Au XIXe siècle, la Fabrique lyonnaise réalise au moins les trois quarts de ses ventes à l’exportation 810 . Depuis la fin du XVIe siècle, et surtout depuis le XVIIe siècle, la Fabrique lyonnaise de soieries est parvenue à repousser les assauts de ses rivales, particulièrement celles d’Italie, grâce aux faveurs royales et au Colbertisme 811 . Pour conserver leur suprématie, les fabricants doivent suivre les marchés.
LEVY-LEBOYER (M.) et BOURGUIGNON (F.), 1985, p. 49.
CIRIACONO (S.), 1981.