Épigraphe

‘Le livre qu’il contemplait ne rapportait plus une histoire, une légende, mais quelque chose d’absolument inadmissible dans un livre : une réalité.
Orhan Pamuk, Mon nom est Rouge’

Remerciements

Tout d’abord, il me faut remercier Katia Zakharia pour son amical soutien lors de la reprise des mes études d’arabe, et pour m’avoir incité à me lancer dans cette aventure baybarsienne. Sa direction attentive et scrupuleuse, sa générosité quant au temps, aux conseils, aux informations prodiguées tout au long de ces années constituent un modèle pour les directeurs de recherches.

Pendant quatre ans j’ai pu bénéficier d’un bureau à l’E.N.S., ainsi que de deux missions C.N.R.S pour me rendre à Damas, grâce à Georges Bohas qui m’a accueilli dans son équipe du centre de recherche I.C.A.R. Qu’il soit ici remercié. De même, je remercie Floréal Sanagustin, alors Directeur scientifique de l’I.F.P.O.-I.F.E.A.D., qui m’a accordé une bourse pour un séjour d’un mois à l’Institut. Grâce à l’accueil chaleureux de Moussa, l’intendant, de Kinda, de Lina et de l’équipe de la cellule de publication, j’ai toujours eu l’impression d’être un peu chez moi à l’Institut. Pendant mes nombreux séjours à Damas, j’ai pu apprécier la gentillesse et l’aide toujours chaleureuse des deux bibliothécaires qui se sont succédées, Geneviève Joly et Martine Gillet, ainsi que leur équipe, en particulier ʿI÷ām et ʿAlĪ, mais aussi Maâa Sālim Barakat qui a beaucoup contribué à mon initiation au dialecte de Damas, professeur dynamique et enthousiaste, toujours à la recherche de nouvelles idées. Cette recherche fut l’occasion de rencontrer des Syriens qui, depuis, sont devenus des amis. D’abord intrigués par mon intérêt pour la littérature populaire arabe, ils ont rapidement constitué un entourage indispensable à mon bien-être lors de mes séjours à Damas. Bachar al-Qazz×z, l’ami de longue date et sa femme Sawsan, Marie Elias, avec qui on ne se lasse pas de discuter théâtre et littérature, Wael ʿAlĪ, jeune dramaturge de talent, Ramzī Šªqayr qui m’a associé à son projet théâtral, Al-Z ¨ Sālim et le prince Hamlet.

Lectrices attentives, Michelle Lapierre et Catherine Bernard-Guinle ont su apporter le regard extérieur indispensable pour prendre le recul nécessaire par rapport au texte. Elles ont eu, toutes deux, la générosité de ne pas s’appesantir sur mes imperfections. Ce parcours d’études et de recherches, s’il fut souvent solitaire, n’a jamais manqué du soutien et de la chaleur de l’amitié qui m’ont permis de le mener à bon terme.