2) Les exploitants et le choix des films

Les profondes inégalités existant entre les différents exploitants lyonnais se retrouvent dans le choix de la programmation. Les propriétaires des cinémas de quartier, généralement inexpérimentés et disposant de moyens financiers extrêmement réduits, se contentent facilement de ce que l’on veut bien leur proposer et contribuent ainsi à perpétuer une différenciation des publics.