3.3 Garantie, sans discrimination, de toutes les possibilités

Au troisième fondement de l’inclusion : “Garantir l’accès de chaque enfant, sans discrimination, à diverses possibilités éducatives artistiques, sportives, etc.,” correspondent trois questions (6, 15 et 7).

Les groupes 1, 2 et 3 ont répondu à la question 6, comme le montrent les tableaux ci-dessous:

Tableau 43 – (1) Professeurs travaillant avec les enfants à BES
Question 6. De quelle manière l’école populaire assure-t-elle une continuité éducative pour les enfants (progression en cycles, avenir après l’école)? Quant.
Elle assure une continuité  
- Nous avons l’education des jeunes et adultes (EJA)(...) Aujourd’hui on voit qu’ils sont motivés quand ils viennent. Il y a très peu d’absences. (...) Pour ce qui est de leur avenir scolaire ils pourront rester à l’école jusqu’à 21 ans. 1
-Il existe une préoccupation par rapport à l’orientation de chacun. Ici il y a cette préoccupation de savoir comment va être l’éducation des sourds en 3ème cycle. Un partenariat avec l’etat est en train de se mettre en place justement pour ça. 1
- l’année dernière on est arrivé à quelque chose. On a rassemblé les gens de la Préfecture avec ceux de l’État. Parce qu’on réfléchissait déjà à la forme que prendrait cette continuité. (...) On aura donc des interprètes et des professeurs alloués par l’Etat de Santa Catarina C’est une alternative, une stratégie... 1
- Il y a un groupe qui est en dernière année. Alors, maintenant on discute la mise en place d’un partenariat avec l’Etat de Santa Catarina afin de créer , ici à SC une classe de collège. La municipalité nous concède un espace et la région nous fournit les professeurs. 1
Sous-total des réponses 4
Elle n’assure pas de continuité  
- Quand ils sortent d’ici, ils vont à Victor Meireles... 1
- je pense que beaucoup d’enfants vont faire leur troisième cycle dans l’école voisine à côté et ne suivent pas... (...) On a eu deux garçons qui travaillaient au Banco do Brasil en tant que stagiaires...mais je trouve que c’est très peu...La majorité refait ce que leurs parents ont fait : faire pleins d’enfants et vivre ici dans les environs... 1
-Ecoute, moi je n’ai pas vu de suivi après. Et s’il y a un suivi, qu’est-ce qui vient alors après? 1
- Ils ont abordé le sujet mais ils ont dit qu’on manquait de partenariat...et la discussion est restée san suite... 1
Sous-total des réponses 4
Total des réponses 8
Pas de réponses 1
TOTAL 9
Tableau 44 – (2) Professeurs travaillant exclusivement avec les classes régulières, sans élèves à BES
Question 6. De quelle manière l’école populaire assure-t-elle une continuité éducative pour les enfants (progression en cycles, avenir après l’école)? Quant.
Elle assure lune continuité  
Sous-total des réponses 0
Elle n’assure pas de continuité  
- Il ne sortira de la classe de progression que quand il se rendra compte de ça. (...) pour moi c’est le problème de notre proposition de travail. On ne peut pas avancer s’il ne sait ni lire ni écrire... 1
Sous-total des réponses 1
Total des réponses 1
Pas de réponses 4
TOTAL 5

Le groupe de professeurs travaillant exclusivement avec les classes régulières ont eu des difficultés à répondre à la question. Ils ont majoritairement affirmé ne pas savoir répondre, ou ont demandé à passer cette question. La seule réponse que nous ayons obtenu affirme que le système de progression n’assure pas de continuité éducative mais représente un problème en soi.

Le groupe 1, rassemblant les professeurs directement liés au enfants à BES, est divisé : 4 affirme que l’école populaire assure, d’une certaine manière, une continuité et 4 conteste cette affirmation de façon acerbe.

Les actions citées par les interviewés se référent directement à l’école São Cristóvão qui a pris l’initiative de créer un partenariat entre les écoles d’Etat et municipales. Des professeurs – interprètes ont été alloués à l’école afin d’assurer une continuité éducative pour les sourds.

Les groupes de progression semblent être considérés tantôt comme une avancée, tantôt comme un recul : les témoignages recueillis dans les deux écoles font allusion à un effet “goulot”. Certains enfants y demeurent pendant des années, sans que l’école ne sache comment les faire progresser. L’EJA apparaît comme une solution pour certains cas mais les témoignages révèlent que la majorité des élèves du CAIC vont à l’école d’état voisine Victor Meireles.

Une tentative de rapprochement avec cette école a été signalée, afin de faciliter la transition pour les enfants, mais elle reste insignifiante. Observons les propos du groupe 3 :

Tableau 45 – (3) Directeurs d’école, coordinateur pédagogique et Secrétaires d’Education
Question 6. De quelle manière l’école populaire assure-t-elle une continuité éducative pour les enfants (progression en cycles, avenir après l’école)? Quant.
Elle assure une continuité  
- Dans le groupe spécial que nous avons ici, ils peuvent rester plus de temps. Ils font leur troisième cycle ici et au cours de cette période, nous pouvons les inclure au moment qui nous semble le plus adéquate. Nous allons probablement les orienter vers l’enseignement professionnel.. 1
- Avec les autorités compétentes nous avons cherché à mettre en place une continuité avec le collège, à avoir des salles pour les sourds et des professeurs compétents. 1
- Nous assurons les cours de collège à partir de 2005 grâce à un partenariat entre l’Etat de Santa Catarina et la municipalité. 1
-en offrant un rythme spécial, en garantissant la diversité de l’accueil, des moments spécifiques pour chaque sujet, des matières qui aident les enfants à acquérir des connaissances. 1
- L’école SC est organisée en cycles. (...) ici chaque cycle est plus long (...) Nous avons des groupes d’éducation spécialisée à l’EJA Paulo Freire. A l’école de sourds, nous avons par exemple, des centres d’informatique qui sont des salles d’informatique et qui garantissent une formation (...) il y a aussi les centres artistiques de culture populaire... 1
Sous-total des réponses 5
Elle n’assure pas de continuité  
-c’est un très grand questionnement. Il y a a l’école des jeunes et des adultes. Un élève spécial a réussi à terminer à 24 ans. Mais il n’y en a pas encore eu d’ici... C’est encore une de mes grandes angoisses... on se pose des questions sur le regroupement. 1
Sous-total des réponses 1
Total des réponses 6
Pas de réponses  
TOTAL 6

La majorité de ce groupe considère qu’il existe des actions qui tentent d’assurer une continuité éducative. Ils mentionnent les cycles à la durée plus longue pour certains élèves, l’education des jeunes et adultes (EJA) pour d’autres, tout comme le partenariat avec les écoles d’Etat. Cependant, ces actions sont en discussion et ne sont pas encore concrètes.

9 réponses sur 15 valident le thème, cependant les interviewés émettent des réserves et laissent entrevoir que la question de la continuité éducative pour les enfants à BES est de fait, une préoccupation de l’école populaire, qui n’est pas , aujourd’hui encore, réellement effective.

Afin de savoir si les interviewés défendent l’existence d’un espace spécifique aux besoins des enfants à BES, nous avons posé la question 15 ( Est-il nécessaire ou non de proposer un espace d’éducation spécifique à leurs difficultés? Quelle forme donneriez-vous à cet espace, Comment définiriez-vous cet espace?) aux groupes de professeurs 1 et 2 comme l’illustrent les tableaux suivants:

Tableau 46 – (1) Professeurs travaillant avec les enfants à BES
Question 15. Est-il nécessaire ou non de proposer un espace d’éducation, spécifique à leurs difficultés? Comment définiriez-vous cet espace? Quant.
Un espace spécifique semblable à celui qui existe dans cette école est nécessaire 5
Un espace spécifique différent à celui qui existe dans cette école 4
Ce n’est pas nécessaire 0
Total des réponses 9
Pas de réponses  
TOTAL 9
Tableau 47 – (2) Professeurs travaillant exclusivement avec des classes régulières, sans élèves à BES
Question 15. Est-il nécessaire ou non de proposer un espace d’éducation, spécifique à leurs difficultés? Comment définiriez-vous cet espace? Quant.
Un espace spécifique semblable à celui qui existe dans cette école est nécessaire 5
Un espace spécifique différent à celui qui existe dans cette école 0
Ce n’est pas nécessaire 0
Total des réponses 5
Pas de réponses  
TOTAL 5

La totalité des interviewés répond de manière affirmative, c’est-à-dire qu’ils considèrent nécessaire l’existence d’un espace spécifique pour les élèves à BES. 10 des 14 personnes interrogées défendent le modèle actuel d’école populaire.

La professeure PEC1 évoque sa vision de l’espace idéal et les difficultés qu’elle rencontre dans la pratique:

‘« Je pense qu’il y a des moments pendant lesquels on peut les mettre en classe normale et d’autres moments qui doivent leur être réservés. L’idéal, pour moi, ça serait qu’on puisse être tous ensembles tout le temps. Seulement avant d’arriver à cela, il y a beaucoup de choses à changer : la formation des professeurs, les camarades de classe, le nombre d’élèves par classe. Ils sont 28....c’est très difficile... On a déjà eu ça.... mais on n’arrive pas à faire du bon travail. Nous avons des élèves comme Paul. Il est resté un moment seul et nous avons trouvé, nous, lui, l’école et sa mère qu’il avait surmonté certaines difficultés. Maintenant il a surmonté certaines difficultés, il arrive à accompagner le groupe. S’il avait été là dès le début, il n’aurait pas réussi à résoudre ces difficultés. Il y a une élève qui étudie à l’EJA : elle et sa famille ont considéré qu’elle pouvait accompagner le groupe des jeunes adultes et ça c’est fait. »’

Pour PES4, cet espace doit exister tout en maintenant un contact avec les enfants dits “normaux” :

‘« Je pense que de la manière dont ça été mis en place ici, cet espace réservé est nécessaire. Pour qu’ils voient qu’il y a des personnes qui ont les mêmes difficultés qu’eux, ou même d’autres difficultés, des personnes qui sont dans la même situation. Qu’ils puissent se rendre compte de ça mais sans pour autant s’éloigner des enfants dits “normaux”, n’est-ce pas? Parce que sinon... Dans l’école spécialisée, ils étaient trop éloignés du contact avec les autres, très isolés, et ils ne s’intégraient pas. Ici je trouve que c’est un bon compromis. »’

Nous remarquons que les 4 réponses qui défendent la création d’un espace différent à celui existant actuellement à l’école populaire, sans représenter l’avis de la majorité, ont été données par les professeurs travaillant avec les enfants sourds. Ils défendent un modèle d’école spéciale pour les sourds comme l’illustrent respectivement les témoignages de PES5 et PES1:

‘« Je ferais une meilleure école, je créerais une espace uniquement pour les sourds... où ils auraient plus d’opportunités. On assiste au développement des petits depuis longtemps ici. On voit qu’ils sont impatients de communiquer. Je leur donnerais donc plus d’espace. Je ferais une école pour sourds, ce qui ne veut pas dire qu’ils n’auraient pas de contact avec les entendants, on pourrait les amener dans une autre école, pour connaître... Ou alors chacun son espace... par exemple, un pour les aveugles, sans pour autant qu’ils ne puissent pas être avec les autres, mais chacun son espace... »’

La réponse de PES1 reflète la difficulté à construire et à créer une école de la “diversité” qui posséderaient différentes formes d’organisation, comme par exemple différents espaces scolaires:

‘« Si je pouvais le faire, je construirais une école exclusivement pour les sourds. Pourquoi? Parce que je pense qu’à de multiples niveaux, c’est très positif d’être avec des entendants mais certaines choses mettent plus de temps à fonctionner parce que la préoccupation principale de l’école est d’unir, de mélanger et non pas de privilégier certains aspects que nous devons développer avec les sourds. Je pense qu’il y a une résistance de la part des autres professeurs, parce que lorsqu’on est arrivé, on disposait d’immenses salles et eux avaient des salles petites et remplies. Nous, nous avons peu d’élèves. On m’a fait des réflexions telles que: “tu as 6 élèves pour une salle immense!” Mais il y a une raison à ça. Les élèves sourds ne restent pas assis les uns derrière les autres, car sinon comment pourraient-ils interagir les uns avec les autres? »’

Pour elle, l’élève sourd est désavantagé en termes d’apprentissage à SC. PES2 se souvient de la lutte des sourds dans l’histoire et propose une alternative:

‘« Un espace réservé aux sourds. Ils ont lutté pour avoir cet espace (...) il devrait y avoir un espace pour chacun d’eux. Du CP à la 3ème dans l’enseignement fondamental ça serait mieux d’être séparé et au lycée ils pourraient avoir un interprète, à l’université également... »’

Nous pouvons dire qu’il existe encore une résistance de certains professeurs au modèle inclusif, notamment de ceux qui travaillent avec les sourds. Nos observons que le professeur sourd défend également un espace, qui, comme il l’explique lui-même, a été conquis au prix d’un grand effort:

Malgré les résistances, tout le monde est unanime pour dire qu’un espace spécifique, adapté aux élèves à BES est nécessaire. Cette question va donc de pair avec les exigences de l’école inclusive.

Pour mesurer l’accessibilité, nous avons demandé aux groupes 1, 2 et 3: Quelles difficultés rencontrez-vous ou avez-vous rencontré à la matérialisation du projet d’une école populaire ouverte à tous?

Tableau 48 – (1) Professeurs travaillant avec les enfants à BES
Question 7. Quelles difficultés rencontrez-vous ou (avez-vous rencontré) à la matérialisation du projet d’une école populaire ouverte à tous? Quant.
Je rencontre des difficultés  
- Le projet d’une école pour tous est difficile a matérialiser quand la logique du marché du travail réside dans l’individualisme et la compétitivité. 1
- dans la formation 1
- manque d’engagement de la part des professeurs. Il y a beaucoup d’élèves dans les classes de progression 1
- une plus grande implication dans l’école(...) il faudrait renforcer le collectif 1
-C’est déjà un problème de pouvoir inscrire tout le monde parce qu’on manque d’espace. Les professeurs ont également des difficultés à récolter les discours. Le problème des discours et de leur analyse 1
- je pense qu’il n’y a pas assez d’équipements pour tous, on manque des toilettes, de rampes... 1
- On se pose des questions (...) une école ouverte à tous doit-elle accueillir tout le monde? Ou s’organise-t-elle pour accueillir un groupe? 1
Sous-total des réponses 7
Je ne rencontre pas de difficultés  
- Aujourd’hui, elle a la possibilité d’accueillir tout le monde, je pense qu’elle est effective et ouverte à tous. 1
Sous-total des réponses 1
Total des réponses 8
Pas de réponses 1
TOTAL 9
Tableau 49 – (2) Professeurs travaillant exclusivement avec les classes régulières, sans élèves à BES
Question 7. Quelles difficultés rencontrez-vous ou (avez-vous rencontré) à la matérialisation du projet d’une école populaire ouverte à tous? Quant.
Je rencontre des difficultés  
- par rapport à la question des contenus minimums (...) nous devons étudier encore davantage, chercher des alternatives et des matériaux qui améliorent le processus d’enseignement-apprentissage. 1
- notre problème se situe dans le “ouverte à tous”, nous sommes entourés d’écoles d’Etat, ces écoles ne veulent pas prendre certains élèves et nous, nous ne pouvons pas dire non. Je pense également que notre opinion devrait davantage être prise en compte, nous qui sommes dans la classe. Très souvent, le Secrétariat ne nous consulte pas. Le programme arrive déjà tout prêt. 1
L’école, ses professionnels et sa structure sont-ils appropriés pour aider, avec l’appui d’autre entités, à résoudre les problèmes de l’école? Qui sont-ils? Il manque encore beaucoup de chose pour qu’existe une école réellement ouverte à tous. Manque de structures, de prise de conscience de la part de ceux qui fréquentent l’école.. 1
Sous-total des réponses 3
Je ne rencontre pas de difficultés  
- je vois que nous sommes valorisés par cette proposition (...) on a un espace pour dire “je n’aime pas”, “je ne veux pas”(...) cette proposition m’a aidé...à changer ma vision à voir ce qui est différent, à accepter la différence (...) on se sent mieux.Il y a de la collaboration 1
Sous-total des réponses 1
Total des réponses 4
Pas de réponses 1
TOTAL 5

10 des 12 interviewés affirment rencontrer des difficultés à la matérialisation du projet d’une école populaire ouverte à tous. Les difficultés citées par les professeurs sont diverses : logique de marché incompatible au principe d’une école populaire, manque de formation et d’implication des professeurs, manque d’espace et de structure physique, doutes sur certains aspects pédagogiques.

Tableau 50 – (3) Directeurs d’école, Coordinateur pédagogique et Secrétaires d’Education
Question 7. Quelles difficultés rencontrez-vous ou (avez-vous rencontré) à la matérialisation du projet d’une école populaire ouverte à tous? Quant.
Je rencontre des difficultés  
- la difficulté majeure réside dans l’engagement de certains. 1
- on aurait besoin d’un plus grand nombre de politiques publiques qui garantissent une école équipée avec du matériel, des espaces physiques et des curriculums adéquats, une formation académique, on aurait besoin de qualifications et d’une formation continue des éducateurs 1
- la communauté a une vision faussée de ce qu’est l’éducation populaire, de sa qualité. Elle a une vision de quelque chose de populaire, c’est-à-dire pour le peuple, et qui n’est donc pas de qualité. 1
- il y a beaucoup de résistance.Beaucoup de gens de “droite” t’assurent que ça ne marche pas 1
- une des difficultés à laquelle il faut faire face est la formation du professeur qui a été préparé à travailler avec l’élève idéal, “normal”. Il existe des résistances par rapport à l’école populaire. Parce que dans l’imaginaire des gens , ce qui est populaire a moins de qualité, par ex: des phrases telles que “s’il y a moins de qualité, il y a moins de contenu, il n’y a pas de redoublement. 1
- Je pense que ça vient de la société même : s’il y a un élève différent je vais retirer mon fils de l’école.L’école accueille l’élève, mais très souvent les familles des autres élèves ne veulent pas. 1
Sous-total des réponses 6
Je ne rencontre pas de difficultés  
Sous-total des réponses 0
Total des réponses 6
Pas de réponses  
TOTAL 6

Secrétaires, directeurs et coordinateur pédagogique sont également unanimes à affirmer qu’il y a encore beaucoup à faire avant qu’on puisse parler d’école ouverte à tous. Le groupe cite comme principales difficultés le manque d’engagement des acteurs, le manque de politiques publiques, la vision faussée de l’école populaire auprès de la communauté, la résistance politique et la résistance des professeurs et de la communauté.

Les réponses montrent clairement que l’école populaire ouverte à tous est un projet qui se réalise pas à pas. On perçoit la réelle préoccupation des écoles à accueillir les enfants et à favoriser l’accès au savoir, cependant cela se fait lentement, et il faut quotidiennement surmonter des obstacles.

Le thème de la garantie d’une éducation pour tous n’a été que partiellement validé par les réponses aux trois questions qui s’y réfèrent.

L’accès à l’éducation ou une école ouverte à tous n’est que partiellement confirmé car s’il existe des actions concrètes qui vont dans ce sens, il faut encore surmonter de nombreux obstacles