Je tiens à remercier mon directeur de thèse, Bernard Lahire, pour son enseignement, pour ses exigences et son propre engagement scientifiques, pour la confiance qu’il m’a témoignée à l’occasion de ce travail, lors d’autres recherches et tout au long de mon parcours universitaire. Merci aussi de n’avoir pas négligé les conditions matérielles de réalisation d’une thèse.
Je souhaite exprimer toute ma gratitude à Géraldine Bois, Muriel Darmon, Eliane Renard et Olivier Vanhée qui, par leurs relectures, conseils et critiques toujours avisés, encouragements et « coups de gueule » m’ont remarquablement soutenue au cours de ce travail.
Mille mercis à Célie Pauthe, Elise Ghiringhelli-Zahnd, Aïssatou Mbodj-Pouye, Sophie Denave, Julien Bertrand, Yane Golay, Gaële Henri-Panabière, Julien Poly, Anne-Laure Brion, Cédric Demange.
Ma reconnaissance va aussi à Christine Détrez qui m’a offert la possibilité de riches et heureuses collaborations, et dont l’estime m’a aussi permis une liberté critique.
Merci à Isabelle Charpentier pour m’avoir communiqué ses travaux.
Aux participants du séminaire doctoral avec qui j’ai vécu cette expérience singulière de la réalisation d’une thèse, notamment Denise Morin. A d’autres doctorants aussi, Mourad Bahfir et, plus loin, PJ Brun.
Aux membres du Groupe de Recherche sur la Socialisation (CNRS - Université Lyon 2 - ENS Lettres Sciences Humaines), à ceux du département de sociologie de l’Université Lumière Lyon 2 et de l’IUFM de Lyon qui m’ont témoigné leurs encouragements, et ont encadré ou accompagné mes premiers pas dans la recherche et l’enseignement : Sylvia Faure, Rachel Gasparini, Pierre Mercklé, Mathias Millet et Stéphanie Tralongo.
Merci à ceux qui, avant cela, m’ont enseigné la sociologie, en particulier, Régis Bernard, Ali Cheiban, Josette Debroux et Daniel Thin.
Par ailleurs, ce travail n’aurait pu être mené à bien sans une allocation de recherche de l’Université Lumière - Lyon 2 (1999-2002) et un poste d’ATER à l’IUFM de Lyon (2004-2006).
Mes remerciements vont encore à toutes les personnes qui, en acceptant de participer à l’enquête, m’ont permis de les rencontrer et de réaliser ce travail.
A Ludovic Arnaud, Pascal Ogier et Jacqueline Struffi pour m’avoir notamment facilité l’accès à leurs établissements scolaires et m’avoir fait rencontrer certains de leurs collègues.
A Céline Bozon, Peggy Cano, Elsa Curinier, Vanessa Dubuisson, Paul Fuentez, Françoise Jégou, Razika Mrad, Claire Parichon, Marion et Romain Poly, Vlasta Ray d’Hennezel, PO et Sylvain Renard, Naëlle, Rose et les autres... pour leurs aides ponctuelles, leurs soutiens et encouragements, leur confiance et leur estime pour la réalisation de cet ouvrage, les modèles d’engagement qu’ils m’ont offerts, et les heureux moments partagés.
A Nathalie Descombat, un de mes premiers partenaires de sociabilités lectorales.