2. Les représentations phonologiques

Entre les modèles développementaux et les modèles connexionnistes existe une apparente contradiction : les premiers ont montré l’importance de l’apprentissage des règles de correspondances graphèmes-phonèmes tandis que les seconds ont prédit que ces connaissances pouvaient soit être dérivées des régularités statistiques extraites de la langue par le réseau, soit consister en des unités de taille variable (attaque-rime, syllabe). Toutefois, un point d’accord entre ces modèles est le passage obligé de correspondances entre des unités orthographiques et phonologiques.