Université Lumière Lyon 2
Ecole doctorale : Humanités et Sciences Humaines
Faculté des Lettres, des Sciences du Langage et Arts
Département des Sciences du langage
Laboratoire : Dynamique Du Langage
Développement phonologique en français langue maternelle
Une étude de cas
Thèse de doctorat en Sciences du langage
Dirigée par Harriet JISA et Yvan ROSE
Présentée et soutenue publiquement le 20 juin 2007
Devant un jury composé de :
Gilbert PUECH, Professeur de l’Université Lyon 2
JISA Harriet, Professeur de l’Université Lyon 2
ROSE Yvan, Professeur de l’Université Saint John's Newfoundland
WAUQUIER Sophie, Professeur de l’Université Paris 8
LAKS Bernard, Professeur de l’Université Paris 10
FILLERT Paula, Professeur de l’Université Nijmegen
DEMUTH Katherine, Professeur de l’Université Brown

Contrat de diffusion

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Remerciements

« Si la matière grise était plus rose,le monde aurait moins les idées noires »
Pierre Dac, Avec des SI…

Ce travail a été réalisé grâce à une allocation de recherche du Ministère de de l’Enseignement Supérieure et de la Recherche.

Je tiens tout d’abord à exprimer ma gratitude envers mes deux directeurs de thèse, Harriet Jisa et Yvan Rose. Je remercie Harriet Jisa pour m’avoir fait découvrir ce domaine passionnant qu’est l’acquisition du langage et pour m’avoir soutenu durant la réalisation de ce travail. Je remercie aussi Yvan Rose pour m’avoir initié aux arcanes de la théorie de l’optimalité et m’avoir aidé à développer mon esprit critique durant mes trois séjours à Terre Neuve.

Je remercie également l’ensemble des membres du jury pour l’honneur et le grand plaisir qu’ils me font de juger mon travail, en particulier Katherine Demuth pour m’avoir permis de faire partie de son projet et pour m’avoir accueilli durant un mois dans son laboratoire, et Gilbert Puech pour m’avoir aidé dès mes premiers pas dans le domaine des Sciences Du Langage et m’avoir fait comprendre en profondeur les apports du structuralisme.

Je suis reconnaissant à tous les membres du Laboratoire Dynamique Du Langage pour avoir réussi à me supporter durant ces années de thèse. Notamment Gérard Philippson qui a toujours eu la patience de répondre à mes questions phonologiques de dernière minute ; Lolke Van der Veen avec qui j’ai apprécié de travailler en équipe ; Nathalie Bedoin pour son aide concernant mes questions sur la cognition ; Sophie Kern pour sa disponibilité ; et surtout François Pellegrino qui a su me faire confiance au moment où j’en ai eu besoin. Je tiens enfin à remercier, bien que ne faisant pas partie du laboratoire, Isabelle Guinamard, avec qui j’ai enseigné en Français Langue étrangère.

Bien entendu, comment parler du laboratoire sans parler de celui qui en incarne le plus parfaitement l’esprit, Egidio Marsico. Ce maître du funk à la voix incomparable est devenu indispensable à tout étudiant en fin de thèse (mais pas que…). Je le remercie pour toute l’aide qu’il m’a apporté et aussi pour m’avoir fait découvrir la musique noire américaine. Il n’est pas le seul à être à l’origine du climat chaleureux du laboratoire. Christophe Coupé fait partie de ces personnes. Il m’a permis entre autre d’avoir la joie de voir plus souvent qu’à son tour le Brésil battre l’Italie à plate couture. Je remercie également Christian Fressard pour ces conseils informatiques et son aide dans les moments clés ainsi que Florence Chenu pour ses corrections orthographiques impitoyables.

Ce laboratoire comporte également nombre de doctorants qui contribuent à son ambiance. Je remercie donc Jalal (et Liliane qui vient parfois nous rendre visite), Manu, Anetta, Vincent et tous mes cobureaux : Mahé, Rim, Miyuki, Claire, Caroline, Rébecca et Sophie avec qui j’ai partagé la même aventure et souvent de nombreuses tasses de thé.

Je ne peux oublier également ceux qui, en dehors du laboratoire m’ont toujours soutenu comme mes ami(e)s Jean, Stéphane, Caroline et Manon ou mes amis d’enfance, David, Josias, Olivier et Christophe, et aussi mes ami(e)s de l’autre côté de l’atlantique, ceux de Terre Neuve (Christine, Carla et Greg) et ceux du Brésil (Miguel, Gerson et Genilda).

Enfin, ce tableau ne serait pas complet si je ne citais pas ma « belle famille », Eliane et ses petits pots de confiture et mamie Domazon, ainsi que toute ma famille en particulier ma mère, mon père et ma sœur Anne qui ont toujours cru en ma bonne étoile. C’est en grande partie grâce à eux que cette thèse existe aujourd’hui.

Pour terminer, je tiens à remercier Valérie qui a été présente à mes côtés dans les mauvais comme les bons moments, qui a su trouver les mots justes et me pousser à croire en moi et sans qui cette thèse n’aurait sans doute jamais vu le jour.

Les productions de Marilyn étant à l’origine de ce travail, je me dois d’exprimer toute ma gratitude à elle et à ses parents. Un grand merci à eux. J’espère qu’ils reconnaîtront leur fille à travers toutes mes transcriptions.

« Here the winds blowAnd here they dieNot with that wild, exotic rageThat vainly sweeps untrodden shores,But with familiar breathHolding a partnership with life,Resonant with hopes of spring,Pungent with the airs of harvest.They call with the silver fifes of the sea,They breathe with the lungs of men,They are one with the tides of the sea,They are one with the tides of the heart,They blow with the rising octaves of dawn,They die with the largo of dusk,Their hands are full to the overflow,In their right is the bread of life,In their left are the waters of death. »
E.J Pratt, Newfoundland