3-2-3-2- RST G3

3-2-3-2-1- La structure rhétorique de TC

(cf. Annexe G3, p.505)

RST de G.3
RST de G.3

Nous comptons pour ce groupe aussi une variété de propositions relationnelles qui se répartissent sur 6 niveaux. La jonction est l’une des deux propositions relationnelles les plus présentes avec ses 6 occurrences. Elles sont présentes dans les quatre premiers niveaux. Elles correspondent plus à des relations non exprimées qu’à des juxtapositions réfléchies d’informations. Leur fréquence importante souligne un manque de structuration qui produit un effet de plaquage d’informations entre les grandes parties du texte. Les participants semblent y recourir chaque fois qu’ils ne peuvent exprimer les rapports entre les segments ou chaque fois qu’ils ne les identifient pas.

L’effet produit par ces jonctions semble contré par le recours aux préparations qui occupent la deuxième place en nombre d’utilisation (5 occurrences). Par ces relations, les étudiants tentent de créer des transitions entre les parties. En effet, elles sont utilisées à des moments clés du texte : au passage de l’introduction au postulat de symétrisation, ensuite à l’énoncé du postulat, l’équation de la fonction des bosons, etc.

La conséquence vient en troisième position (4 occurrences). Elle est peu marquée et sa pertinence n’est pas très forte. Elle est même utilisée à mauvais escient dans certains cas comme nous allons le voir dans l’étude du passage de TS à TC.