Pernon, E. (2000). “Régulation posturale et conduites autocentrées chez l’enfant autiste”, Enfance, n° 2, 149-167.
  138. Pry, R. et Aussilloux, C. (2002). “L’autisme : Représentation des parents et des professionnels”, Handicap, revue des sciences humaines et sociales, n° 93, 33-46.
  139. Rimé, B., Scherer, K. R. (1989). Les emotions. Textes de base en Psychologie, Paris : Delachaux et Niestlé.
  140. Rizzolati, G. ; Fogassi, L. et Gallese, V. (1995). “Neurophysiological mechanisms underlying the understanding and imitation of action”, Neuroscience, 2, 2001, 661-670.
  141. Rumeau-Rouguette, C. ; Georges-Janet, L. et Lemaire, M. (2000). “Polyhandicap, les barrières à l’entendement”, Les cahiers de l’actif, Mars-Avril 2000, n° 286-287, 5-136.
  142. Rosenfeld, J. (1992). Emotion ressentie, emotion transmise, in : Mazet, P., et Lebovici, S. (s. dir. de), Emotions et affects chez le bébé et ses partenaires, Paris : Eshel, 225-235.
  143. Roussillon, R. (2002). “L’homosexualité primaire et le partage de l’affect. Affect messager, affect partagé, affect composé”, in Mellier, D. et al. Vie émotionnelle et souffrance du bébé, Paris : Dunod 2005, 78-88.
  144. Salbreux, R. (1986). “L’infirme moteur cérébral de l’enfance à l’âge adulte”, Réadaptation, 335, 4-8.
  145. Sartre, J-P. (1938). Esquisse d’une théorie phénoménologique des émotions, Hermann, Paris 
  146. Scelles, R. (1996). “Frères et sœurs d’enfants handicapés : Une souffrance à reconnaître, à entretenir, à entendre pour la prévenir”, CESAP, 31, Juin 1996, 29-36.
  147. Scelles, R. (2000). “La quête de savoir chez les frères et sœurs d’un enfant porteur d’un handicap”, Dialogue, 149, Juillet-Août-Septembre 2000, 77-90.
  148. Scelles, R. (2005). “Adolescence et polyhandicap”, Neuropsychiatrie de l’enfance et de l’adolescence, 53, 6, Octobre 2005, 290-298.
  149. Scherer, K. R. (1982). “Emotion as a process : function, origin and regulation”, Social Science information, 21, 565-570.
  150. Scherer, K. R. (1984). “On the nature and function of emotion : a component process approach”, in K. K. Scherer et P. Ekman (Eds) : Approaches to emotion, Hillsdale, N.J. Erlbaum, 293-317.
  151. Scherer, K.R. (1986). “Vocal affect expression : A review and a model for future research”, Psychological Bulletin, 99, 143-65.
  152. Scherer, K. R. (1992). Les émotions : fonctions et composantes, in Bloch, H., Bloch, S., Emde, R., Gozlan-Longchampt, A., Houzel, D., Lebovici, S., Mazet, Ph., Pinol-Douriez, M., Rosenfeld, J., Scherer, K. R., Stern, D., Rosenfeld, J., Widlöcher, D. Emotions et Affects chez le bébé et ses partenaires, Paris : Eschel, 7- 43.
  153. Scherer, K ; R. (2003). “L’étude de l’expression vocale des émotions : mise en évidence de la dynamique des processus affectifs” in Coletta, J ;M., Tcherkassof, A. (2003), Les émotions. Cognition, langage et développement. Mardaga, 39-58.
  154. Schneider, B. (1992). “Questions posées à la communication non-verbale des émotions”, Horizon social, 1, n° 6, 1992, 7-21.
  155. Sellinger, M. H. et Hodapp, M. (2OO5). “Effets indirects des syndromes génétiques : les réactions parentales aux phénotypes comportementaux”, Enfance, 3, 2005, 219-226.
  156. Sigman, M., Ungerer, J., Mundy, P., Sherman, T. (1987). “Cognition in autistic Children”, Handbook of Autism and pervasive development disorders, ed. Cohen, J., Donellan A. M., Paul P., N. Y. , John Wiley and Sons, 103-120.
  157. Sifneos, P. E. (1973). “The prevalence of «  Alexithymic » characteristics in psychosomatic patient”, Psychother Psychosom, 22, 255-262.
  158. Smadja, C. (1993). “A propos des procédés autocalmants du moi”, Revue française de psychosomatique, 4, 1993, 9-24
  159. Souriau, J. (2000) “Surdi-Cécité et développement de la communication. Problèmes et stratégies adaptatives”, Enfance 1, 3-18.
  160. Spinoza, B. (1677). Ethique, Paris : Gallimard, La Pléiade, 1954, p. 421.
  161. Spitz, R. A. (1945). Hospitalism. An inquiry into the genesis of psychiatric conditions in early childhood, Psychoanalytic Study Child, 1, 53-74.
  162. Spitz. R. A. (1965). De la naissance à la parole. La première année de l’enfant, trad. franç., Paris : PUF, 1968, 126.
  163. Stern, D.N. (1981). Mère enfant. Les premières relations, Bruxelles : Mardaga.
  164. Stern, D.N. (1989). Le monde interpersonnel du nourrisson. Une perspective psychanalytique et développementale, Paris : PUF, 380 p.
  165. Stern, D.N ( 2004). “Un système de motivation primaire et fondamental”, Psychiatrie Française, 1, 8-20.
  166. Szwec, G. (1993). “Les procédés autocalmants du moi”, Revue française de psychosomatique, n° 4, 1993, 25-51.
  167. Tomkiewicz, T. (1995). “Le polyhandicap : concept, historique, implications éthiques”, Conférence dans le cadre du colloque organisé par l’Association des paralysés de France, in dir. Ponsot, G. Le Polyhandicap, Actes d’un colloque réalisé par le CTNERHI, n° hors série, 13-20.
  168. Tomkiewicz, S. (1995) “La mort de l’enfant polyhandicapé, entre l’euthanasie et l’acharnement, in dir. Ponsot, G., Le Polyhandicap, Actes d’un colloque du CTNRHI, n° hors série, Paris, 27.
  169. Tran Thong. (1979). “La théorie des attitudes de H. Wallon et ses conséquences éducatives” ,in : Henri Wallon, 1872-1962, Les sciences de l’éducation. n° special, 237- 239.
  170. Trevarthen, C. (1984). “Emotions in infancy : regulators of contacts and relationships with persons”, in Scherer, K. Ekman, P., (eds), Approaches to emotion, Hillsdale (NJ), Erlbaum.
  171. Trevarthen, C. (1985). “Facial expressions of emotion in mother infant interaction”, Human Neurology, 4, 21-32.
  172. Trevarthen C., Aitken, K. J. (2003).  “Intersubjectivité chez le nourrisson : recherche, théorie et application clinique”, Devenir, 4, 15, 309-428.
  173. Trevarthen, C. (2005). “Autisme, motivation en résonance et musicothérapie”, Neuropsychiatrie de l’enfance et de l’adolescence.5,53, 46-53.
  174. Triomphe, A., Tomkiewitz, S. (1985). Les handicapés de la prime enfance, PUF.
  175. Van Humbeeck, Van Audenhove, Storms et al. (2003). “Emotion exprimée chez les soignants en relation avec des résidents souffrant de troubles de l’apprentissage. Vers une nouvelle définition du surinvestissement émotionnel”, Revue Européenne du handicap mental, 27, Nov. 2003, 16-27.
  176. Vaughan, K.B. et Lanzetta, J.T. (1980). “Vicarious instigation and conditioning of facial expressive and autonomic responses to a model’s expressive display of pain”, Journal of Personality and Social Psychology, 33, 514-535.
  177. Vygotski, L. (1932). Conscience Inconscient émotions, Paris :La Dispute, 2003.
  178. Wallon, H. (1925). L’enfant turbulent, Paris : PUF, 1984.
  179. Wallon, H. (1934). Les origines du caractère chez l’enfant : les préludes du sentiment de personnalté, Paris : PUF, 1984.
  180. Wallon,H. (1955). “L’instabilité posturo-psychique chez l’enfant”, Enfance, 1985, Numéro specialHenri Wallon, 37, 1, 427.
  181. Walker, A. (1982). “Intermodal perception of expressive behaviours by human infants”, Journal of Experimental child Psychology, 33, 514-535.
  182. Weiner, B., Russell, D. et Lerman, D. (1978). “Affective consequences of causal ascriptions”, in J.H. Harvey, W. Ickes & R. F. Kidd (Eds), New directions in attribution research (Vol. 2, 59-90). Hillsdale, NJ: Erlbaum.
  183. Weeks, J. S., hobson, R. P. (1987). “The Salience of facial expression for autistic children”, J. Child Psychol, 28, 1, 137-152.
  184. Widlöcher, D. (1992). “De l’émotion primaire à l’affect différencié”, in : Emotions et Affects chez le bébé et ses partenaires. 1992, Paris, Eshel.
  185. Widlöcher, D. 1999. “Affect et empathie”, Revue Française de Psychanalyse, 1, 1999, 174-185.
  186. Wilson, S.A.,(1924). “Pathological laughing and crying”, Journal of neurplogy and psychopathology, vol. 4.
  187. Winnicott, D.W. (1967). La crainte de l’effondremen, Paris, Gallimard, 1989.
  188. Winnicott, D.W. (1971). Jeu et réalité, l’espace potentiel, Paris, Gallimard, 1975.
  189. Winnicott, D. W. (1971). « Le cas Iiro », in : La consultation thérapeutique et l’enfant, Paris, Gallimard, 15-30.
  190. Wundt, W. (1903). Grundriss der Psychology, Stuttgart, Engelmann.
  191. Zajonc, R.B. (1980). “Feeling and thinking : Preferences need no inferences”, American Psychologist, 35, 151-175.
  192. Zajonc, R.B. (1984). On the primacy of affect, American Psychologist, 39, 117-123.
  193. Zribi, G. (1993). Attitudes, définitions, effectifs. Handicapés mentaux graves et polyhandicapés en France, Editions Ecole Nationale de la Santé Publique. 8-17.
  194. Zucman, E. (1999). Accompagner les personnes polyhandicapées, Réflexions autour des apports d’un groupe d’études du CTNRHI., 1999, 227 p.
  195. Van Humbeeck, G. ; Van Audenhove, Ch. ; Vertommen, H., Storms, G ; De Hert, M. ; Peuskens, J., Pieters, G ; Heyrman. (2003). « Emotion exprimée chez les soignants en relation avec des résidents souffrant de troubles d’apprentissage. Vers une nouvelle définition du surinvestissement émotionnel », Base Saphir. Centre producteur UNAPEI, 16-27.
  196. « Classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé », disponible en français sur le site de l'OMS..
  197. “Révision de la classification internationale des handicaps”, (1998). Les cahiers du CTNERHI, n° 81, Janvier-Mars 1999.