Quand j’y pense de plus près, il m’apparaît qu’un historien doit, de toute nécessité, être aussi un poète, car seuls les poètes connaissent vraiment l’art d’enchaîner les événements.
NOVALIS
La conception classique du temps historique comme une série de discontinuités décrites sur le mode du continu, qui se trouve être tout naturellement le récit.
François FURET
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Heinrich von Ofterdingen[1800], trad. de l’allemand par Y. Delétang-Tardif, in Romantiques Allemands, t. 1, Pléiade Gallimard, 1963, p. 443. Faire de l’histoire, t. I, Gallimard, 1976, p. 54.