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Je tiens à exprimer ma profonde reconnaissance aux Suquamish de la réserve du Port Madison et à leur Conseil tribal. Je les remercie de leur appui et de leur bienveillance lors de notre première rencontre et durant toutes ces années où mes allées et venues répétées ont toujours été considérées avec beaucoup d’intérêt et d’enthousiasme. Je pense en particulier à Fanie et Ed Carriere avec lesquels j’ai fait mon premier voyage en canoë en 1999. A Peg Deam, pour son soutien, ses précieuses informations et sa collaboration tout au long de ces années. A Nigel, Albie, Jasmine, Barbara et Kah Ty Ah Lawrence pour leur accueil chaleureux au sein de leur famille et pour tout le temps qu’ils ont bien voulu me consacrer. Je pense également à toute l’équipe du projet Full Circle Cedar Carving (James, Erik, Calvin, Jr, Marion, James, We Le Ka, Jerome, Chuck et Ray) qui a accepté ma présence durant toute la durée du projet et m’a fait confiance. A Tleena, Noël, Cheayvone, Katie, Margie, Rob, Marilyn, Gene, Ivy et à tous ces hommes et femmes universitaires, chefs de tribu, spécialistes culturels, sculpteurs, tisserands, enseignants, juges, directeurs de musée, la liste est longue, qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de cette thèse.
Je tiens également à exprimer ma gratitude aux professeurs Charlotte Coté et Colleen Boyd ainsi qu’à l’American Indian Studies de l’University of Washington de Seattle pour leur accueil, leurs aides et conseils précieux. Je remercie également le professeur Bill Holm, Robin K Wright, le personnel de la Special Collection Library de l’University of Washington, le Museum of History and Industry de Seattle et le McCormick Library of Special Collections de la Northwestern University Library d’Evensonpour l’ensemble des documents, photos et archives auxquels j’ai pu avoir accès.
Je remercie ma directrice de recherches Françoise Morin de m’avoir conseillée et encouragée. Mes remerciements vont également à ma famille, à ma grand-mère, à mes amis américains et français.
Au professeur Philippe Jacquin à qui je dois cette passion pour l’Amérique et ses habitants...