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Ce travail doit beaucoup à de nombreuses personnes. Mes remerciements vont tout d’abord à mon directeur de thèse, Jean-Paul Bravard, pour sa disponibilité, son exigence et sa confiance. Qu’il retrouve dans ce travail le souci de la complexité qu’il m’a enseigné et son attachement à pratiquer une géographie à l’interface des sphères de la nature et des sociétés.
Je tiens également à remercier Thierry Joliveau pour ses conseils avisés concernant le SIGéohistorique et le temps qu’il m’a consacré, ainsi que l’équipe du CRENAM pour son soutien technique.
J’ai bénéficié de l’accueil toujours chaleureux des services et des personnes qui m’ont renseignée. En particulier, je tiens à remercier les archivistes de la Ville de Lyon pour m’avoir donné accès à des documents originaux généralement consultables uniquement en version micofilmée, ainsi que les membres du Service Navigation Rhône-Saône qui ont pris le temps de m’aider dans mes recherches documentaires, notamment M. Amiez, M. Billy (aujourd’hui en poste à la DIREN Rhône-Alpes), M. Chambon (actuellement au CETE de Lyon), M. Dumurgier, M. Laborde, M. Malbrunot et M. Sorgues. M. Koreta de la Compagnie Nationale du Rhône m’a communiqué sous forme informatique les données hydrologiques qui ont servi à ce travail.
Toute ma gratitude va aux membres de ma famille et à mes proches amis qui ont été d’un soutien sans faille au cours de ces années de doctorat et auxquels ce travail doit beaucoup. Merci le plus sincère à Fabien, mon époux.
Enfin, cette recherche a bénéficié de l’aide financière de la Région Rhône-Alpes au titre du programme Emergence 2002, à laquelle j’exprime ma reconnaissance.
J’oublie bien des gens qui ont contribué d’une manière ou d’une autre à mener à bien ce travail. Qu’ils en soient chaleureusement remerciés.