b. La division/ condensation

Nous distinguons deux cas de figures :

  • La division d’un élément en deux : nous pouvons citer l’exemple des segments 5 et 7 du texte de G7 :

qui se substituent au segment du texte source :

appuyant, doublement, les propos du segment 6.

C’est aussi le cas des segments qui traduisent les schémas des particules à T=0K : le schéma des bosons est traduit par deux segments et celui des fermions par trois. Ces segments correspondent aux indications ou légendes permettant la lecture des schémas.

Certaines unités se subdivisent aussi, comme l’unité de base du texte source

La permutation des états de ces 2 partic laissent invariant / y / 2  :

qui donne les unités du segment 10 dans le texte de G2 :

Nous notons ici deux phénomènes : le premier, est que la deuxième unité est une paraphrase de la première, une paraphrase qui se veut plus fidèle aux termes initiaux ou sources. Le deuxième phénomène est que cette paraphrase est, désormais, une SUB.

  • La condensation de plusieurs éléments en un : il s’agit du phénomène inverse au développement, à savoir la condensation. Nous citons l’exemple du segment 3 dans G4 :

Nous citons aussi l’exemple des segments 19 et 20 du texte G7 :

qui reprennent, pour chaque particule, en un seul segment, et la définition de l’état de la fonction, et le spin qui y correspond.

Le texte du groupe 4 présente un cas de condensation unique, celui de rassembler, en un seul bloc, pour chaque particule, les données générales sur sa fonction d’onde et celles à T=0K. Cette opération fait appel bien sur à l’effacement de certains éléments et au déplacement d’autres. Des schémas des fonctions à T= 0K, seul subsiste la nature du phénomène quantique, qu’elle soit répulsion ou attraction. Ce qui fait que l’ensemble des informations relatives à la fonction d’onde des bosons se résume dans le segment 12-14, et celui relatif à la fonction des fermions, dans le segment 15-20.