Les différents écrits dans ce domaine, notamment ceux de Spenger-Charolles (1980) et Charolles (1991), semblent être d’accord sur un nombre de principes :
Nous retrouvons le résumé dans des produits diversifiés, par exemple les abstractions en tête d’articles visant à annoncer le contenu plus que de le résumer ; les notes de lecture pour des usages personnels ; les résumés intégrés dans les textes sources qu’ils soient des résumés dans des manuels ou dans des romans, etc. S’ajoutent à eux les résumés de films et les notes de cours qui n’ont pas de source écrite mais orale (audio-visuelle). Il est investi d’un autre rôle et d’une autre dimension quand il est considéré comme un outil de sélection dans un tout autre genre d’activité comme les épreuves de sélection pour certains concours et examens.
Mais dans notre cas, il n’a pas de finalité en soi, il n’a pas de but scolaire. Il a été requis pour le besoin de la recherche, pour donner l’occasion aux étudiants de s’exprimer sur un contenu précis, dans le but d’avoir une trace écrite permettant d’évaluer leurs compétences rédactionnelles.
Deux points d’appui nous entraînent dans deux directions différentes mais non opposées.