Université Lumière Lyon 2
Ecole doctorale : Sciences Cognitives
Institut de Psychologie
Département de Psychologie, psychologie clinique et sociale
Laboratoire d'Etude des Mecanismes Cognitifs
Le rôle de la syllabe chez l’apprenti lecteur de langue maternelle française
Thèse de doctorat en Psychologie
Mention Psychologie Cognitive
Dirigée par Annie MAGNAN
Présentée et soutenue publiquement le 27 juin 2007
Devant un jury composé de :
Annie MAGNAN, Professeur de l’Université Lyon 2
Jean ECALLE, Maître de conférences de l’Université Lyon 2
Jean-Emile GOMBERT, Professeur de l’Université Rennes 2
Daniel ZAGAR, Professeur de l’Université de Bourgogne
Christine JOURDAIN, Maître de conférences à l’IUFM de Reims
Alain CONTENT, Professeur de l’Université Libre de Bruxelles

A Suzanne
A Arnaud et Guillemette

Contrat de diffusion

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Remerciements

Je tiens tout d’abord à remercier Madame Magnan qui a accepté de diriger cette thèse, ainsi que Monsieur Ecalle. Tous deux ont su, tout au long de ce sinueux parcours, me témoigner soutien et confiance, et sans leur aide avisée ce travail n’aurait pris sa forme définitive.

Les alea ont fait que cette thèse a été réalisée à distance, je ne remercierai jamais assez Madame Magnan et Monsieur Ecalle de leur compréhension. Un grand merci également à Christine Jourdain qui m’a encouragée à m’inscrire en thèse.

Je tiens également à remercier les inspecteurs de l’Education nationale de Reims, notamment Madame Duplessy, ainsi que les directrices et directeurs des neuf écoles élémentaires de Reims qui m’ont donné leur accord pour réaliser mes expériences. Un grand merci à tous les professeurs des écoles, qui ont souvent modifié leurs emplois du temps afin que je puisse tester les enfants dans les meilleures conditions. Enfin, une mention spéciale pour l’école élémentaire Gallieni, à Fabrice Maréchal son directeur ainsi qu’à Nathalie Beudaert, Sandrine Courtot et Sylvie Dralet, qui ont rendu possible l’entraînement avec Syllabius 1. Cet entraînement a nécessité un grand travail d’organisation, des réunions de concertation, et sans l’aide de l’équipe pédagogique, Syllabius 1 serait resté lettre morte. Leur accueil chaleureux, dynamique et leur ouverture d’esprit m’ont offert des conditions d’expérimentation plus qu’enviables ! Cela étant dit, sans l’aide d’Eric Desjardin, je serais restée bloquée dans les méandres des lignes de codes et autres bugs, en grande novice dans la programmation en C++. Heureusement Syllabius 2 a été réalisé en Delphi, un immense merci à Joël Bradmetz de m’avoir initiée à cette programmation.

Je n’oublie pas les membres du laboratoire ACCOLADE de l’université de Reims. Pendant mes deux années d’ATER, j’ai pu compter sur leur soutien, leur écoute pendant mes élucubrations syllabiques et autres doutes…. Très grand merci à Stéphanie, Patrick, Marie, Leïla, Sandrine, Véronique, Chrystel, Florence, Arnaud, Sophie, Emilie, Christine, Benoît, Régis, Patrick, Magali, et Christelle. Vous tous m’avez soutenue quand, pendant cette année déjà endeuillée, j’attendais les résultats d’examens d’Arnaud. Si faire une thèse c’est passer un cap, je ne l’aurai pas franchi sans vous.

A Stèph et Pat, je n’oublie pas Charles bien entendu, mais disons que depuis quelques années, vous avez été mes enseignants, puis mes collègues, mais c’est sans hésiter notre profonde amitié qui m’a éclairée. Sans votre approche des choses, que de voies sans issues dans lesquelles je me serais engouffrée ! Nous avons déjà tant partagé… Merci d‘avoir été et d’être toujours là, en toute occasion, simplement, nos liens seront pour moi immarescibles.

A Milou qui commence cette aventure : ne change surtout rien et n’oublie pas les soirées « Culture et Traditions » !

Une spéciale dédicace pour Sophie, ATER et jeune docteur, co-bureau et plus encore, tu sais ce que cette thèse te doit….et tu remarqueras que je ne suis pas rancunière ! Bien que les Grecs aient déjà tout fait, j’emprunte ses mots à Sénèque : « tempus tantum nostrum est (…). Et tanta stultitia mortalium est ut quae minima et vilissima sunt, certe reparabilia, inputari sibi cum impetravere patiantur, nemo se judicet quicquam debere qui tempus accepit, cum interim hoc unum est quod ne gratus quidem potest reddere. »

Que les membres d’AHIAC et de la SDV soient aussi chaleureusement remerciés, Marie-Thérèse, Françoise, Chantal, Marie-José,…. ne m’en veuillez pas si je ne vous cite pas tous, je vous porte en mon cœur.

Je tiens également à remercier la Poste et la SNCF, pour leurs grèves intempestives, leurs boulettes diverses et variées avec une imagination sans borne, surtout dans les derniers mois, qui ont mis mes nerfs à très rude épreuve !

Enfin que ma famille se rassure, mes études approchent de leur fin ! Mon cursus a été difficile à suivre, je vous le concède, des lettres classiques à la psychologie cognitive je comprends que le lien ne soit pas évident… A ma petite famille, à Arnaud et à ma puce Guillemette qui a le même âge que cette thèse, sans vous deux, je serais sans doute passé à côté de l’essentiel…. Pour le meilleur et pour le pire, sans toi Arnaud, soutien de toujours, patient, attentif et surtout aimant, cette thèse n’aurait jamais été possible. J’espère pouvoir t’épauler aussi formidablement maintenant que toi aussi thésard tu es.

A Suzanne, partie l’année dernière, j’aurai voulu pouvoir dire « ça y est, j’ai fini ». Tu m’as tant donné, jusqu’à ce que je puisse presque avancer seule, je n’ai pas trahi notre promesse.