2.2.3 – Vente de fonds de librairie

Les commerces de librairie sont difficiles à vendre, la transaction n’a lieu « qu’avec une perte infiniment considérable » ³²⁸ . Les vente dans la librairie sont pléthores à Lyon. Antoine Servant vend sa société le 9 octobre 1728 aux frères Detournes, renonce aux profits, en échange d’une rente. Deville vend aux Detournes le tiers d’une maison « servant depuis long tems de magasins pour les libraires rue Confort pour quatre mille deux cents livres » ³²⁹ . Madeleine Bruyset conserve le fonds de librairie de son mari pendant un grand nombre d’années, puis consent à le vendre à Joseph-Sulpice Grabit.