2) Les publics

La question des publics découle directement du paysage de l’exploitation cinématographique. Les comparaisons sont malheureusement difficiles avec les autres villes françaises : les multiples monographies locales mettent rarement l’accent sur les différences entre les exploitations, et la plupart s’interrompent en 1914 ou 1918, laissant – comme souvent – la période des années 1920 dans l’ombre. Dans la presse corporative, les différences vont de soi entre les publics des grands établissements et ceux des salles de quartier. Ces derniers sont perçus avec un regard qu’Emmanuel Decaux juge à juste titre empreint de paternalisme 944 . On va parfois dans une salle considérée comme populaire comme on se rend dans un pays exotique :

‘« Je suis allé […] dans un cinéma de quartier où les familles s’entassaient avec des provisions de bouche. A l’entracte, on mange du saucisson et l’on boit du vin rouge. Mais l’on rit, d’un seul grand rire de tonnerre aux pitreries d’un film comique. Et l’on se tait devant les conflits du film dramatique. Silence profond et religieux […] Silence où tout un peuple oublie le quotidien chargé de fièvre, de soucis et de douleur 945 . » ’

La classification du public des établissements cinématographiques selon leur horizon social est repris en 1928 dans La Cinématographie Française, dans son étude du rendement des salles lyonnaise. « Mélangé » (à la Scala), « Moyen » (Est-ce à dire classes moyennes ? Au Modern, au Terreaux, à l’Elysée) et « Populaire » (au Splendor, au Fémina). Difficile d’apporter des conclusions sur les salles, les termes sont pour le moins obscurs. L’important réside dans la différenciation des salles selon le genre de son public, différenciation qui apparaît naturelle pour les contemporains. Tout au plus peut-on remarquer que dans le quartier des Terreaux, deux salles (Terreaux et Splendor) semblent ne pas attirer les même publics.

Les autorités municipales ou les représentants du ministère des finances n’hésitent pas, eux non plus, à modéliser le public des établissements cinématographiques. La plupart des salles de cinéma de quartier apparaissent comme des salles ouvrières. Au cinéma de Jérôme Dulaar à la Croix-Rousse, la clientèle est « essentiellement ouvrière » 946 . Elle est « exclusivement ouvrière » au cinéma des Variétés à Villeurbanne 947 , et « exclusivement composée d’ouvriers » 948 au petit cinéma de la rue d’Anvers, dans le quartier de la Guillotière. Pour ces petites exploitations, la localisation est un des principaux facteurs d’explication de leurs difficultés économiques : la salle d’Eugène Kalbfeis à Vaise est « un petit cinéma de faible rapport attendu qu’il est situé dans un quartier ouvrier » 949 , même explication proposée pour le cinéma Elysée, guère productif, « vu sa situation dans un quartier ouvrier » 950 . Toutes les salles du centre, dont les plus petites connaissent elles aussi des difficultés au début des années 1920, échappent à cette interprétation : on évoque plus aisément l’augmentation des salaires ou du prix des films.

Au public « ouvrier » des salles de quartier répond naturellement le public « select » des grandes salles du centre-ville. C’est du moins ainsi que le propriétaire du cinéma Fantasio, ouvert en 1917 aux abords de la place de la République, décrit sa clientèle en 1919 :

‘« Les ordres les plus sévères sont donnés au personnel actuel pour une surveillance rigoureuse de notre établissement lequel est fréquenté, nous nous permettons de vous le rappeler, par la clientèle mondaine et select de Lyon, le prix élevé des places du reste en lui-même l’indique 951  »’

Témoignage intéressant. Le directeur du Fantasio a pleinement conscience que ses tarifs excluent les catégories populaires de son établissement, ce qui, du reste, procède peut-être d’un choix volontaire. Instituer des tarifs élevés, c’est, d’une certaine manière, rassurer la clientèle bourgeoise soucieuse de son entre-soi. La publicité que le directeur de l’établissement fait paraître dans l’Annuaire du Tout-Lyon ne dit pas autre chose :

‘« Fantasio-Ciné est le rendez-vous du Tout Lyon mondain.
Fantasio-Ciné est un spectacle de famille.
Fantasio-Ciné présente toujours en 1er, à Lyon, les films
les plus nouveaux et les plus hautes vedettes.
Fantasio-Ciné possède un orchestre symphonique composé
d’artistes d’élite. 952  »’

En résumé, le cinéma Fantasio est un lieu incontournable de la (bonne) sociabilité lyonnaise. Difficile de savoir si le public était au niveau des attentes de l’exploitant. Quoiqu’il en soit, les grands établissements du centre se targuent d’attirer une clientèle choisie. En 1920, le directeur du cinéma Tivoli, qui s’implante à proximité du Fantasio et le conduit à la fermeture, tient à préciser à ses contacts parisiens que son établissement est fréquenté par « la belle clientèle 953  »

Illustration 13. Le programme du cinéma Royal-Aubert-palace en 1925
Illustration 13. Le programme du cinéma Royal-Aubert-palace en 1925

(Source : AML, 5 fi 023)

Illustration 14. Le public devant l’entrée du cinéma Royal en 1934
Illustration 14. Le public devant l’entrée du cinéma Royal en 1934

(Source : Institut Lumière)

On retrouve cette différenciation des établissements dans les souvenirs des spectateurs interrogés par Micheline Guaita. Les principales salles de cinéma lyonnaises ont une identité fortement marquée. Le cinéma Royal, devenu Aubert-Palace, situé sur la place Bellecour à trois pas du quartier d’Ainay apparaît, à l’instar du Fantasio, comme le rendez-vous mondain par excellence :

‘« [La salle] était très, très haute, elle était très belle, avec des ornements 1900, vous savez, un peu rococo, et au fond il y avait un bar […] Alors le bar avait sa clientèle…comment dirais-je ? Des gens qui avaient quand même un petit peu d’argent…les gens « urf » de Lyon ! ça faisait très bien : « Où vas-tu ? – Je vais au bar du Royal ! » ça vous posait quelqu’un ! Quand à une fille vous disiez : « Je vais au bar du Royal… » Elle était éblouie ! Maintenant, vous savez, elle ne serait pas éblouie du tout ! » 954

Les grandes salles de cinéma sont un peu les héritières des théâtres, où l’on assistait tout autant que l’on se montrait. L’analogie au théâtre est évidente au cinéma de la Scala, où l’on se rend pour les grandes occasions :

‘« Oui, il y avait une différence entre les cinémas du centre et les cinémas de quartier ; une différence de classe, et une différence de prix, évidemment, et lorsque j’allais au cinéma avec mon père et ma mère, nous allions à la Scala et nous prenions des loges […] mais on y allait deux fois par an : une fois pour Pâques et une fois pour Noël, et on se payait le grand truc ! 955  »’

Cette famille était peut-être réticente à côtoyer le petit peuple que, « différence de classe » aidant, on ne retrouve pas à la Scala. Les tarifs de l’établissement sont-ils réellement prohibitifs ? Rappelons que les prix les plus bas qui y sont pratiqués sont équivalents à ceux affichés dans les salles de quartier. Mais la hiérarchie des tarifs à la Scala induisait peut-être plus une différence de génération que de catégorie sociale : « à la dernière galerie c’était moche parce qu’il y avait là beaucoup de jeunes qui étaient trop délurés 956  ».

Dans ces conditions, on à peine à imaginer les ménages ouvriers, qui ont autant que les autres envie de calme, aller se placer tout en haut d’un édifice dans le brouhaha, juste pour être dans une salle prestigieuse ou profiter d’un film en avant-première. En revanche, la jeunesse qui vit dans les quartiers périphériques désire peut-être sortir du carcan du voisinage. Les cinémas du centre-ville ou les grands établissements de la rive gauche, anonymes, offrent sur ce point un avantage certain.

Dans les salles de cinéma de quartier, on retrouve bien évidemment les habitants du quartier, qui n’ont pas toujours la possibilité de se rendre sur la presqu’île. Au cinéma Fantasio de Montchat :

‘« Mais à ce moment-là ce n’était pas le même genre de vie que maintenant, il n’y avait pas d’autos, il n’y avait pas de trams jusqu’à minuit, le dernier pour aller à Montchat partait à six heures, alors j’avais tous les gens du quartier, c’était leur plaisir ! » 957

L’absence de lignes de transport ne caractérise toutefois pas tous les quartiers. En 1927, les principales communes de la banlieue lyonnaise, et les quartiers Gerland, Perrache ou Vaise sont accessibles du centre de la ville après minuit 958 . Mais à cette heure là, et en soirée en général, le ticket pour prendre le tram est deux fois plus cher qu’en journée, ce qui peut réfréner les bourses les plus modestes 959 . Là comme partout, l’inégalité par les prix prévaut. Si l’on considère en effet que les Lyonnais ne sortent jamais de leur quartier – le Rhône est ainsi décrit comme une « barrière presque infranchissable » en 1927 960 – , il faut bien expliquer l’affluence dans les salles du centre-ville, qui ne peut être due aux seuls habitants de la presqu’île. Dans les quartiers périphériques, les gens qui ont – ou qui se donnent – les moyens d’assister à un spectacle d’envergure se rendent dans les établissements du centre.

Les salles de cinéma de quartier attirent quant à elle un public nécessairement moins exigeant sur le confort et le luxe de la salle. Au cinéma Dulaar, à la Croix-Rousse :

‘« C’était vieux, c’était au fond d’un couloir, il y avait des petites odeurs par là…oui, mais enfin, on y faisait pas attention, on ne pensait pas à mieux, on était content de ce qu’on avait. Nous on prenait les places en haut, on disait une soupente, parce qu’à la Croix-Rousse, les maisons avaient toutes des soupentes. Alors nous on demandait une soupente, et on se mettait en haut. C’était…une loge ! » 961

Les spectateurs des salles de quartier privilégient – mais en ont-ils le choix ? – la convivialité au prestige, un cadre libéré au spectacle plus formel des grands établissements. Dans de nombreuses salles de quartier, par exemple, on peut fumer pendant la séance et ce malgré l’arrêté de 1910. Les contraventions pleuvent 962 mais rien n’y fait : personne – et l’exploitant pas plus que les autres – ne se plaint vraiment.

Les salles de cinéma de quartier apparaissent finalement plus comme des salles de quartier que comme des salles de cinéma. Lieux de rencontres et de sociabilité avant tout, le 7ème Art ne constitue pas toujours l’essentiel des programmes. Pendant la période estivale, certaines salles se transforment en dancing ; c’est le cas, en août 1926, du cinéma Family, à la Croix-Rousse, et du cinéma Gerland 963 . Au cinéma Venise, le propriétaire demande l’autorisation de remplacer la séance du dimanche soir du mois de juin au mois d’octobre 1920 par des bals 964 et à Caluire, le directeur du cinéma des Cinq chemins n’attend même pas l’été pour faire de sa salle un dancing 965 .

En vérité, peu importe le spectacle tant que les gens du voisinage ont un lieu où se réunir. Certains établissements sont de véritables salles polyvalentes. Au cinéma Cristal-Palace, dans le quartier de Monplaisir, le propriétaire organise, en sus des séances cinématographiques, bals, concerts et matchs de boxe 966 . Le cinéma des variétés, situé avenue Berthelot, est tour à tour un « café-restaurant-cinéma » en 1919 967 , un « cinéma-dancing » en 1921 968 , un « cinéma-music-hall » en 1923 969 puis on y organise, là aussi, des matchs de boxe 970 . On a vu précédemment que certaines salles de cinéma étaient exploitées conjointement à une salle de café.

Dans certains quartiers, plusieurs exploitations cinématographiques se disputent les faveurs du public, signe patent de la segmentation des publics. Sur la rive gauche du Rhône, des salles étroites et sans confort cohabitent avec les grands établissements exploités par Cinéma-monopole. Si les exploitants se succèdent rapidement, les salles ne disparaissent pas, preuve que des spectateurs les fréquentent.

Illustration 15. Façade du cinéma Moderne, dans le quartier Bellecour, en 1926
Illustration 15. Façade du cinéma Moderne, dans le quartier Bellecour, en 1926

(Source : Le Spectacle de Lyon et du Sud-Est n° 94, 24 décembre 1926)

Illustration 16. Croquis du cinéma Lumina, dans le quartier des Brotteaux, en 1926
Illustration 16. Croquis du cinéma Lumina, dans le quartier des Brotteaux, en 1926

(Source : Le Spectacle de Lyon et du Sud-Est n° 94, 24 décembre 1926)

Illustration 17. Intérieur et façade du cinéma Majestic, rue de la République, en 1928
Illustration 17. Intérieur et façade du cinéma Majestic, rue de la République, en 1928

(Source : La Vie lyonnaise, 20 octobre 1928)

Illustration 18. Façade actuelle du cinéma Cristal-Palace, ouvert en 1923 dans le quartier de Monplaisir
Illustration 18. Façade actuelle du cinéma Cristal-Palace, ouvert en 1923 dans le quartier de Monplaisir

(Collection personnelle)

Illustration 19. Façade actuelle du cinéma Magic, ouvert en 1921 entre les quartiers de Montchat et de la Villette
Illustration 19. Façade actuelle du cinéma Magic, ouvert en 1921 entre les quartiers de Montchat et de la Villette

(Collection personnelle)

Sur la place de la Croix-Rousse, deux salles sont en face l’une de l’autre depuis 1915 et l’ouverture du cinéma dans le café Lacroix. Deux salles, et deux figures d’exploitant très différentes. Le premier arrivé, Jérôme Dulaar, n’est plus un inconnu et sa participation à l’activité syndicale d’une part, et à la vie de quartier d’autre part allègue de son intégration à la communauté (lui qui était forain) et de sa connaissance expérimentée du spectacle cinématographique. Le deuxième, Antoine Lacroix, cumule les casquettes de cafetier et d’exploitant, sa salle servant accessoirement de salle des fêtes. Les deux salles sont différenciées par le public, qui choisissait peut-être de se rendre dans l’une ou l’autre. Le cinéma Lacroix « était une salle tout à fait ordinaire, avec des bancs, et qui ne se compare pas avec celle de Dulaar 971  ».

L’exemple le plus évident de la distinction des publics au sein d’un même quartier est le quartier de Montchat, où cohabite deux populations qui ne se mélangent pas :

‘« Vous savez, ça fait deux mondes, Montchat. Il y a ceux du cours Richard Vitton, et ceux du Cours Dr Long. C’est une clientèle tout à fait différente, hein ! Une clientèle bourgeoise d’un côté, et une clientèle ouvrière de l’autre. Ah ! On ne mélange pas les torchons et les serviettes ! Là-haut, cours Richard Vitton, on a construit des villas, mais elles se sont arrêtées ici. Et de l’autre côté, ah ! C’était les « dames », on ne causait pas à tout le monde de l’autre côté ! » 972

Or, à Montchat justement, vivent à 200 mètres l’une de l’autre deux exploitations cinématographiques, ce depuis 1922. L’une, le Fantasio, est décrite par la municipalité comme de type forain. L’autre, le Montchat-palace, au nom plus ronflant, se voulait plus élitiste. Lors de son ouverture, ses programmes sont insérés dans la presse, et sa publicité axée sur le confort de la salle 973 . Du reste, le public ne s’y trompait pas : « Il n’y en a pas beaucoup qui avaient son allure, croyez-moi ! Il était vraiment confortable, et épatant 974 . »

La présence de deux cinémas au standing inégal au sein du même quartier est l’indication la plus significative de la diversité des publics du cinéma. A Montchat, le choix existe pour les spectateurs entre deux salles, l’une réputée confortable, l’autre moins. Très certainement, l’une est plus chère que l’autre. Mais la différence de prix, si elle existe, n’explique certainement pas tout. Pour quelqu’un qui identifie « deux mondes » dans son quartier, il est tentant de se rendre dans la salle la plus proche de son propre monde, quitte à assister à un spectacle de moindre envergure. Les choix culturels sont aussi dictés par la reconnaissance sociale.

Des palaces du centre-ville aux salles de quartier, l’offre de cinéma dans les années 1920 participe pleinement à la distinction des espaces urbains. La diversité professionnelle des exploitants et l’inégalité de leurs moyens financiers déterminent une hiérarchie des établissements cinématographiques qui s’exprime tout autant dans le confort offert aux spectateurs que dans l’échelle des tarifs. Les habitants de l’agglomération lyonnaise se partagent alors dans les salles de cinéma en fonction de leurs possibilités financières et de la manière dont ils vivent l’espace de la ville ou du quartier, mais également en fonction de leurs goûts.

En effet, la hiérarchie des salles de cinéma ne se répercute pas seulement sur le cadre proposé au public. La circulation des films dans l’agglomération lyonnaise et la programmation des différents établissements cinématographiques contribuent également au morcellement de l’espace urbain et à la distinction des publics.

Notes
944.

DECAUX Emmanuel, « La Ruée vers l’or », in BARROT Olivier et ORY Pascal (dir.), Entre-deux-guerres, la création française entre 1919 et 1939, Paris, Editions Bourin, 1990, pages 230-251.

945.

Pour Vous, 15 décembre 1932.

946.

ADR : P 33 : Dossier individuel de Jérôme Dulaar, rapport des contributions directes du 12 juin 1922.

947.

ADR : P 23 : Dossier individuel de Gonin, rapport des contributions directes du 17 décembre 1922.

948.

AML : 1121 WP 002 : Dossier du cinéma Iris, rapport du commissaire de police du 16 mars 1918.

949.

ADR : P 85 : Dossier individuel d’Eugène Kalbfeis, rapport des contributions directes du 24 mai 1922.

950.

ADR : P 108 : Dossier individuel d’Edmond Mercier, rapport des contributions directes, 14 décembre 1922.

951.

ADR : 4 M484 : Lettre du directeur du cinéma Fantasio au Préfet, datée du 22 février 1919.

952.

Annuaire du Tout-Lyon, année 1920.

953.

BNF-Arsenal : Fonds Serge Sandberg : 4°COL.59/291 : Lettre de Bouchain, 14 avril 1920.

954.

GUAITA Micheline, op. cit., page 193.

955.

Idem, pages 192-193.

956.

Idem, page 217.

957.

GUAITA Micheline, op. cit. , page 205.

958.

AML : 0959 WP 093 : Lettre de la Cie OTL datée du 16 mai 1927.

959.

Le Cri de Lyon n° 348, 15 juillet 1927.

960.

Ibidem.

961.

GUAITA Micheline, op. cit., page 197.

962.

Les sapeurs-pompiers constatent la présence de fumeurs impénitents dans les salles de cinéma Lafayette, Darnas, Alhambra, Venise, Splendid, Iris et Perrache entre 1920 et 1927 (AML : 1271 WP 021 : Fiches des différentes salles).

963.

Le Progrès, 10 août 1926.

964.

AML : 1121 WP 006 : Dossier du cinéma Sébastopol, lettre de Louis Bouvard datée du 3 juin 1920.

965.

AM Caluire : 1 I 18/1 : Lettre de Théodore Sprecher datée du 25 mars 1926.

966.

AML : 1121 WP 002 : Dossier du cinéma Cristal-Palace, autorisation d’exploiter pour l’année 1924.

967.

Indicateur commercial Henri, année 1919.

968.

AML : 1121 WP 002 : Dossier du cinéma des Variétés, lettre de Molin, datée du 29 novembre 1921.

969.

Idem, lettre de Casal, datée du 21 mai 1923.

970.

Idem, lettre de Gardier, datée du 27 mai 1926.

971.

GUAITA Micheline, op. cit. , page 197.

972.

Idem, page 154.

973.

Le Cri de Lyon n° 57, 26 mai 1921.

974.

GUAITA Micheline, op. cit., page 197.