d. Les mêmes attitudes face à la fête.

L’analyse sur la longue durée s’impose également ici, car 1685, ne marque pas du tout une rupture, notamment dans le comportement des réformés. En ce qui concerne les catholiques le mouvement de réforme, dont on a déjà aperçu les premiers signes de mise en place, accentue les pressions contre la fête sur l’ensemble de la période. Il y a donc bien dans les deux confessions une impression de continuité et des ressemblances.