Le burin de l’une [l’histoire] ne le peint que lorsqu’il [l’homme] se fait voir, et alors ce n’est plus lui ; […] le pinceau du roman, au contraire, le saisit dans son intérieur, le prend quand il quitte le masque.
D.A.F. de SADE
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Idées sur les romans[1800], Genève, Slatkine reprints, 1967, p. 34.