S’aidant des différents indices donnés par le discours, le noteur hiérarchise les informations dans une PDN assez caractérisée et marquée au niveau de la disposition spatiale sur la feuille. L’usage de titre et de sous-titre est crucial. Il est souvent complété par le recours à la « numérotation scientifique » 39 . Les différents points structurés sont alors complétés par une notation linéaire du contenu correspondant. Les informations, analysées et comprises, sont ainsi travaillées en profondeur, ce qui favorise leur apprentissage. Grâce au plan préalablement élaboré, le noteur se concentre sur les informations pour décider ce qu’il en garde et où il le note. Mais cette méthode est coûteuse : le noteur doit rester vigilant à « la mise en plan », à la cohérence de l’ensemble et la bonne insertion des informations.
Dans cette numérotation, seuls les chiffres arabes sont utilisés suivis d’un point, et des alinéas pour marquer les emboîtements des points subordonnés à ceux hiérarchiquement supérieurs.