1) La défense d’une formation tournée vers l’entreprise

Si les responsables et membres actifs de l’AIPC défendent le titre d’ingénieur dans la mesure où il confère une spécificité au regard des corps administratifs, les qualités managériales viennent, selon eux, supplanter le caractère technique du profil à former. Á leurs yeux, le corps des Ponts est, avant tout, un corps de managers. Leur conception du manager n’impliquant pas, nous l’avons vu, de différence de nature entre les secteurs public et privé, il s’agit de former les « ingénieurs-élèves » sans distinction, à la manière d’un MBA (Master of Business Administration) par exemple. Á tel point que la formation doit être pensée dans une perspective d’essaimage des hauts fonctionnaires hors de l’administration, le domaine d’activité des IPC relevant non plus de « l’État » mais de « l’action publique » (censée recouvrir le champ d’exercice des entreprises privées). Aussi les représentants de l’AIPC se sont-ils montrés tout particulièrement vigilants concernant le titre donné au mastère. Nous avons vu que l’appellation de « mastère d’administration publique », envisagée à l’origine, avait été abandonnée et remplacée par celle de « mastère d’action publique ». L’AIPC (et notamment son président, Bruno Angles, membre du « groupe Santel ») n’était pas seule à défendre cette position au sein du corps, mais son interprétation du champ recouvert par « l’action publique » lui est propre. L’inclusion des entreprises privées, y compris celles qui ne sont pas délégataires de missions de service public, caractérise en effet la spécificité de son point de vue :

‘« - Une de nos demandes c’est que cette formation à l’action publique ne soit surtout pas une formation à l’administration publique, vous voyez la nuance ?
- Q : Non, dites-moi…
- Ben faire de l’administration, c’est gérer un service dans un ministère, savoir préparer des décrets, faire des discussions interministérielles. L’action publique, c’est tout autre chose. […]. Enormément d’entreprises privées font de l’action publique, à la limite, presque toutes, hein, on parle bien d’entreprises citoyennes… ce n’est pas la même chose action publique et administration publique. […] Et quand je dis que ça sera une de nos demandes, c’est parce qu’effectivement, on ne veut pas que cette formation conduise les gens dans un ghetto qui serait celui de l’administration, il faut vraiment que cette formation soit très large 1277 . »’

Dans cette logique, il n’y a aucune raison de former les élèves du corps en vase clos et les représentants de l’AIPC défendent, par conséquent, l’« ouverture maximale 1278  » du mastère d’action publique, afin de « ne pas verrouiller la formation sur la fonction publique 1279  ». Il s’agit de « tourn[er] le projet de formation vers le monde économique 1280  ». Ils regrettent à ce sujet que les entreprises privées n’aient pas été consultées au cours de la réflexion relative à la formation. « Où est l’avis des entreprises 1281  ? », feint de s’interroger un membre du bureau de l’association, en s’adressant au directeur de l’ENPC venu présenter le projet. Le président de l’AIPC, directeur associé de la société de consultants McKinsey & Company, a d’ailleurs demandé, en tant que participant au groupe de travail sur le mastère d’action publique, que soit mentionnée dans le rapport sa déception à l’égard de l’absence de consultation des entreprises privées 1282 . Traduite dans un vocabulaire plus indirect dans le rapport final, sa requête concerne des « points de vue externes » et « des personnalités issues d’autres horizons » :

‘« Mais certains de ses membres ont regretté de ne pas avoir pu mener plus loin la réflexion en la confrontant à un plus grand nombre de points de vue externes [...] selon des modalités adaptées, des étapes ultérieures devront être envisagées de manière à associer à l’évaluation et au pilotage de cette formation des personnalités issues d’autres horizons 1283 . »’

Il rappellera les exigences de l’association quelques mois plus tard, dans une lettre adressée au directeur du Personnel par laquelle il demande que la formation « réponde aux besoins des employeurs des IPC et garantisse à ceux-ci l’acquisition de compétences leur ouvrant des possibilités de carrières dans tous les secteurs professionnels 1284  ». L’absence de liens − ou leur insuffisance − entre l’École et le secteur privé est régulièrement déplorée par l’AIPC qui veille à entretenir et à étendre les rapports du corps des Ponts avec les entreprises (cf. infra) :

‘« Le manque de partenariat École-entreprises est incontestablement un handicap qui ne peut être ignoré plus longtemps […], l’AIPC ne doit pas se priver de le souligner 1285 . »’

Les membres de l’association craignent que la formation n’augure « un repliement complet sur la fonction publique traditionnelle 1286  ». Aussi défendent-ils la présence des élèves dits « civils » au sein des enseignements du corps, susceptible d’encourager une acculturation avec de futurs cadres du secteur privé 1287 .

Concernant la question du stage à effectuer par les élèves du corps lors de leur deuxième année de formation, l’AIPC défend une position similaire. Les représentants du ministère de l’Équipement ont décidé, en accord avec le directeur de l’ENPC, que deux stages devaient être effectués par les élèves. L’un dit « administratif », au sein de la sphère « Équipement » (y compris, donc, dans les établissements publics qui lui sont rattachés) et d’une durée de quatre mois, et l’autre, dans une entreprise du secteur privé, d’une durée de sept mois 1288 . Or les représentants de l’AIPC considèrent que le stage en entreprise doit être privilégié. Formulée par un représentant de la DPS, la position de l’AIPC se résumerait ainsi :

‘« On [a] l’AIPC qui [est] plutôt pour une ouverture totale et pour : “plus tôt ils iront dans le privé et mieux c’est, parce que ça leur donnera une carte de visite pour demain être…” ou “le stage constitue même une pré-embauche pour aller dans le secteur privé” 1289 . »’

Dans cet esprit, les élus de l’association suggèrent la suppression du stage en administration au cours de la formation initiale, lors d’une réunion du bureau 1290 . Témoin de cette proposition de l’AIPC, le chargé de mission du corps des Ponts et Chaussées la relaie au directeur du Personnel. La réaction du directeur est immédiate − et ulcérée :

‘« La demande de l’AIPC est indécente. Elle me confirme que l’état d’esprit est de piller l’administration au profit des entreprises. La cohérence voudrait que l’AIPC réclame la suppression du corps des Ponts et le transfert de l’École à l’éducation nationale… je demande qu’on commence discrètement à contrer cette position 1291 . »’

Tout comme l’AIPC, les élèves des promotions X 99 et X 2000, censées être les deux premières promotions à suivre la nouvelle formation du corps fusionné, se montrent très critiques à l’égard du MAP, et notamment de son caractère strictement obligatoire qui empêche les élèves de suivre des formations alternatives 1292 . Dès lors, l’AIPC va chercher à se positionner en porte-parole du mécontentement des élèves, et à s’appuyer sur la légitimité de leur soutien pour défendre la possibilité de suivre, à la place, des formations de type managérial, nettement orientées vers le secteur privé. Durant l’assemblée générale de l’association de novembre 2003, le contact est noué avec les élèves de la promotion 2005 (X 2000). Au cours d’un atelier relatif à « la gestion stratégique et personnalisée du corps des Ponts 1293  », le débat dévie sur la réforme de la formation à l’ENPC. Les critiques fusent 1294 . Á la fin de l’atelier, un jeune membre du bureau s’adresse aux élèves présents et leur demande l’opinion de leur promotion au sujet du mastère d’action publique qui doit s’ouvrir à la rentrée scolaire de 2004. De retour en cours, les élèves sondent leurs camarades et envoient, sans tarder, un message relatant les impressions de la promotion au représentant de l’AIPC. Celle-ci va se charger de relayer leurs critiques 1295 . Elle s’appuie sur les inquiétudes des élèves relatives à la « redondance » de certains enseignements proposés dans la maquette du MAP avec la formation déjà suivie par certains d’entre eux. L’argument vise à leur faire bénéficier de davantage de souplesse :

‘« [Les élèves de la promotion 2005] ont constaté une ressemblance étrange entre les intitulés des cours proposés pour le MAP et les intitulés des cours déjà dispensés aux Ponts. […] Beaucoup d’élèves, en particulier les élèves du département SEGF [Sciences Économiques, Gestion, Finances], craignent une redondance au niveau de l’enseignement et souhaiteraient voir le MAP rendu non obligatoire 1296 . »’

L’association se reconnaît dans le désaccord des élèves vis-à-vis d’un MAP obligatoire qui leur ferme, de facto, la possibilité de suivre d’autres formations. Jusqu’à présent, les ingénieurs du corps avaient la possibilité de suivre des formations alternatives, telles que des MBA, à l’étranger notamment, ou le Collège des ingénieurs, institution qui vise à former des cadres supérieurs à la gestion des entreprises et au management privé 1297 . Rendre le MAP obligatoire reviendrait à interdire aux élèves de suivre ce type de formations et/ou de partir un an étudier dans un pays étranger. Or les responsables de l’AIPC défendent ardemment la possibilité pour les élèves de pouvoir choisir librement leur cursus scolaire et souhaitent par conséquent que le MAP constitue une possibilité parmi d’autres de formation en troisième année. C’est également le cas des élèves de la promotion 2005 dont les résultats de l’enquête réalisée par les délégués auprès de leurs camarades montrent qu’« il apparaît réducteur de supprimer [les formations alternatives « telles que celles offertes par le Collège des Ingénieurs, dans les universités étrangères, des DEA, des MBA [qui] ont été fortement valorisées et appréciées par les élèves des années précédentes »] de l’éventail des formations proposées en 3ème année 1298  ». Un jeune ingénieur des Ponts et Chaussées, membre du bureau de l’AIPC, traduit aux autres membres élus les revendications de ses camarades, considérant que « le MAP semble agir comme un repoussoir, sans paraître pouvoir mieux former les ingénieurs-élèves que les formations auparavant disponibles, ce qui est un comble 1299  !! » Or c’est précisément la position qu’a défendue le président de l’association, quelques semaines auparavant, auprès du directeur du Personnel :

‘« Il nous a semblé que l’obligation stricte faite aux ingénieurs-élèves de consacrer la troisième année de leur formation au MAP pourrait entraîner un excès de rigidité. […] Il nous semble qu’interdire à des étudiants très motivés une troisième année de formation assurée par exemple par une université étrangère de haut niveau ou par le Collège des ingénieurs, priverait le corps d’une ouverture professionnelle et d’une diversité culturelle dont ses employeurs publics, au premier rang desquels le ministère de l’Équipement, tirent le plus grand profit 1300 . »’

Mais, entretemps, une réunion tenue au cabinet au sujet de la formation a conduit la direction de l’ENPC à acter l’obligation du mastère d’action publique. La décision semble irrévocable mais les élus de l’AIPC ne souhaitent pas lâcher prise :

‘« Je termine sur ce point en dénonçant une fois de plus l’obligation faite aux jeunes IPC de suivre le mastère d’action publique en troisième année qui les empêche par conséquent de suivre une autre formation, notamment à l’international 1301 . »’

Forts du soutien des élèves, les membres du bureau considèrent que l’association doit agir de manière plus directe, auprès du cabinet du ministre par exemple 1302 , pour faire aboutir cette revendication et assouplir les conditions de la troisième année de formation.

Au-delà des modalités d’organisation de la formation, les représentants de l’AIPC militent pour que le contenu du mastère d’action publique soit suffisamment large pour permettre aux élèves de candidater dans des secteurs variés. Plus précisément, il s’agit de faire de l’« identité managériale » des ingénieurs du corps et de l’apprentissage de la conduite de la « modernisation » un ensemble de compétences recyclables dans le secteur privé.

L’adhésion des responsables de l’association professionnelle du corps au principe d’un mastère qui se donne pour cœur de cible la formation de managers de l’action publique relève d’une conception particulière des compétences qu’il s’agit de transmettre par cette voie. S’ils soutiennent l’idée d’une formation à la « modernisation », c’est notamment parce qu’elle renvoie, selon eux, une image dynamique du corps des Ponts, et qu’elle ressortit à des compétences transversales, adaptées au service à l’État comme à la gestion des entreprises privées. L’« identité managériale » apparaît ainsi comme une source d’« employabilité 1303  », dans la mesure où, loin d’opposer le service public au secteur privé, elle permettrait aux ingénieurs d’acquérir des compétences généralistes susceptibles d’être valorisées et réinvesties dans le secteur marchand. Aux yeux des représentants de l’AIPC, le MAP devrait donc être un tremplin pour faire carrière dans le privé :

‘« Il faut qu’ils soient en position concurrentielle sur le marché du travail […]. Pour nous, l’objectif c’est que l’ingénieur soit vendable sur le marché de l’entreprise 1304 . » ’

Le management est donc investi d’attentes dictées par la perspective d’« employabilité » des ingénieurs dans l’entreprise privée qui devrait constituer, selon un responsable de l’AIPC, « quasiment le cœur de cible 1305  » du mastère. Porté par des membres du corps engagés dans son association professionnelle, ce discours prend tout son sens quand il est lu au regard du rôle joué par l’association au sein du corps et des contacts soutenus qu’elle entretient avec les entreprises privées.

Notes
1277.

Entretien auprès d’un responsable de l’AIPC, Paris, le 14 novembre 2002.

1278.

Entretien auprès d’un ancien président de l’AIPC, Paris, le 22 avril 2003.

1279.

AIPC, Réunion du Comité de l’AIPC, compte rendu, le 3 avril 2001. Source : AIPC, archives personnelles.

1280.

Idem.

1281.

AIPC, « Formation des IPC : modification des programmes de l’ENPC », réunion du bureau de l’AIPC, compte rendu, 13 mars 2001. Source : AIPC, archives personnelles.

1282.

Entretien auprès du président de l’AIPC, Paris, le 22 avril 2003.

1283.

Gilbert Santel (prés.), Rapport du groupe de réflexion sur le MAP, op. cit., mars 2003, p.6.

1284.

AIPC, Lettre du président de l’AIPC au directeur du Personnel, des Services et de la Modernisation, Paris, le 3 septembre 2003. Source : AIPC, archives personnelles.

1285.

Courrier électronique d’un membre du bureau de l’AIPC aux autres membres, objet: « Re: Bureau de l’AIPC. École des Ponts », le 3 décembre 2003. Source : remis par un membre du bureau de l’AIPC.

1286.

AIPC, op. cit., réunion du bureau, compte rendu, 13 mars 2001.

1287.

La connaissance des acteurs du secteur privé via des enseignements communs est également perçue comme une opportunité pour les fonctionnaires européens du Collège de Bruges. SCHNABEL Virginie, « Élites européennes en formation… », Politix, op. cit., 1998, p.51.

1288.

MONNIER Alain (prés.), Rapport du groupe de travail « Cahier des charges de la formation initiale », op. cit., 2000.

1289.

Entretien auprès du sous-directeur des personnels techniques d’entretien et d’exploitation, chargé de la tutelle des Écoles à la DPS, La Défense, le 24 avril 2003.

1290.

Courrier électronique du chargé de mission du corps des Ponts au directeur du Personnel et des Services, objet : « Bureau de l’AIPC », le 13 mars 2001. Source : DPS, documents internes.

1291.

En gras dans le texte. Courrier électronique du directeur du Personnel et des Services au chargé de mission du corps des Ponts, objet : « Re : Bureau de l’AIPC », le 13 mars 2001. Source : DPS, documents internes.

1292.

Ces critiques, récurrentes, ont notamment été soulevées dans les entretiens suivants : entretiens auprès des élèves du corps des Ponts de la promotion X99-ENPC04 : Paris, le 4 janvier 2005, le 7, le 12 et le 13 janvier 2005, ainsi qu’au cours d’un entretien auprès d’un élève de la promotion X00-ENPC05, Marne-la-Vallée, le 7 juin 2004.

1293.

Atelier B de l’assemblée générale de l’AIPC, Paris, le 28 novembre 2003. Source : AIPC, archives personnelles.

1294.

Entretien auprès d’un responsable de l’AIPC, Paris, le 22 avril 2003.

1295.

Un membre élu du bureau de l’AIPC, qui s’est chargé de transmettre à la direction de l’ENPC le mécontentement des élèves au sujet du MAP, a provoqué la fureur du directeur adjoint, chargé des élèves fonctionnaires. S’estimant court-circuité par les élèves de la promotion 2005, il adresse une virulente « mise au point » aux délégués, dont voici un extrait :

« Je viens d’avoir connaissance ce matin […] du message que Y a adressé très largement à l’AIPC au nom de la promotion 05. Je trouve ce circuit d’information et de communication très étonnant. […] Il me semble inacceptable de voir dénoncé “un manque d’information et d’écoute des ingénieurs-élèves” par des ingénieurs-élèves qui n’ont jamais pris la peine de contacter la direction de l’École pour aborder les sujets qui les préoccupent. […] Je demande donc aux deux délégués de la promotion 05 […] de venir m’exposer directement, en prenant rendez-vous auprès de mon secrétariat, les sujets de préoccupation collective de la promotion. » [Courrier électronique du directeur adjoint de l’ENPC à un/des destinataire(s) anonymé(s), objet : « ENPC sondage promotion 2005 », le 12 décembre 2003. Source : remis par un élève du corps].

1296.

Courrier électronique d’un ingénieur-élève X 2000-ENPC 2005 au représentant des jeunes IPC à l’AIPC, objet : « Sondage promotion 2005 », 1er décembre 2003. Source : remis par un élève du corps.

1297.

Créée en 1986 en association avec l’ENS et l’École nationale du Génie rural, des Eaux et des Forêts (ENGREF), le Collège des ingénieurs est une formation en alternance avec des missions en entreprises ou dans des bureaux de consultants, qui se substitue à la troisième année de l’ENPC pour les élèves qui ont été retenus. ENPC, Rapport d’activité de l’École nationale des Ponts et Chaussées de 1986. Source : ENPC, archives.

1298.

Courrier électronique d’un ingénieur-élève X 2000, op. cit., 1er décembre 2003.

C’est également une requête des Polytechniciens, dont les exigences en la matière font craindre au chargé de mission du corps une baisse d’attractivité du corps des Ponts à la sortie de l’X : « Les jeunes polytechniciens […] font une fixation sur la possibilité de partir à l’étranger pendant la scolarité à l’ENPC. Cela manque à leur cursus de l’X, et c’est pour eux une condition sine qua non de choix du corps. » [DPSM, Courrier électronique du chargé de mission du corps au directeur du Personnel, des Services et de la Modernisation, objet : « Polytechnique », le 20 octobre 2003. Source : DPS, documents internes].

1299.

Courrier électronique du représentant des jeunes IPC à l’AIPC aux membres du bureau de l’AIPC, objet : « ENPC / Sondage promotion 2005 », le 2 décembre 2003. Source : remis par un élève.

1300.

AIPC, Lettre du président de l’AIPC au DPSM, op. cit., le 3 septembre 2003.

1301.

Courrier électronique d’un membre du bureau de l’AIPC aux autres membres, op. cit., le 3 décembre 2003.

1302.

Entretien auprès du directeur du Collège des ingénieurs, Paris, le 10 juin 2004. Plusieurs entretiens téléphoniques auront lieu entre un responsable de l’AIPC et le conseiller technique du cabinet du ministre en charge notamment des Écoles. Entretien auprès d’un responsable de l’AIPC, Paris, le 24 janvier 2004.

1303.

Idem.

1304.

Idem.

1305.

Idem.