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Ce thème ne met pas en jeu un nouveau savoir ; la classe réutilise des éléments de savoir déjà introduits dans un nouveau champ d’application et la densité de ce savoir n’est pas élevée, ce qui permet aux élèves de se centrer sur quelques éléments et avoir une chance de mieux les acquérir. L’activité présentée dans ce thème constitue une application directe au principe de l’inertie ; il s’agit de relier une variation dans le mouvement, précisément dans la vitesse, à la non compensation des forces et de représenter ensuite ces forces qui ne se compensent pas. Nous trouvons donc des groupes de facettes concernant la variation de la vitesse et sa relation avec la force dans un premier temps, et dans un deuxième temps le groupe de facettes force-interaction qui se trouve incorporé aux représentations. Nous retrouvons dans ce thème, comme pour plusieurs des thèmes déjà analysés, une centration sur une tâche, qui est dans ce cas l’interprétation au niveau relationnel entre objets/évènements et théorie/modèle et qui accompagnée de descriptions de la part du professeur. Le contact se trouve incorporé dans la représentation et plus particulièrement dans la mise en jeu d’une opération formelle accompagnée d’une interprétation au niveau relationnel entre objets/évènements et théorie/modèle explicitée par le professeur qui insiste sur le fait que quand la main n’est plus en contact avec la balle elle n’exerce plus une force sur elle. Nous remarquons dans ce thème aussi, que le contrat concernant la notation des forces semble établi, surtout en ce qui concerne la force exercée par la Terre que les élèves auraient tendance à appeler poids mais ne le font pas.