3. Le problème de l’observation du dimanche

La loi qui fut votée le 18 novembre 1814, au cours de la première Restauration, essaya de rétablir la sanctification du dimanche. Cette loi interdisait, le dimanche, l’ouverture des magasins, toute vente publique aux colporteurs et étalagistes, de même que le travail des artisans et des ouvriers, sauf à le faire derrière des portes closes 2940 . Cette loi eut, durant tout le siècle 2941 , une très mauvaise réputation, et son souvenir gêna même les partisans de l’observation du dimanche. En effet, elle se heurta à des habitudes prises depuis des décennies et l’opinion publique la jugea réactionnaire et comme une des manifestations du renforcement de l’alliance entre le trône et l’autel. Peu appliquée 2942 , la loi devra sa mauvaise réputation à une partie du clergé qui, avec le soutien périodique des administrations, s’employa à l’appliquer avec un rigorisme extrême 2943 .

Quelle était, pour sa part, la tradition de l’Eglise, en ce qui concerne le repos du dimanche ? Dès les premiers siècles, l’Eglise a voulu faire respecter le repos du dimanche. Mais la règle s’est assouplie, par la suite, surtout après la diffusion de la doctrine de saint Alphonse de Liguori. Le futur cardinal Gousset la définissait, en 1844, en distinguant les œuvres serviles, auxquelles on pouvait consacrer trois heures, des œuvres libérales, comme la lecture et des œuvres communes, comme les voyages ou la chasse. Ces deux derniers types d’œuvres étaient permis le dimanche. De plus, pour les œuvres serviles, beaucoup d’exceptions 2944 étaient prévues, en particulier pour les pauvres qui pouvaient effectuer des travaux, discrètement 2945 .

Avec l’avènement de la monarchie bourgeoise en 1830, le catholicisme n’était plus déclaré religion d’Etat, aussi l’administration considéra-t-elle la loi de 1814 comme caduque et ne l’appliqua plus 2946 . Dès lors, la non observation du dimanche prit de l’expansion et le problème social du travail du dimanche, occupa une place de plus en plus importante dans les mandements des évêques. Le prédécesseur de Mgr de Bonald, Mgr de Pins, demande, en 1836, aux catholiques du diocèse, de jeter les yeux sur ce qui se passe dans les saints jours de dimanche : “le marchand se livre à son négoce, l’artisan aux travaux de son art ; les boutiques sont ouvertes, les rues encombrées de voitures de transport 2947 ”. Mgr de Bonald fait, en 1853, un constat similaire à celui de Mgr de Pins : “On peut entendre à la porte de nos temples, le marteau de l’ouvrier, le bruit des machines … Allez sur les places de nos cités, vous verrez … les chariots chargés des produits le l’industrie se croiser 2948 ”. Le cardinal utilise, on le verra, tous les moyens de persuasion pour remettre en honneur la sanctification du dimanche, et pourtant, dit-il, le découragement s’empare presque de nous tant notre zèle doit franchir des obstacles formidables et multiples 2949 . A la campagne, les curés redoutent surtout les chantiers de construction de chemins de fer qui n’arrêtent pas les activités le dimanche et contaminent des populations jusque-là respectueuses du dimanche. Dans la grande industrie, le travail du dimanche est favorisé par la volonté des patrons de profiter d’une bonne conjoncture pour augmenter les bénéfices et pour amortir les investissements en machines nouvelles 2950 . Pourtant, dans la grande industrie, on respecte plus le repos dominical que dans la petite industrie, l’artisanat et chez les travailleurs à domicile 2951 . Pour leur part, les domestiques de maison devaient consacrer généralement plus de trois heures aux œuvres serviles et, contrairement à d’autres travailleurs, ils pouvaient difficilement compter sur le soutien des bourgeois catholiques qui, le plus souvent, pensaient que leur assistance à la messe, et la plus matinale, suffisait pour sanctifier leur dimanche 2952 .

Les économistes et les industriels favorables au travail du dimanche, avançaient deux arguments : en premier lieu, le travail moralise et les journées de repos sont souvent une cause d’inconduite ; en second lieu, le chômage du dimanche enlève à l’ouvrier une partie de son salaire 2953 . A ces économistes humanitaires “qui objectaient que le travail, du lundi au samedi suffisait à peine à la subsistance de la classe laborieuse, Mgr de Bonald répondait, en montrant quelque agacement : mais quoi ! Ne faut-il tenir aucun compte de la santé du peuple ? … Le repos ne lui a-t-il pas été prescrit, aussi, par un principe d’humanité ? 2954

L’archevêque justifiait, bien sûr, le repos du dimanche, en s’appuyant sur le récit de la création du monde, dans la Genèse, qui montrait que Dieu s’était réservé le septième jour ; l’homme doit donc, ce jour-là, s’arrêter “au milieu de ses fatigues … pour fléchir le genou devant son père et son bienfaiteur … et le bénir de ses dons 2955 ”. Pour remercier Dieu de ses dons, le chrétien doit aussi se nourrir de la parole divine, assister au sacrifice de la messe et augmenter ses mérites par des œuvres de charité 2956 . Pour être plus persuasif, l’archevêque énumère aussi les bienfaits obtenus grâce à l’observation du dimanche : bienfaits pour la santé, car l’homme a besoin de repos et les ouvriers reviennent “plus laborieux et plus tempérants 2957  ; bienfaits matériels, car la Providence “donnera la prospérité à vos établissements” et permettra de belles récoltes 2958  ; bienfaits enfin, car la messe dominicale développera le sentiment de fraternité 2959 . Lorsque, par contre, le dimanche n’est pas sanctifié, le cardinal se demande si les calamités naturelles, que ce soit la sécheresse ou les inondations, ne sont pas, alors, les effets de la justice de Dieu 2960 . Il s’inquiète surtout de voir les ouvriers et les paysans perdre le contact avec l’Eglise et son enseignement, lorsqu’ils n’assistent plus à la messe. Or, ils ont besoin que leur pasteur leur apprenne les vertus de fidélité et de respect de la parole donnée, salutaires au sein des familles et pour les relations professionnelles. De plus, l’ignorance de la religion les “conduira bientôt à substituer des craintes puériles à la crainte des jugements de Dieu et de superstitieuses pratiques à la foi qui aura disparu 2961 ”.

Mgr de Bonald souhaitait la mise en place d’une association militant en faveur du repos du dimanche, aussi demanda-t-il aux “honorables fabricants” du diocèse de se concerter afin de former entre eux une sainte ligue pour faire observer le dimanche à ceux qui leur étaient subordonnés 2962 . Il obtint satisfaction quand fut fondée, en 1853, au plan national, l’Association pour le Repos du dimanche, avec pour objectif de fédérer les initiatives locales et de les soumettre à l’autorité d’un comité parisien, au sein duquel les membres de la Société de Saint-Vincent-de-Paul jouaient un rôle prépondérant 2963 . Le président lyonnais de cette société, Paul Brac de la Perrière, accepta d’envoyer une pétition à Paris, afin que le gouvernement empêche le travail du dimanche, mais, attaché à la neutralité politique de la Société, il ne tenait pas à ce qu’elle soit vraiment engagée dans cette croisade 2964 . L’Association pour le Repos du dimanche, qui fut implantée dans plusieurs villes, dont Lyon 2965 , militait, avec son bulletin mensuel, “L’Observateur du Dimanche”, pour la fermeture, ce jour-là et les jours fériés, non seulement des ateliers, mais aussi des cabarets, des marchés, des foires et des magasins 2966 . En 1856, quatre archevêques 2967 , dont Mgr de Bonald, profitèrent de leur présence à Paris, à l’occasion de la naissance du prince impérial, pour faire parvenir une lettre à l’empereur, soulignant le problème du non respect du repos dominical. Persuadés, affirmaient-ils, que l’observation de la loi de Dieu est le meilleur moyen de faire descendre sur le berceau de votre fils, les bénédictions que nous appelons sur lui, “nous prenons la liberté de supplier votre majesté, d’ordonner que ce qu’elle a prescrit pour la Sanctification du dimanche, soit exactement observé par toutes les administrations, pour tous les agents de son gouvernement 2968 ”.

L’analyse de l’ouvrage d’un Père jésuite qui connaissait Mgr de Bonald, publié en 1858, peut nous permettre d’approfondir la pensée du cardinal, concernant les enjeux représentés par l’observation du dimanche. Le livre du Père Gautrelet 2969 , qui fut publié à Lyon, était intitulé : “Le dimanche considéré au point de vue religieux et social”. L’archevêque approuva le livre 2970 et en recommanda la lecture. Dans le premier chapitre, l’auteur démontre que le dimanche est l’abrégé de la religion, en s’appuyant sur la bible et en décrivant le comportement idéal du chrétien ce jour-là. En soulignant, ensuite, la place majeure du dimanche dans la vie du chrétien, le Père Gautrelet partage l’inquiétude de l’archevêque, lorsqu’il affirme que sans le dimanche, l’Eglise devient muette 2971 . Le troisième chapitre est plus original dans la mesure où l’auteur se préoccupe de la santé du travailleur et où il fait une analyse circonstanciée des conditions de travail dans les ateliers. Il affirme que le bien-être physique dépend de la juste proportion du travail et du repos, en appuyant son affirmation sur le constat des médecins, qui ont reconnu la nécessité du repos le septième jour 2972 . Il souligne, par la suite, les carences de la loi de 1841, qui laisse les chefs d’industrie décider des travaux indispensables à tolérer de la part des enfants, le dimanche et les fêtes, dans les usines à feu continu 2973 . Or, dit le Père Gautrelet, la loi constate plutôt le mal qu’elle le détruit et elle est illusoire car, “si on s’en rapporte à leur conscience, il n’était pas nécessaire de faire une loi qui ne peut … que reconnaître et consacrer dans les chefs d’établissement, le droit de prononcer dans leur propre cas 2974 ”. Le Père Jésuite voudrait donc une législation plus efficace et moins hypocrite car, comme le cardinal, il a pu constater que le souci de veiller aux intérêts moraux et matériels des ouvriers n’existait guère chez les patrons de l’industrie. Le Père Gautrelet se lance ensuite dans une diatribe contre ces derniers en les accusant d’être doublement homicides, puisqu’ils immolent, en même temps, à leurs “basses spéculations, et le corps et l’âme de leurs semblables 2975 ”. Dans le dernier chapitre, il aborde les moyens à prendre pour assurer l’observation du dimanche : en dehors des associations susceptibles d’être mises en place, il suggère des solutions pour que les paroissiens sanctifient leur dimanche de manière agréable et gratifiante ; et là, il propose non seulement des jeux permettant une détente physique, mais il pense aussi à ces laïcs de la Société de Saint-Vincent-de-Paul qui visitent le dimanche des malades et des prisonniers ou ces laïcs qui instruisent les ouvriers de la Société de Saint-François-Xavier, afin d’améliorer leur sort en contribuant à leur perfectionnement industriel 2976 .

Il nous reste à voir comment le souci du cardinal de Bonald, prodigué à l’égard du monde ouvrier, l’a amené à multiplier, autant que possible, les églises et les paroisses, dans les nouveaux quartiers industrialisés.

Notes
2940.

La loi prévoyait tout de même de nombreuses dérogations pour certains commerces, pour les usines à feu continu, pour les travaux urgents de l’agriculture etc. [Robert BECK, Histoire du dimanche de 1700 à nos jours, L’Atelier, 1997, 383 p. (pp. 159-161)].

2941.

Elle tomba en désuétude et son abrogation définitive, en 1880, n’eut plus qu’un caractère symbolique (Ibid., p. 183).

2942.

En 1850, lors de l’élaboration d’un nouveau projet de loi sur l’observation du dimanche, qui n’aboutira pas, le ministre de la Justice et des Cultes attestera que tout le pays a négligé la loi (Idem, p. 166).

2943.

Idem, p. 162.

2944.

Dans son mandement de Carême de 1842, “Sur la sanctification du dimanche”, Mgr de Bonald soulignait que la Religion, prévoyante et bonne, voulait que “le dimanche même, le cultivateur moissonne ses champs et vendange ses vignes si l’orage menace de tout détruire”, p. 15.

2945.

Robert BECK, Histoire du dimanche de 1700 à nos jours …, pp. 255-256.

2946.

L’administration du second Empire ne l’appliqua pas davantage. Mgr de Bonald ne disait-il pas aux patrons de l’industrie que cette dernière “ne devait pas être plus athée que la loi ” ? (Instruction pastorale de Carême de 1853).

2947.

Mandement pour le Carême de 1836, p. 5.

2948.

Instruction pastorale de Carême de 1853, “La Religion doit régler et sanctifier l’industrie”, p. 20. Dans un grand nombre de mandements de Carême, Mgr de Bonald évoqua le problème du non respect du repos du dimanche.

2949.

Mandement de Carême de 1842, “Sur la sanctification du dimanche”, p. 17.

2950.

Robert BECK, Histoire du dimanche de 1700 à nos jours …, pp. 184-186.

2951.

Les dénonciateurs du non respect du repos dominical montrent surtout du doigt les métiers de l’alimentation, du bâtiment, de l’habillement et de la métallurgie. (Ibid., pp. 188-190).

2952.

Idem, p. 194.

2953.

Quelques évêques, après les événements de juin 1848, comme Mgr Parisis, évêque d’Arras, ont concédé des “nécessités des temps” pour justifier le travail du dimanche, car ils donnaient la priorité à la lutte contre le socialisme. Mais, Mgr de Bonald a toujours soutenu les ouvriers qui revendiquaient le repos dominical. (Idem, p. 247).

2954.

Mandement de Carême de 1842, “Sur la sanctification du dimanche”, p. 12.

2955.

Instruction pastorale à l’occasion du Carême de 1853, “La religion doit régler et sanctifier l’industrie”, p. 19 , et mandement de Carême de 1842, p. 7. Mgr de Bonald pensait que la profanation du dimanche était non seulement dommageable pour l’Eglise, mais aussi pour la société, dont elle attaquait les fondements. (Mandement de Carême de 1842, p. 9).

2956.

Instruction pastorale à l’occasion du Carême de 1853, p. 22.

2957.

Idem, p. 21.

2958.

Idem, pp. 22-23.

2959.

Ce jour-là permet le rapprochement dans les familles, entre amis et entre paroissiens, sans distinction de rang. (Mandement de Carême de 1842, pp. 12-13.). On peut douter, bien sûr, du rapprochement entre riches et pauvres, dans la mesure où ces derniers hésiteront à se rendre à la messe, s’il faut payer le prix des chaises et revêtir les habits du dimanche. L’évêque de Cambrai, Mgr Belmas, soulignait, lui aussi, la nécessité d’un jour de congé pour la détente physique, la culture intellectuelle, la vie de famille et les relations humaines. (ROBERT BECK, Histoire du dimanche de 1700 à nos jours …, p. 246).

2960.

Mgr de Bonald s’est exprimé en ce sens, dans sa lettre pastorale, après les deux crues du Rhône de l’automne 1840 et du printemps 1856 (Lettre pastorale du 15 novembre 1840, mandement de Carême de 1842 et mandement du 3 juin 1856).

2961.

Mandement de Carême de 1842, “Sur la sanctification du dimanche”, pp. 10-11.

2962.

Instruction pastorale à l’occasion du Carême de 1853, p. 22. Déjà, en 1842, il demandait aux “pieux ouvriers, vertueux fabricants, négociants chrétiens”, de s’unir pour “rétablir dans ce beau diocèse l’observation de la loi du Seigneur sur le dimanche” (Mandement de Carême de 1842, p. 17).

2963.

Robert BECK, Histoire du dimanche de 1700 à nos jours …, p. 253.

2964.

Catherine PELLISSIER, Loisirs et sociabilité des notables lyonnais au XIX e siècle, Editions lyonnaises d’art et d’histoire, P.U. de Lyon, 1996, 272 p. (p. 83).

2965.

Plus tard, en 1875, sera fondée l’Œuvre dominicale de France, avec son organe mensuel, “Le Dimanche catholique” [Pierre PIERRARD, L’Eglise et les ouvriers en France (1840-1940) …, p. 56]. Quelques réunions de l’Œuvre se tiendront au Prado du Père Chevrier, dont un sermon de 1871, “Sur la sanctification du dimanche”, montre que ce thème était plus que jamais d’actualité : aux maux de la France vaincue, il donne comme explication le travail du dimanche et il donne pour preuve, les problèmes auxquels il est confronté pour placer ses jeunes garçons. Quand nous voulons les placer, dit-il, nous sommes obligés de stipuler qu’ils ne travailleront pas le dimanche, et malgré cette réserve, on les fait travailler quand même, et si nous voulons faire quelques observations, on se moque de nous et on nous dit : “Il faut bien gagner sa vie” (C. CHAMBOST, Vie nouvelle du vénérable Antoine Chevrier …, pp. 371-372).

2966.

Pierre PIERRARD, L’Eglise et les ouvriers en France (1840-1940) …, p. 56. “L’Observateur du Dimanche” se plaignait, d’ailleurs, de la permission accordée par certains directeurs de conscience, d’ouvrir les magasins le dimanche. (Robert BECK, Histoire du dimanche de 1700 à nos jours …, pp. 262-263).

2967.

Il s’agissait, outre Mgr de Bonald, des archevêques de Bourges, de Besançon et de Reims.

2968.

Lettre du 14 juin 1856. (Archives de la famille de Bonald à Millau).

2969.

François-Xavier GAUTRELET (1807-1886), ordonné prêtre au Puy en 1835 par Mgr de Bonald, devint en 1842, Père spirituel du scolasticat de Vals, qui formait les Jésuites, et il y fonda “L’Apostolat de la prière”. Cette association qui synthétisait pour ses fidèles, vie de prière et d’action, se répandit dans de nombreux pays. Le Père Gautrelet devint, par la suite, provincial à Lyon [Notice de Pierre VALLIN, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique – Doctrine et histoire (Marcel VILLER, André RAYEZ et alii dir.), Beauchesne, 1953, T. VI, col. 154-157].

2970.

“Nous avons fait examiner l’ouvrage, et sur le rapport favorable qui nous en a été fait,, nous en approuvons l’impression et en recommandons la lecture, Lyon le 14 août 1857” : cette note figure au début de cet ouvrage de 252 pages, édité chez Pélagaud, B.N.F. D- 35704. Plusieurs évêques, en particulier Mgr Rendu, évêque d’Annecy et Mgr de Bonald, sont cités dans le livre.

2971.

F.X. GAUTRELET, Le dimanche considéré au point de vue religieux et social …, p. 118.

2972.

Ibid., p. 141.

2973.

Article 6 de la loi. Par ailleurs, l’article 4 interdisait d’employer les enfants de moins de 16 ans les dimanches et les jours de fête reconnus par la loi (Idem, p. 146).

2974.

Idem, p. 146. On a vu, au début de ce chapitre, Mgr de Bonald, conclure, lui aussi, que les enfants au travail n’étaient pas protégés par les lois.

2975.

Idem, p. 146.

2976.

Idem, pp. 233-237. Il pense aussi qu’au cours de la messe, les prêches courts et intéressants devraient prévaloir.