1. L’élite intellectuelle du clergé et les proches collaborateurs de l’archevêque : les “Chartreux” et les vicaires généraux

L’abbé Bochard, un des vicaires généraux qui remplaçaient le cardinal Fesch, exilé à Rome, prépara activement, comme le lui demandait le cardinal, la mise en place d’un groupe de missionnaires diocésains qui se consacreraient à l’évangélisation des paroisses. Nicolas de la Croix d’Azolette, directeur du grand séminaire et André Coindre, qui s’était fait remarquer par ses dons de prédicateur comme vicaire à Bourg, préparèrent le programme, imprimé en 1814, sous le titre de “Pensée pieuse” 648 . La société de missionnaires qui fut fondée le 11 juin 1816 sous le nom de société “de la Croix de Jésus” deviendra à partir de 1833 la société “des prêtres de Saint-Irénée”, dénommée plus souvent “Chartreux de Lyon”. L’association a été fondée sur le modèle de la congrégation des Oblats de Saint-Ambroise que Saint Charles Borromée avait créée en 1581, dans son diocèse de Milan et mise totalement à la disposition de l’évêque 649 . Les neuf premiers membres de la société s’installèrent dans la Maison Carrée qui avait été achetée par le cardinal Fesch. Leur statut était celui de prêtre séculier appartenant au diocèse et réunis sous l’autorité de l’archevêque, en vue de missions intérieures à prêcher et de l’enseignement à donner dans les petits séminaires diocésains et dans l’Institution annexée à leur œuvre en 1837 650 . Ces prêtres, vivant en communauté, avaient un supérieur qui n’était que le délégué de l’archevêque, lequel leur donnait une fonction de prédicateur, de professeur, de curé, vicaire et aumônier. Ils ne formaient pas une congrégation et de prononçaient pas de vœu 651 .

Les premiers missionnaires prêchèrent d’abord la retraite de rentrée dans les petits séminaires de l’Argentière, Verrière, Alix et Meximieux. Leur première mission paroissiale sous la Restauration fut celle de Saint-Sauveur en rue dans la Loire. Puis, ils se rendirent à Belleville sur Saône, Saint-Germain Laval et à la Guillotière où ils plantèrent une grande croix de mission 652 . En 1825, la société des Chartreux avait 32 membres, prédicateurs ou professeurs pour la plupart. En 1826, lors du Grand Jubilé, les Pères de la Croix de Jésus reçurent l’aide de leurs collègues de Paris, les “Missionnaires de France” dirigés par M. Rauzan. Si ces derniers cessèrent leurs activités à cause de la révolution de 1830, les Pères de la Croix de Jésus continuèrent, après 1830, leur œuvre de missions et de retraites toujours plus nombreuses, même s’ils durent subir une occupation militaire à la maison des Chartreux de 1831 à 1837 653 .

En 1838, fut établie à Saint-Etienne une succursale de l’œuvre de Lyon par l’abbé Barret qui venait de prêcher le carême à Notre-dame, sur la demande du curé, M. de Saint-Jean. M. Barret s’installa avec trois autres prêtres dans le presbytère. L’abbé Delphin, qui devint curé de la paroisse Notre-Dame, le remplaça en 1844 comme supérieur de la succursale, et ce, jusqu’à sa mort en 1880 654 .

En dehors de la prédication, les Chartreux jouèrent un rôle important dans l’enseignement et l’éducation 655 . Ils se verront confier dès 1819 la direction du petit séminaire de l’Argentière et de celui d’Alix, qui devient à cette date une annexe du Grand Séminaire 656 . Mais le collège de M. Hyvrier devenu en 1837 “Maison d’éducation des Chartreux” puis en 1849 “Institution des Chartreux” et qui recevait à l’époque entre 200 et 300 élèves, refléta tout particulièrement l’esprit libéral et ouvert de la Maison. Ne considérant pas l’Université comme une rivale, il envoya dès l’année 1848-1849 des prêtres des Chartreux préparer la licence à la faculté des Lettres de Lyon. Il envoya également quatorze sujets à l’Ecole des Carmes de Paris en vue de leur faire prendre leurs grades à la Sorbonne 657 . L’abbé Thibaudier fut parmi les premiers prêtres de Saint-Irénée à prendre ses grades académiques et c’est lui qui, en collaboration avec l’abbé Hyvrier, prépara l’école de hautes études ecclésiastiques, dont on aura l’occasion de reparler.

Avec de telles compétences, plusieurs prêtres de la société des Chartreux se virent proposer la promotion à l’épiscopat. Si l’abbé Hyvrier refusa toutes les offres qu’on lui fit, l’abbé Mioland, supérieur de la société pendant plus de vingt ans, finit par accepter en 1838 l’épiscopat d’Amiens, avant de devenir, onze ans plus tard, archevêque de Toulouse. Ce dernier forma, à la Maison des Chartreux, plusieurs professeurs qui devinrent des évêques : l’abbé Cœur qui devint évêque de Troyes, l’abbé Callot qui devint évêque d’Oran et l’abbé Plantier qui devint évêque de Nîmes 658 . Pour ce dernier, le cardinal de Bonald s’était auparavant attaché ses services comme vicaire général comme il le fit pour l’abbé Beaujolin et l’abbé Pagnon, qui aussi, avaient été auparavant membres de la société des Chartreux.

Avant d’évoquer les vicaires généraux du cardinal de Bonald, il nous faut d’abord préciser le rôle et la place de ces collaborateurs de l’archevêque dans l’administration des diocèses au XIXe siècle. Le vicaire général, en tant que second de l’évêque, apparaît dès la loi du 18 germinal an X qui stipule : “chaque évêque pourra nommer deux vicaires généraux et chaque archevêque pourra en nommer trois”. Les Articles organiques font de ces vicaires généraux les administrateurs provisoires désignés en cas de vacance du siège épiscopal, ce qui contredit le droit canon mais dans les faits, l’élection des vicaires capitulaires au XIXe siècle revenait finalement aux chapitres 659 . Ces vicaires généraux, qui ont plus de pouvoir qu’avant la Révolution, car, moins nombreux, doivent recevoir l’agrément du gouvernement après leur nomination par l’évêque. En général, les diocèses étaient divisés en archidiocèses avec, à leur tête, un des vicaires généraux, chargé de tout ce qui concerne en particulier les relations avec les paroisses ; c’est lui qui les visite entre deux passages de l’évêque et qui prépare les nominations ecclésiastiques dans sa circonscription. Le vicaire général a aussi la charge d’autres secteurs comme les congrégations religieuses et prend part souvent à la rédaction des documents épiscopaux 660 .

Des vicaires généraux de Mgr de Pins, Mgr de Bonald n’a gardé que l’abbé Barou à cause de son expérience, puisqu’ il était vicaire général depuis 1824, et à cause de son caractère conciliant 661 . Il a été auparavant curé de Saint-Médard en Forez où il a eu la tâche difficile de remplacer l’abbé Jacquemond, chef des Jansénistes foreziens. Il a été ensuite professeur de philosophie au séminaire de l ‘Argentière, puis supérieur du séminaire de Verrières, avant d’être nommé curé de la paroisse Saint-Pierre de Montbrison, pour laquelle le préfet et les notables montbrisonnais souhaitaient un choix en conformité avec leurs opinions légitimistes 662 . Dans son rapport adressé au ministre des cultes, le préfet du Rhône confirme d’ailleurs, que s’il est un homme modéré, il n’a pas un dévouement chaleureux en faveur du roi Louis-Philippe. Le préfet ajoute qu’il a de bons rapports avec le clergé du diocèse et qu’il n’était point concerné par les griefs contre l’administration précédente 663 .

Le deuxième vicaire général choisi par Mgr de Bonald, Pierre Grange, qui remplaçait Jean Cholleton et le troisième, Joseph Beaujolin qui remplaçait Simon Cattet, étaient appréciés à la fois par le clergé et l’administration, à la seule réserve, de la part du préfet, pour l’abbé Grange, de son peu de sympathie pour le gouvernement, à l’image de l’ensemble des ecclésiastiques. Tous deux étaient réputés pour leurs connaissances, en philosophie pour l’abbé Grange et en littérature pour l’abbé Beaujolin. Le premier avait été auparavant desservant de la paroisse Saint-Louis à Saint-Etienne et le second avait été supérieur, d’abord du séminaire d’Alix, puis du séminaire de l’Argentière 664 . On peut remarquer déjà que Mgr de Bonald donne la priorité à des ecclésiastiques qui ont de l’expérience et aussi réputés pour leur science. Ce dernier critère va être confirmé par les choix que l’archevêque fera par la suite : en 1855, pour remplacer l’abbé Barou, décédé, il choisit l’abbé Plantier qui avait commencé, à l’âge de 23 ans, à professer aux Chartreux l’écriture sainte. En 1838, Mgr de Pins avait proposé ce dernier pour la chaire d’Hébreu à la faculté de théologie et en 1847, appelé par Mgr Affre, il avait succédé au Père de Ravignan à la chaire de Notre-Dame de Paris. Mgr de Bonald utilisa d’abord ses services pour la préparation du concile de Lyon en 1850, puis il l’appela à faire partie de son conseil privé, le chargea de l’inspection des écoles de filles comme le demandait un décret du gouvernement avant qu’il devienne, en avril 1855, son nouveau vicaire général 665 . Mais trois mois plus tard, l’abbé Plantier devenait évêque de Nîmes, et le cardinal de Bonald le remplaça par un ancien professeur de la société des Chartreux, l’abbé Pagnon qui dirigeait le petit séminaire Montbrison depuis 1839. A la fin de son archiépiscopat, lorsque Mgr de Bonald voulut, en 1868, après le décès du vicaire général Grange, présenter à l’agrément de l’empereur la nomination de l’abbé Richoud, qui était également l’ancien supérieur du séminaire de Montbrison, il rencontra d’importantes difficultés : en effet, une partie du clergé et de l’administration contestait la nomination de ce dernier, le trouvant beaucoup trop ultramontain. Le ministre des cultes reçut des lettres anonymes présentant cet ecclésiastique “comme un prêtre romaniste, candidat des Jésuites et ennemi de l’empereur 666 ”. Le procureur général de Lyon, qui reprend ces accusations dans une lettre au ministre des cultes du 22 mai 1868, ajoute que cette nomination pourrait raviver les tensions à propos de la question liturgique 667 . La question était d’autant plus difficile à résoudre pour le ministre des cultes que le préfet de la Loire et le sous-préfet de Montbrison soutenaient la candidature de l’abbé Richoud alors que le préfet du Rhône y était hostile 668 . L’archevêque de Lyon dut envoyer plusieurs lettres au ministre des cultes et attendre plus de six mois avant que l’abbé Richoud devienne officiellement son vicaire général.

Dans une note envoyée au ministre des cultes par un de ses collaborateurs, à propos de l’abbé Richoud, il est rappelé au ministre que “le cardinal de Bonald est dominé par son neveu, aussi borné dans les affaires de l’Eglise qu’hostile à nos institutions 669 ”. Ce neveu était Gustave de Serres, un des vicaires généraux 670 du cardinal, mais non agréé par le gouvernement. La mère de l’abbé de Serres était la sœur du cardinal 671 . Gustave de Serres fit ses études théologiques au séminaire français de Rome. Il devint chanoine de la primatiale Saint-Jean et à l’archevêché, son oncle lui confia les fonctions de secrétaire particulier et de vicaire général. En 1846, il fut un des deux conclavistes qui accompagnèrent le cardinal de Bonald à Rome à l’occasion de l’élection du successeur du pape Grégoire XVI 672 . L’oncle pouvait comprendre son neveu qui était membre de la compagnie de Jésus, mais leurs relations n’ont pas toujours été faciles, car ce dernier a pris des initiatives sans avertir le cardinal et parce que l’ultramontanisme de l’abbé de Serres qui devint camérier secret du pape Pie IX 673 , était très marqué. En décembre 1859, des catholiques emmenés par les congréganistes Prosper Dugas et Amand Chaurand 674 formèrent un conseil dénommé “Œuvre de Saint-Pierre 675 ”, destinée à aider financièrement l’Etat pontifical qui avait perdu ses provinces les plus riches. Le cardinal avait accepté que l’abbé de Serres en fut le président et ce conseil devait faire circuler dans Lyon les adresses au pape et les listes de souscription. Mais, le 17 juillet 1860, le ministre des cultes, par une lettre aux évêques et archevêques leur signalait la société formée à Lyon comme illégale et il se déclarait décidé à l’interdire. Le cardinal de Bonald, tout en continuant à verser entre les mains de l’ancien trésorier les fonds du denier de Saint-Pierre, qui étaient apportés à l’archevêché, décida alors d’inviter la “Confrérie de Saint-Pierre” à se dissoudre 676 . L’attitude ambiguë du cardinal en la circonstance s’explique, sans doute, à la fois par la pression exercée par son neveu et le milieu catholique lyonnais ultramontain et surtout par sa volonté de garder de bonnes relations avec le gouvernement. En d’autres circonstances, l’abbé de Serres a pris des initiatives qui ont surpris ou déplu à son oncle : ainsi, lorsqu’en décembre 1858, Camille Rambaud, fondateur de la Cité de l’Enfant-Jésus, à Lyon s’est rendu à Rome avec l’abbé Chevrier, aumônier de cette cité, afin de s’y préparer au sacerdoce. Il avait demandé conseil à l’abbé de Serres, mais n’avait pas informé l’archevêque de son projet. Ce dernier, qui se trouvait à Rome, fut très surpris par la visite de frère Camille et du Père Chevrier mais a fini par donner l’autorisation à Camille Rambaud d’entrer au séminaire français de Rome 677 . Au cours de son archiépiscopat, Mgr de Bonald favorisa l’apostolat de ces deux prêtres dans le milieu ouvrier mais aussi de bien d’autres ecclésiastiques dont nous allons essayer d’évoquer les divers types de vocation.

Notes
648.

J. GADILLE, Le diocèse de Lyon …, p. 221.

649.

A. DUVAL,“ Charles Borromée”, in Encyclopédie Catholicisme, 1949, T. 2, col. 993-994.

650.

En 1825, l’abbé Pousset, curé de Saint-Bruno et qui logea avec ses confrères dans la Maison Carrée jusqu’en 1830, fonda une petite école cléricale dont François Hyvrier fut un des élèves, puis un des enseignants avant d’en devenir le directeur en 1835 et de transformer cette école en collège l’année suivante (X. de MONTCLOS, “François Hyvrier”, in Dictionnaire du monde religieux, T. 6, Le Lyonnais, pp. 235-236).

651.

A.M. ODIN, Les Chartreux de Lyon …, p. 237.

652.

A.M.ODIN, les Chartreux de Lyon …, p. 64.

653.

Ibid., pp. 68-73.

654.

Idem, pp. 78, 205-206.

655.

Deux parmi les premiers membres de la société, l’abbé de Lupé, vicaire de Saint-Bruno, et l’abbé Coindre, s’occupèrent aussi de bonnes œuvres, en particuliers de providences (voir chapitre 8).

656.

Georges BABOLAT, “Les Chartreux de Lyon”, in J. GADILLE (dir.) Les catholiques libéraux au XIX e siècle , , P.U. de Grenoble, 1974, 595 p. (pp. 453-462). Le petit séminaire de l’Argentière est assez différent des autres dans la mesure où l’on y manifeste un véritable souci de formation intellectuelle et où on y trouve aussi bien des jeunes laïcs que des aspirants au sacerdoce. (G. BABOLAT, L’école ecclésiastique de Hautes études de Lyon aux Chartreux, Maîtrise, Lyon II, 1972, 55 p. [p.54]).

657.

X. de MONTCLOS, “François Hyvrier”, in Dictionnaire du monde religieux, T. 6, Le Lyonnais …, p. 236.

658.

J.O. BOUDON, L’épiscopat français à l’époque concordataire – 1802-1905 …, p. 227. Parmi les futurs évêques, on peut ajouter l’abbé Thibaudier qu’on a déjà évoqué, devenu évêque de Soissons en 1876 et dont la carrière s’identifie bien à la vocation enseignante des Chartreux : il a été d’abord professeur de philosophie au collège des Chartreux en 1849 avant d’y devenir directeur des études en 1864.

659.

J. O. BOUDON, L’épiscopat français …, pp. 190-191

660.

Ibid., pp. 191 et 197

661.

Ce sont les qualités que Mgr de Bonald souligne dans le tableau qu’il a envoyé au ministre des cultes le 2 juillet 1840. (A.N., F19/2801, dossiers personnels des vicaires généraux de Lyon)

662.

Joseph BAROU, “Saint-Pierre de Montbrison”, Village de Forez, supplément au n°48 d’octobre 1991, 55p. (pp. 25-26)

663.

A.N. F19/2801, dossiers personnels des vicaires généraux de Lyon. On peut noter que le groupe de prêtres lyonnais contestataire qui s’était adressé à Mgr de Bonald au début de son archiépiscopat, sous le pseudonyme “Les Macchabées”, (voir note 627 de ce chapitre), n’adoptait pas le point de vue du préfet et considérant l’abbé Barou comme quelqu’un d’entêté qui n’acceptait pas la contradiction, aurait préféré qu’il ne soit plus vicaire général (B.M. du Puy, fonds local et régional, ref. 11260).

664.

Extrait du tableau de M. l’archevêque de Lyon du 7juillet et du 11août 1840, A.N. F19/2801.

665.

J. CLASTRON, Vie de sa grandeur Mgr Plantier, évêque de Nîmes, librairie Houdin, 1882, 669 p. (pp. 46, 55, 162 et suivantes, 206, 220 et 221).

666.

Lettre confidentielle adressée par le ministre des cultes au préfet de la Loire et au préfet du Rhône le 8 octobre 1868, demandant par ailleurs des renseignements sur l’abbé Richoud. (A.N. F19/2801, dossiers personnels des vicaires généraux de Lyon). Ces accusations s’expliquent bien sûr facilement lorsqu’on tient compte de la dégradation des relations entre le gouvernement de Napoléon III et l’Eglise de France depuis le début des années 1860, à la suite des interventions de la France dans les affaires italiennes et la question romaine.

667.

A.N. F19/2801. A la fin de l’archiépiscopat de Mgr de Bonald, le diocèse de Lyon a été le dernier à adopter la liturgie romaine.

668.

Lettres du sous-préfet de Montbrison du 11 octobre 1868 au préfet de la Loire, du préfet de la Loire et du préfet du Rhône au ministre des cultes du 14 octobre et du 27 octobre 1868. (A.N. F19/2801).

669.

Note du 27 novembre 1868 (A.N. F19/2801).

670.

Il y avait à l’archevêché un autre vicaire général non agréé par le gouvernement, l’abbé Allibert.

671.

Voir la généalogie simplifiée de la famille de Bonald au début du 1er chapitre.

672.

H. FISQUET, La France pontificale …, p. 670.

673.

C. GIVRE, Notables lyonnais et foreziens – Documents historiques sur Louis d’Arnal de Serres, directeur de la Schola Cantorum et sa famille et le cardinal Maurice de Bonald, archevêque de Lyon, grand-oncle de Louis de Serres, 1980, 125 p. (p. 8) : référence aux A.D. de la Loire : B.H.3730

674.

Ce dernier était aussi un des fondateurs de la première conférence de Saint-Vincent- de- Paul à Lyon, en 1836.

675.

Le vice-président de l’œuvre, Chaurand et le secrétaire qui se rendirent, à Rome obtinrent du pape Pie IX l’élévation de l’œuvre de Saint-Pierre à la dignité d’archiconfrérie et ce dernier approuva l’idée des deux lyonnais de rétablir comme en 1848 l’antique Denier de Saint-Pierre. (L. DUGAS et P.J. DUGAS, Prosper Dugas – Vie et souvenirs …, p. 90)

676.

L. DUGAS et P.J. DUGAS, Prosper Dugas – Vie et souvenirs …, pp. 94-96.

677.

Jean- François SIX, Un prêtre, Antoine Chevrier – Fondateur du Prado, Le Seuil, 1965, 537 p. (pp. 162-163)