2.2.3 - L’affaire de la Compagnie des Indes et des Eaux

L’affaire est reconstituée à travers les récits de Joseph Duplain de Sainte-Albine dans les Lettres au Comte de B*** du 12 juillet 1789 et dans un mémoire intitulé Anecdote sur M. Le Noir, qui donnera une idée de la manière dont les anecdotes sont traitées dans les Lettres à M. le Comte de B***, 1787 (71 pièces pour la Cie des Indes)

Tout commence en 1787, Calonne 1091 imagine un stratagème pour gagner de fortes sommes d’argent, explique Duplain. Les actions de la Compagnie des Indes et celles des Eaux de Paris lui semblent un bon moyen. Il engage des prête noms pour qu’ils achètent une forte quantité d’actions ; dans le même temps, d’autre prêtes noms invitent le public, à leur vendre à découvert ces mêmes actions (c’est-à-dire sans en avoir aucune). Chacune des parties attend avec impatience de connaître le cours des actions en espérant réaliser une bonne affaire. Coup de théâtre, l’action des Indes passe de mille livres à deux mille deux cents et celle des Eaux de deux mille à quatre mille livres. Les parties qui s’étaient engagées à revendre des actions à un certain taux ne peuvent tenir leurs promesses. « M. Calonne devint le maître de la fortune de tous ceux qui avait contracté avec ses agents ». Duplain attribue l’organisation de l’affaire à MM. de Veymerange, Pyron de Chaboulon, Servat, et le Comte de Senesse, agissant tous sous la direction de Pierre Le Noir, le même homme qui l’a condamné en 1777 à Lyon. L’affaire fait grand bruit, le « peuple gronde », les victimes crient au vol, au scandale, chacun « déclamant contre l’agiotage » 1092 . Les propriétaires des actions décident de s’unir, sous la direction de Duplain, pour défendre leurs intérêts auprès des ministres, leurs démarches restent sans effet. La rumeur arrive jusqu’au trône qui décide de prendre des mesures contre l’agiotage. Un « bel arrêt du conseil » qui foudroie l’agiotage et ceux qui s’en occupe, met en place une commission pour punir les joueurs et leur infliger une amende de vingt quatre mille livres. Calonne étant lui-même impliqué dans l’affaire, Duplain fait tenir ces propos à Le Noir à Calonne :

‘En punissant les agioteurs, on n’imaginera pas, Monseigneur, que vous soyez vous-même un agioteur ; d’ailleurs peu de personnes savent que vous avez donné onze millions pour agioter ; il faut faire un appel de tous vos Aides-de-camp, & les inviter au secret » 1093 .’

Le tribunal chargé de statuer dans le domaine se compose de MM. Le Noir, Flesselles, Granvelle, Thiroux de Crosne, Alexandre, Tourteau. Après avoir composé ce tribunal, il faut maintenant trouver une victime, « Pierre Le Noir se chargea encore de la trouver, & de la trouver de premier ordre » 1094 . Dans le même temps, Sainte-Albine sert de prête nom pour M. Hazon de Saint Firmin, dans la vente de « quatre ou cinq cents actions des Indes », qu’il doit vendre à MM. Muguet et Saint Didier. Les relations entre les protagonistes s’enveniment, Le Noir s’empare de l’affaire et après avoir amadoué Hazon, « il le flatte, le caresse… », le convint de servir d’arbitre dans son affaire. Pour Duplain, le fait que Le Noir « mange dans la main », augure une traîtrise imminente. Les protagonistes réunis, Pierre le Noir « prit un air riant, tendit les mains aux parties », chacun expose sa position, Sainte-Albine affirme n’être « qu’un prête nom officieux, et sans honoraire et qu’il ne s’étoit rendu à l’invitation de M. Hazon que pour éclairer Messieurs les arbitres » 1095 . M. Hazon confirme les affirmations de Duplain, de toute évidence cet homme couvre Duplain pour qui il est le dernier « fusible ». « Nous allons vous arranger » conclut Le Noir avant de quitter la pièce pour aller retrouver « son petit tribunal ». La condamnation devant logiquement porter sur M. Hazon, le tribunal juge que cette victime n’est pas « suffisamment apparente avec pas assez de représentation » 1096 . Duplain de Sainte-Albine est condamné, à la place d’Hazon, à payer une amende de vingt-quatre mille livres (trente deux mille livres avec les frais) (dans l’Anecdote à M. Le Noir soixante-quatre mille livres dans les Lettres au Comte de B***). M. de Sainte-Albine fait appel du jugement, proteste auprès de M. Le Noir qui pour la deuxième fois, le condamne encore, celui-ci ne change rien à la décision car « il falloit un Arrêt qui détournât l’orage qui grondoit sur sa tête » 1097 . Si l’appel de Duplain est entendu, tous les bénéfices de l’affaire, s’il y en a, seront pour Hazon « pour faire plaisir et obliger ce dernier qui lui a prêté son nom dans cette affaire » 1098  :

‘Convention de transaction Jean-Baptiste Pierre Julien Pyron de Chaboulon, demeurant à Paris, rue de Choiseul, paroisse Saint-roch.
Joseph-Benoît Duplain de Sainte-Albine, négociant, demeurant à Paris, rue de Vaugirard, paroisse Saint Sulpice.
Lesquels désirant terminer les contestation pendantes entre eux devant MM. Les Juges de cette ville, pour raison de la remise à faire audit Sr Pyron par ledit Sr Duplain, de 1 300 actions de la Caisse d’escompte, déposées par ledit Sr Pyron au Sr Duplain en nantissement et pour sureté de différentes sommes quie ledit Sr Duplain lui a prêtées, ont transigé entre eux sur lesdites contestations.
Art 1. Pyron reconnaît devoir à Duplain la somme de 5 400 028 livres 3 sols 4 deniers
Art 2. Duplain a en dépôt les 1 300 actions
Art 3. Remboursement de Pyron
30/6, 1 666 776 livres 13 sols 4 deniers
31/7, idem
31/8, 2 089 474 livres 16 sols, 8 deniers
Art 4. Duplain remet
30/6, 402 actions
31/7, 400 actions
31/8, 400 actions 1099

Duplain de Sainte-Albine est ruiné, le désespoir s’empare de lui, il tombe malade. Il passe ses journées au lit sans pouvoir trouver le sommeil, seul un miracle peut le tirer de la situation dans laquelle il se trouve. Soutenu par sa famille, « interrompu souvent par mes enfants dans mes profondes rêveries, je versois des larmes de sang sur la destinée amère qui les menaçoit », il ne vit qu’au rythme de la bourse. C’est alors que le miracle se produit, fin décembre 1787 « J’attendois, en tremblant, l’ouverture à la bourse du prix de l’Action : elle s’ouvres… à 4 700 livres, & bientôt l’enthousiasme, l’ivresse & je ne sais quel prestige la porte à 5 000 livres, 5 200 & 5 300 livres ». « Plus prompte que l’éclair, je mets en course tous les Agents de change, tous les Courtiers, je ne refuse pas un acheteur, & je vends 665 actions. En 1787, je n’avois plus heureusement aucune action de la caisse, & la perte que j’avois faite sur les mêmes actions étoit réparée, à 100 000 livres près, si mes acheteurs étoient aussi fidèles à leurs engagements que je l’avois été aux miens. Je bénissois le ciel d’avoir couronné ma constance par un succès aussi inattendu » 1100 . Malheureusement il est dénoncé par ceux qui avaient racheté les actions à cinq mille livres pour avoir provoqué la baisse de celle-ci, condamné, il est exilé à Lyon. Il parvient à obtenir une autorisation pour s’installer près de Paris. Début 1788, grâce à l’intervention de M. l’Archevêque de Sens, la lettre de cachet qui empêchait Duplain de rentrer à Paris est révoquée. La raison veut qu’il cesse d’agioter… mais six cent soixante douze mille livres de perte en un an l’obligent à continuer :

‘Je la continuais [sa route] mais mon vaisseau ne marchoit plus, & tous les mouvemens qu’il faisoit n’étoient que des mouvements rétrogrades qui m’éloignaient toujours de la terre, & me portoient continuellement sur les écueils 1101 .’

Durant cette année 1787, vingt-cinq billets sont passés avec Baroud pour une somme de six cent vingt-sept mille cent treize mille livres 1102 . Fin 1787, l’abbé d’Espagnac est condamné à payer quarante quatre mille livres à Duplain, nous n’en connaissons pas la raison 1103 . Les mois de janvier à avril 1788 lui coûtent huit cent mille livres, qu’il essaie d’éponger par tous les moyens, « Des contrats déposés en gage, des rentes viagères transportées, une argenterie considérable donnée en nantissement ». Des bruits courent que Duplain est sorti de Paris avec des trésors. En juillet 1788, ses meubles sont saisis, il est chassé de chez lui 1104  :

‘… Le Sr Rybes, le plus cruel de mes adversaires, après avoir chassé ma femme & mes enfans de leur domicile, après avoir fait vendre jusqu’à leur lit, sous le prétexte d’un billet de 10 000 livres que je n’avois pu acquitter prétend lui-même aujourd’hui que je ne lui devois pas ce billet, qu’il n’étoit point fondé à en exiger le paiement 1105 .’

Dans un acte du 20 mai 1789, Joseph déclare qu’il a quitté Paris le 30 avril 1788 1106 . En janvier 1789 il est à Boulogne où il signe un acte notarié le 20 janvier :

‘Lequel… a par les présentes cédé et transporté avec toute garantie à M. Josph Charlary, Comte d’Aunoy, colonel de cavalerie, demeurant à Paris rue Neuve des petits Champs paroisse Saint-roche, à ce présent et acceptant la somme de 26 671 livres 18 sols montant d’un billet souscrit par M. Baron Van Beirle et la dame son épouse le 20 octobre 1787 au profit dudit Sr Duplain de Sainte-Albine échu le 31 décembre dernier 1107 .’

A l’issue de l’aventure en 1789, celle-ci lui a fait perdre plus de trois millions de livres :

‘Je n’avois nulle idée du commerce des fonds publics ; cette nature d’effets fixa mon attention, parce que leur produit étoit certain & susceptible d’augmentation ; ou peut-être, faut-il le dire, parce que ma malheureuse destinée me conduisoit, comme par la main, vers l’écueil contre lequel je devois m’échouer, & perdre une fortune acquise par des travaux héréditaires et honorables 1108 .’

Il lance un appel à ses créanciers :

‘Si parmi mes dépradateurs (car ils s’annoncent tous pour avoir perdu des sommes énormes avec moi) il se trouve de véritables créanciers, des créanciers auxquels je ne puisse pas opposer des compensations utiles, je les prie de se présenter à moi ; je les invite à quitter le masque imposteur dont ils s’enveloppent ; ma cause est la leur, mes créances sont leur gage, qu’ils forment donc en attendant, & pour leur sûreté, des oppositions chez mes débiteurs ; je leur en présente ici un tableau, & je ne ferai pas attendre le second »1109.’

Durant l’année 1789, il est en affaire avec Chirat pour trois mille deux cent dix-neuf livres, les sommes engagées ont considérablement baissées :

‘Vous n’avez sans doute pas oublié, M. le Comte, qu’ayant reçu un coup de pied du Cardinal de Brienne [Etienne Charles Loménie de Brienne] et un coup de soleil dans la rue Vivienne, les proxénètes qui habitent cette forêt, s’empressèrent de me dévaliser comme les riverains s’empressent de confesser l’action par laquelle on les dépouille. Ils trouvent mauvais aujourd’hui que rendu à la vie, je les attaque en restitution, ce qui effectivement est d’autant plus pénible, que ces braves gens croyant mortel le coup dont j’avois été atteint, se regardoient déjà comme des héritiers imperturbables. Les détails de mon aventure parvient jusqu’à Lyon, où mes amis s’égaïèrent à mes dépens, et suivant l’usage (Duret). Un de ceux que je voyais le plus habituellement (M. Roze le cadet [Gérin-Roze]) qui avoit trouvé dans mes temps de prospérité, mon vin de l’Hermitage et celui de Cote-Rotie, excellent, annonça dans tous les cercles que, ruiné de fond en comble, que je m’étois retiré en Province, où j’avois élevé une Auberge pour subsister 1110 .’

Il est prêt à se justifier, à montrer des preuves de sa bonne foi et de sa loyauté au grand jour :

‘Oui, Monsieur le Comte, oui, je me justifierai, oui, je sortirai de cet état de léthargie, de cet état d’annihilation où les malheurs accumulés sur ma tête, & des injustices atroces m’avoient plongé. Je viendrai essuyer les dégoûts des procès ; je viendrai affronter leurs éternelles longueurs, je suivrai mes ennemis dans tous les repaires de leur détestable chicane, & soyez certains que j’obtiendrai justice. Je dois à ma femme, je dois à mes enfans qui me recommandent une fortune que la plus mauvaise fois a dilapidé, de poursuivre ceux qui la retiennent injustement ; je me dois à moi-même de venger un honneur que veulent me ravir ceux même qui se partagent ma fortune 1111 .’ ‘L’on s’extasie ici sur les miracles qui s’opèrent à la bourse ; l’emprunt de 126 mil. A neuf pour cent de bénéfice ; la caisse d’escompte à 3 700 livres ; l’action des Indes à 1 000 livres ; voilà dit-on le crédit rétabli ; voilà le fruit de nos opérations… L’augmentation à la bourse ne signifie donc rien pour nous… c’est plutôt le précurseur de la détresse du commerce ; et la raison en est simple : supposons qu’il existe pour 600 millions d’effets sur la place, et que ces effets ont approuvé une augmentation de 20 %, c’est 12 millions de numéraire qu’il faut de plus ; c’est donc 12 millions dont la circulation est privée. Nous ne considérons d’agens utiles dans cet état, que les négocians, les manufacturiers et les ouvriers ; c’est cette seule classe d’hommes nécessaires qu’il fut aider, soulager et encourager… qu’en lui donnant enfin des assignats de petites sommes 1112 .’ ‘Le peuple s’est jetté hier sur les marchands d’argent au Palais-Royal ; il les a poursuivi, menacé de la lanterne. Qu’en est-il résulté ? La hausse du numéraire, et la misère plus grande. Que le peuple s’élève contre une fabrication lente et intéressée des assignats, qu’il retire ses pouvoirs de ses députés ignorans ou gagés… mais qu’il laisse les marchands d’argent comme les marchands de bled, jouir d’une liberté entière ; c’est un troupeau qu’il faut caresser pour obtenir sa toison » 1113 .’ ‘« Le peuple vient de se porter à de nouveaux excès contre les marchands d’argent ; ceux-ci ont opposé la force à la violence, et ont tiré d’un coup de poignard un malheureux jeunes homme qui marchandoit l’argent… L’affluence est telle au Palais Royal, qu’on craint une émeute. Quand paroîtront donc les assignats de petite somme ? Quand versera-t-on ce beaume salutaire sur une plaie qui s’élargit tous les jours ? 1114

Nous avons trace d’une affaire relatée dans un dépôt de plainte de la part de Joseph à l’encontre de MM. Adamoly, Villette de la Musellerie et l’ agent de change Bouchet. Joseph est toujours domicilié à Boulogne-sur-Mer, son adresse parisienne étant à l’hôtel de l’Empereur, rue de Tournon, faubourg Saint-Germain. Le 18 mai, alors que Joseph s’apprête à rentrer au café de Soy, rue des Beaujolais, près du Palais Royal, il dépasse un groupe de courtiers et d’agents de change en grande discussion. Deux hommes se détachent et se dirigent vers Joseph en l’insultant copieusement, il s’agit de MM. Adamoly et Bouchet. Les propos sont violents, au milieu de « mille injures », il est traité de « fripon » et de « malhonnête ». Il lui est enfin reproché d’avoir des procès avec tous les agents de change, à l’issue de l’incartade, après avoir été maîtrisé par Michel Condre un courtier de change, Adamoly propose un « cartel » à Duplain. Le lendemain dès huit heurs du matin Adamoly se présente au domicile de Duplain avec un inconnu pour lui renouveller la proposition, cette rencontre se fait en présence de M. Béringuier, ami de Joseph. Duplain refuse encore une fois la proposition et se rend au Palais Royal pour sa promenade habituelle de dix heures. Il croise de nouveau Adamoly qui est cette fois accompagné de M. Gentil, officier ; pour la troisième fois il demande à Duplain de pactiser. Duplain poursuit son chemin, ignorant ses interlocuteurs. Il est rejoint par MM. Garrisson, Bouchet, Villette de la Musellerie entourés d’une cinquantaine de courtiers. La Musellerie tente un enlèvement et essaie de précipiter Duplain dans son cabriolet. Duplain parvient à se libérer de l’étreinte et continue son chemin du côté des Variétés, peine perdue, il est de nouveau rejoint par le petit groupe, La Musellerie essaie cette fois d’asséner des coups de canne sur Joseph qui, une fois de plus, se défend ardemment, Jean-Nicolas David, négociant à Paris, sort d’un café pour séparer les deux hommes. Nous présumons que Joseph se réfugie chez lui. Malgré les menaces proférées contre lui, il sort de nouveau à dix heures et demie du soir, il s’engage sur la promenade du pont Neuf pour se rendre au café Procope. Trois hommes armés de batons, à la mine patibulaire, se précipitent sur lui, cette fois Duplain a préparé sa défense, il tire de sa poche un pistolet, se plaque contre le mur d’une maison et les met en joue. Les hommes reculent mais le suivent tout de même jusqu’au Procope. Lorsqu’il ressort du café à onze, les hommes ne sont plus là, il les retrouve en facton devant son domicile, toujours là pour l’intimider. Cette affaire montre à quel point Joseph Duplain est détesté dans le monde fincancier parisien à la veille de la Révolution, on ne compte plus le nombre de ses ennemis. Ses adversaires n’ont aucune prise sur lui, au point qu’ils n’ont d’autres alternatives que d’en venir aux mains. L’issue du conflit n’est pas connue, mais la suite de la vie de Duplain laisse à penser qu’il s’en est bien sorti, encore une fois.

Notes
1091.

Lettres au Comte de B***, 12 juillet 1789

1092.

Anecdote sur M. Lenoir, qui donnera une idée de la manière dont les anecdotes sont traitées dans les Lettres à . le Comte de B***, 1787, p. 3

1093.

Discussion entre M. de Flesselles et M. de Calonne, Anecdote sur M. Lenoir, qui donnera une idée de la manière dont les anecdotes sont traitées dansles Lettres à . le Comte de B***, 1787, p. 3

1094.

Anecdote sur M. Lenoir, qui donnera une idée de la manière dont les anecdotes sont traitées dans les Lettres à . le Comte de B***, 1787, p. 3

1095.

Ibid, p. 4

1096.

Ibid, p. 4

1097.

Ibid, p. 4

1098.

Procuration M. Duplain de Sainte-Albine/M. Hazon de Saint Firmin, 20/1/1790 – Arch. Paris, Louis Coupery, notaire, XIV, liasse 504

1099.

Convention et transaction, Jean-Baptiste Pyron/Duplain de Sainte-Albinee, négociant à Paris, 9/4/4788 – Arch. Paris, Louis Coupery, notaire, XIV, liasse 498

1100.

Duplain de Sainte-Albine Joseph-Benoît, Lettre de M. de Sainte-Albine à M. le Comte de V***, sl, 1789, p. 40

1101.

Ibid, p. 52

1102.

1/1 (3 000), 1/1 (3 000), 1/1 (3 300), 1/1 (3 300), 1/1 (3 200), 1/1 (207 353), 10/2 (20 000) ; 2/3 (25 160 L), 1/1 ( 24 500 L), 1/1 ( 4 000 L), 1/1 ( 4 000 L), 1/1 ( 4 000 L), 1/1 ( 3 700 L), 1/1 ( 4 000 L), 1/1 ( 3 300 L), 1/1 ( 3 300 L), 1/1 ( 24 500 L), 1/1 ( 27 000 L), 1/1 ( 25 000 L), 1/1 ( 23 000 L), 1/1 ( 22 000 L), 1/1 ( 3 300 L), 1/1 ( 3 200 L), 9/1 ( 60 000 L), 28/1 ( 120 000 L) – Inventaire

1103.

Inventaire

1104.

Duplain de Sainte-Albine Joseph-Benoît, Lettre de M. de Sainte-Albine à M. le Comte de V***, sl, 1789, p. 71

1105.

Ibid, p. 3

1106.

Plainte de Joseph-Benoît Duplain de Sainte-Albine, ancien maître d’hôtel du roi, contre les sieurs Adamoly, Bouchet, Villette, de la Musellerie, agents de change et courtiers d’agent de change, qui l’avaient enveloppé au Palais-Royal, le couvrant d’injures, et cherchaient depuis à le faire tomber dans un guet-apens, avec information à ce sujet du commissaire Gruter des Roziers, 20/5/1789 – BnF, Y 13419

1107.

Transport Duplain de Sainte-Albine/Comte d’Aunoy, 26/1/1789 – Arch. Paris, Louis Coupery, notaire, XIV, liasse 501

1108.

Duplain de Sainte-Albine Joseph-Benoît, Lettre de M. de Sainte-Albine à M. le Comte de V***, sl, 1789, p. 6

1109.

Ibid, p. 128

1110.

Lettres à M. le Comte de B***, 31 janvier 1790

1111.

Lettre de M. de Sainte-Albine à M. le Comte de V***, s.l., 1789, in-8, p. 1

1112.

Courrier extraordinaire ou le premier arrivé, 9 décembre 1790

1113.

Courrier extraordinaire ou le premier arrivé, 21 janvier 1791

1114.

Courrier extraordinaire ou le premier arrivé, 22 janvier 1791