1°) L’accentuation du début. Le pacte et l’événement

Ne viens-je pas là, de façon indigne, de rompre le cercle de l’illusion ? Non pas. Mes personnages existent encore, et leur réalité n’est ni plus ni moins réelle que celle de la convention que je viens ainsi de rompre.
John FOWLES 154

Privilégier l’entrée en matière dans une œuvre peut s’entendre en deux sens : soit on parle de ces récits qui, dans le registre de l’énoncé, placent au début un événement fondateur en quelque manière ; soit, dans le registre de l’énonciation, on s’interroge sur la posture de l’auteur et sur la convention, plus ou moins implicite, qu’il requiert de son lecteur potentiel.

Or il me semble qu’il y a souvent confusion entre ces deux sens, et donc entre deux modes de ce qu'on appellera l’élément "embrayeur", ou "commençant", du roman "classique". Je parlais de l’espèce de "pacte de tromperie" d’Eliot. Toute une tradition critique 155 a mis en avant cette idée d’un contrat générique qui serait au fondement de tout récit fictif.

Pierre Macherey, l’un des premiers, a commencé à préciser cette idée : « L’œuvre est un tissu de fictions », qui pourtant « requiert d’être tenue pour véridique ». Elle suppose donc, de la part du lecteur, « une croyance continuée », qui conduit à parler « d’un pacte, d’un engagement tacite, aux termes duquel serait reconnu pour la fiction le droit d’être comme elle se présente, et nulle autre ». Par ce contrat, le lecteur « entre dans le livre comme dans un monde différent », qui énonce « un vrai » qui ne peut être apprécié « par les voies d’une causalité externe » : ce pacte, « confus et global », institue « un lieu de l’imaginaire en lequel l’œuvre finirait par prendre place 156  ».

Mais c’est bien sûr Philippe Lejeune qui a donné une forme canonique à cette théorie du pacte, en en soulignant deux aspects en particulier : la « pratique patente de la non-identité (l’auteur et le personnage ne portent pas le même nom) », et « l’attestation de fictivité (c’est en général le sous-titre roman qui remplit aujourd’hui cette fonction sur la couverture) 157  ».

Gérard Genette, enfin, précise que le paratexte (tous ces « titre, sous-titre, intertitres ; préfaces, postfaces, avertissements, avant-propos, etc. ; […] qui procurent au texte un entourage (variable) ») « est sans doute un des lieux privilégiés de la dimension pragmatique de l’œuvre, c’est-à-dire de son action sur le lecteur – lieu en particulier de ce que l’on nomme […] le contrat (ou pacte) générique 158  ». Cette notion de pacte souligne donc l’accord, le plus souvent tacite, que requiert d’emblée l’œuvre de son lecteur : l’indication générique roman « ne signifie pas "ce livre est un roman", assertion définitoire qui n’est guère au pouvoir de quiconque, mais plutôt : "Veuillez considérer ce livre comme un roman" 159  ».

Mais cela suffit-il pour en faire l’élément fondateur du roman ? N’y aurait-il pas confusion entre le fonctionnel et le substantiel, pour reprendre une distinction de Genette 160 ? En effet s’il faut entendre le pacte générique comme élément "commençant" du roman, n’est-ce pas dans la seule mesure où il inaugure la convention de fictivité – la feintise de Searle et Schaeffer ? Il paraît difficile d’en faire une notion directement narrative : ce n’est pas autour de cette convention que se construit le monde fictionnel – d’où d’ailleurs les qualificatifs employés par Macherey (le pacte est confus, global). Il n’en est que l’indicateur d’entrée, le seuil. Comme le "il était une fois" du conte, il constitue la part d’ouverture du cadre de la fiction 161 , et celle-ci ne se développe et ne s’organise qu’à partir des éléments qui la composent, rappelés plus haut : les événements racontés, les héros à qui adviennent ces événements, le récit narratif chargé de raconter ces événements.

Le "pacte romanesque" a certes une valeur de reconnaissance, mais s’il est générique il n’est guère génétique, et ceci sans préjudice de sa plus ou moins forte influence sur la lecture 162  : s’il indique un genre, ce n’est pas à partir de lui que se forme et s’organise le monde qu’il a ouvert. Cette forme et cette organisation trouvent bien leur "commencement" dans l’événementiel autour duquel elles se structurent – et auquel, on l’a bien vu avec les historiens, il paraît difficile d’échapper.

Revenons donc au sens premier de cette accentuation initiale – celui d’ailleurs de Jauss. Elle réfère ici à ce type de romans qui, dès leur début, mettent en avant un événement princeps dont tout le reste de la narration est induite 163 . Empruntant le terme à la linguistique pragmatique 164 , on pourrait appeler inchoatifs ces romans.

Un tel privilège accordé aux incipit 165 revêt plusieurs formes. Soit le récit se déroule de façon simplement chronologique (les événements du roman se suivent dans le temps, à partir de cet événement initial, sans que celui-ci n’ait obligatoirement une précellence, causale ou hiérarchique) : le départ de d’Artagnan vers la capitale, la naissance tragique d’Oliver Twist. Soit la primauté de l’événement initial est plutôt de nature logique (les événements racontés sont les conséquences de l’événement premier, on retrouve la catégorie de la nécessité forte de Domingues, où consécution et conséquence paraissent se confondre) : « A M…, ville importante de Haute-Italie, la marquise d’O, dame d’excellente réputation, veuve et mère de plusieurs enfants fort bien élevés, fit savoir par la presse qu’elle était, sans savoir comment, dans l’attente d’un heureux événement 166  ». Soit enfin l’événement initial constitue l’annonce et en quelque sorte le condensé de la suite du récit, à la manière d’une prolepse : citons, chez Balzac qui pourtant emploie assez peu le procédé, le rêve de madame Birotteau, qui, dédoublée par son cauchemar, « s’était apparu à elle-même en haillons », « se demandait l’aumône ». On pourrait citer également La Mort d’Ivan Ilitch, où la mort du héros, épilogue du récit, est annoncée dès les premières lignes : cas frappant de prédestination 167 , où l’enchaînement dramatique des événements suit inéluctablement l’annonce prémonitoire 168 .

Le premier type de récits à accentuation initiale repose sur le pacte le plus élémentaire qui soit, puisque le lecteur n’a que peu d’efforts de reconstitution à y effectuer. Il lui suffit de suivre l’ordre, "naturel", de succession des événements que le roman lui-même respecte. Les accélérations, les ralentissements, les pauses qui peuvent se produire à l’intérieur de cet ordre 169 ne le remettent pas du tout en cause.

Les deux autres types de récits à accentuation initiale sont assez rares avant le XX e siècle. Et pourtant, si mon hypothèse, de le voir comme toujours construit autour d’événements, "embrayeurs" de la fiction, est juste, à poser ainsi d’entrée l’événement fondateur ne serait-on pas dans une sorte de "degré zéro" du roman ? S’il s’agit en effet de partir d’un tel événement bouleversant la vie des personnages, donc ouvrant le procès de la fiction, cette dernière se développant ensuite en racontant ses conséquences et ce qu’il peut engendrer comme nouvelles péripéties dans la vie des personnages, alors le fait de placer l’événement central dès le début paraît bien constituer une structure narrative première 170 . C’est ce que semble penser D’Arthez lorsqu’il prodigue ces conseils au futur journaliste Lucien de Rubempré : « Entrez tout d’abord dans l’action. Prenez-moi votre sujet tantôt en travers, tantôt par la queue ; enfin variez vos plans, pour n’être jamais le même 171  ». C’est de cet in medias res venu tout droit d’Horace   que le narrateur de Colomba se réclame encore plus explicitement 172 .

Mais il faut s’entendre sur l’in medias res. Certes, Gérard Genette écrit que ce type de début est devenu une forme canonique du récit épique depuis l’anachronie initiale de l’Iliade  : « On sait que ce début in medias res suivi d’un retour en arrière explicatif deviendra l’un des topoïformels du genre épique, et aussi combien le style de la narration romanesque est resté sur ce point fidèle à celui de son lointain ancêtre, et ce jusqu’en plein XIX e siècle "réaliste" ». Et Genette cite César Birotteau et La duchesse de Langeais, où effectivement il y a cette sorte d’« anachronie 173  ».

Et pourtant les incipit de ces deux œuvres font bel et bien entrer le lecteur dans l’univers fictionnel par la « pente douce 174  » d’une description des lieux et de l’époque de l’action. On ménage encore le lecteur ici par « ces préparations didactiques » dont Balzac évoque la « nécessité » dans La recherche de l’absolu 175 . Et ni Illusions perdues, ni Colomba ne jettent d’entrée le lecteur « au cœur des choses », dans l’in medias res.

Alors in medias res certes, mais qui ne brusque pas le lecteur. Et si on va voir l’in medias res revenir à plusieurs reprises, de façon insistante, dans l’histoire ici entreprise, je m’accorderai avec Jean-Luc Morhange lorsque celui-ci affirme qu’il n’existe pas de début in medias res stricto sensu dans le roman occidental avant Zola 176 .

Tout dépend de la définition qui lui est donné. S’il s’agit, comme l’écrit Genette, d’un « effet d’anachronie caractérisé » comme celui de l’Iliade, alors les romans cités de Balzac, Colomba, usent effectivement de ce procédé. Mais s’il s’agit d’une entrée en matière directe, sans médiation, dans l’univers fictionnel que le roman inaugure, alors les quelques prolepses qu’on a évoquées ne sont pas de véritables entrées in medias res. Même dans le cas des romans cités, nous sommes encore, pour parler comme Morhange, dans « une rhétorique de la médiation ».

Y compris donc dans le cas du roman "réaliste", pour « préparer la perception de l’événement inouï », selon le mot de Conrad 177 , il faut d’abord construire un monde dans lequel cet événement va surgir. Et cette rhétorique perdure : « J’avais envie d’empoisonner un moine », écrit l’auteur du Nom de la rose 178 . Mais avant que le premier bénédictin ne soit assassiné, Umberto Eco aura minutieusement reconstitué la vie d’une abbaye moyenâgeuse dans un roman d’une facture, de ce point de vue, très classique…

Trouverait-on là une des première raisons qui ont conduit la nouvelle à une sorte de perfection ? La contrainte de brièveté, qui oblige à une concentration des étapes narratives, s’est parfois traduite en effet, comme dans La Marquise d’O ou La mort d’Ivan Ilitch, par la mise en place dès l’entrée en matière de l’événement principal… Toutefois, cela n’a que peu été la "pente naturelle" des grands nouvellistes "classiques", beaucoup plus aimantés par l’orientation générale de leurs récits vers leurs fins, comme nous le verrons.

Peut-être romanciers et nouvellistes ont-ils finalement été freinés par l’excessive simplicité, « biblique », qui se rattacherait au « modèle primitif du mythe de la chute », que Jauss distingue dans cette structure narrative à accentuation initiale…

Notes
154.

Sarah et le lieutenant français[1969], trad. de l’anglais par G. Durand, Seuil, 1972, p. 101.

155.

Peut-être issue de Sartre. Du côté du lecteur : « Le propre de la conscience esthétique c’est d’être croyance par engagement, par serment, croyance continuée par fidélité à soi et à l’auteur, choix perpétuellement renouvelé de croire ». Quant à l’auteur, il écrit « pour s’adresser à la liberté de lecteurs et il la requiert de faire exister son œuvre. Mais il ne se borne pas là et il exige en outre qu’ils lui retournent cette confiance qu’il leur a donnée, qu’ils reconnaissent sa liberté créatrice et qu’ils la sollicitent à leur tour en un appel symétrique et inverse » (Qu’est-ce que la littérature ?, Op. Cit., pp. 63-65).

156.

Pour une théorie de la production littéraire[1966], Maspero, 1980, pp. 87-89. Macherey précise que cette idée de contrat n’a qu’une valeur d’image, car il n’y a pas de « décision spontanée », ni de la part de l’auteur, ni de celle du lecteur (p. 92).

157.

Le pacte autobiographique, Seuil, coll. « Poétique », 1975, p. 27. Définitions reprises et discutées dans Moi aussi (Seuil, coll. « Poétique », 1986), particulièrement pp. 20-25.

158.

Gérard GENETTE, Palimpsestes, Seuil, coll. « Poétique », 1982, p. 9.

159.

Gérard GENETTE, Seuils, Seuil, coll. « Poétique », 1987, p. 15.

160.

Ibid., Introduction.

161.

Cette notion de cadre a été mise en avant par les poéticiens russes, en particulier Boris Uspenski et Iouri Lotman. Nous en reparlerons, d’une façon plus développée, à propos de l’accentuation de la fin.

162.

Comme l’écrit Genette, «comment lirions-nous l’Ulysse de Joyce s’il ne s’intitulait pas Ulysse ? » (Seuils, Op. Cit., p. 8).

163.

Pour Lejeune, il existe un type d’écriture, non fictionnelle, qui ne saurait privilégier autre chose que son commencement : le journal intime (Les brouillons de soi, Seuil, 1998, pp. 390-393).

164.

Cf. par exemple Maria KOSZLOWSKA, «Aspects, Modes d’Action et Classes Aspectuelles », in Le temps des événements, pragmatique de la référence temporelle, Kimé, 1998, pp. 101-121.

165.

Certains se sont penchés sur la question de la délimitation de l’incipit et sur les critères de découpage. Andrea DEL LUNGO, par exemple, propose de ne pas se limiter à « la seule première phrase, mais de prendre plutôt en considération une première unité de texte », en recherchant un « effet de clôture ou d’une fracture dans le texte » (« Pour une poétique de l’incipit », revue Poétique, n° 94, pp. 130-152, 1994, p. 135).

166.

Heinrich von KLEIST, La marquise d’O[1810], Mille et une Nuits, 1999, p. 5.

167.

Structure biblique, où l’événement, lorsqu’il advient, atteste de la vérité du discours antérieur, prophétique, qui l’avait annoncé…

168.

Peut-être pourrait-on encore ranger dans cette dernière catégorie un certain nombre d’œuvres de Jules Verne, qui sont en fait la chronique du déchiffrement d’un message crypté proposé à la sagacité des personnages (et du lecteur) dès le début du roman (Mathias Sandorf, La Jangada, Les Enfants du Capitaine Grant, Voyage au centre de la Terre).

169.

Genette en a proposé une classification, on l’a dit : « Etudier l’ordre temporel d’un récit, c’est confronter l’ordre de disposition des événements ou segments temporels dans le discours narratif à l’ordre de succession de ces mêmes événements ou segments temporels dans l’histoire, en tant qu’il est explicitement indiqué par le récit lui-même » (Figures III, Op. Cit., pp. 78-79).

170.

La « sémantique du discours » distingue la Narration, qui suit l’ordre temporel, et l’Explication, où l’ordre temporel est inversé et où la cause est donnée après la conséquence (Voir Jacques MOESCHLER, « Les relations entre événements et l’interprétation des énoncés », Le temps des événements, Op. Cit., pp. 293-321). Dans une telle perspective, nous serions plutôt ici dans l’Explication. Reste à savoir si cette grammaire phrastique (relations entre deux éléments-phrases du discours) peut sans problème être étendue à une grammaire du récit. La question divise les "narratologues". Jacques BRES, souscrivant à l’idée « qu’il est possible d’analyser un récit comme une (grande) phrase », écrit qu’ « on retrouve cette proposition dans toute (ou presque) la narratologie contemporaine », et en situe l’origine dans la lecture de Tesnière par Greimas : « C’est à partir de la définition de la phrase simple par Tesnière que Greimas [dans Sémantique structurale, p. 173] fonde l’homologie phrase/récit » (La narrativité, Louvain, Duculot, 1994, p. 97). En face, on aurait Frédéric FRANÇOIS, selon lequel il est difficile de poser une grammaire du texte « homologue en grand à ce que serait la grammaire des phrases en petit » (« Linguistique et analyse de texte », in Linguistique, PUF, 1980, pp. 233-277, p. 236. Cité par Jean-Michel ADAM, Le texte narratif. Précis d’analyse textuelle, Nathan, 1985, p. 6).

171.

La citation d’Illusions perdues[1843] est donnée par Genette dans Figures III (note 1, p. 80).

172.

« C’est pour me conformer au précepte d’Horace que je me suis lancé d’abord in medias res » (Prosper MERIMEE, Colomba[1840], début du chap. 6). Voici ce précepte, à propos d’Homère : « Il se hâte toujours vers le dénouement, il emporte l’auditeur au milieu des faits (in medias res), comme s’ils étaient connus » (De arte poetica, vers 148-149, cité par Andrea DEL LUNGO, L’incipit romanesque, Seuil, coll. « Poétique », 2003, p. 111).

173.

Figures III, Op. Cit., p. 79. Affirmation nuancée plus tard dans Nouveau discours du récit, p. 21, où Genette s’accuse d’avoir « péché par généralisation hâtive ». Voici l’exemple de La duchesse de Langeais, après une vingtaine de pages dans le couvent où est enfermée l’héroïne, on lit cette phrase : « Voici maintenant l’aventure qui avait déterminé la situation respective où se trouvaient alors les deux personnages de cette scène ».

174.

L’expression est de Jacques DUBOIS : « Ces habitudes de saine logique sont celles de Balzac, et des écrivains plus artistes, comme Flaubert et Zola, n’y renoncent presque jamais : les débuts de chapitres dans Madame Bovary ou dans Nana l’attestent. Par des entrées en pente douce, la plupart des romanciers désirent donc réduire les brisures qui sont toujours le défaut d’un récit par rapport au continu de la vie » (Romanciers français de l’instantané, Bruxelles, Palais de l’Académie, 1963, p. 84).

175.

La recherche de l’absolu, t. VII, p. 221. Voici les incipit de César Birotteau et de La duchesse de Langeais : « Durant les nuits d’hiver, le bruit ne cesse dans la rue Saint-Honoré que pendant un instant ; les maraîchers y continuent, en allant à la Halle, le mouvement qu’ont fait les voitures qui reviennent du spectacle ou du bal » ; « Il existe dans une ville espagnole située sur une île de la Méditerranée, un couvent de Carmélites Déchaussées où la règle de l’ordre institué par sainte Thérèse s’est conservée dans la rigueur primitive de la réformation due à cette illustre femme ».

176.

« Incipit narratifs, l’entrée du lecteur dans l’univers de la fiction » (revue Poétique, n° 104, Seuil, 1995, pp. 387-410). Morhange analyse en détail l’incipit du Rouge et le noir, et ajoute que cette analyse « pourrait s’appliquer au début de presque n’importe quel roman français du XIXe siècle ». Et de citer, à titre d’exemples, Le père Goriot, Colomba, Les mystères de Paris, Les quarante-cinq, Les misérables, Le capitaine Fracasse, Le chevalier Des Touches, La fortune des Rougon, Le tour du monde en quatre-vingt jours (note 34, p. 393). Et combien d’autres romans non français des mêmes époques pourrait-on ajouter…

177.

« Livres »[1905], in Propos sur les Lettres, trad. de l’anglais par M. Desforges, Actes-Sud, p. 16.

178.

Dans Apostille au « Nom de la rose »[1983], trad. de l’italien par M. Bouzaher, Livre de Poche, 1985, p. 18.