3-2-3-1- RST G4

3-2-3-1-1- La structure rhétorique de TC 

(cf. Annexe G4, p.525)

RST de G.4
RST de G.4

Les segments du texte cible se divisent en trois grands segments liés au premier niveau par une proposition de jonction. Le premier segment, 2-6, correspond à une comparaison entre la mécanique classique et la mécanique quantique. Le deuxième, 7-11, correspond à l’introduction des définitions de deux types de particules. Le troisième segment, 12-20, correspond à la construction du système relatif à chacune de ces deux particules.

Le nombre de propositions et les types de propositions sont peu variés dans ce texte. Nous avons des conséquences (4 occurrences), des oppositions (3 occurrences), des désignations, des préparations, des jonctions (2), et une explication, une définition, une justification et une apposition.

Le texte est construit sur la relation de jonction qui lie ces trois grandes parties. Dans la première et la deuxième, l’opposition est l’axe principal sur lequel sont construites les différentes données. Elle détermine les grandes lignes du texte et la manière de le lire. La dualité est au cœur de cette lecture, dualité mécanique classique/mécanique quantique et dualité fonction d’onde des bosons/ fonction d’onde des fermions.

Dans ce schéma, les relations de justification et de conséquence prennent une part importante, relativement bien sûr au nombre de propositions que compte le texte. Elles sont aussi souvent introduites par des connecteurs ou d’autres traces linguistiques.

Cette structure reflète un souci d’exhaustivité et une volonté d’aller vers les informations essentielles. Très vite, l’opposition définit la direction globale du texte, suivie des justifications et des rapports de conséquence. Le schéma accorde très peu de places à des relations telles que la préparation et la définition.

La question qui se pose maintenant est donc : Où se situe ce schéma par rapport à celui du départ ? D’où viennent ces connecteurs ?