Les lentes mutations de l’agriculture.

Sous la Monarchie de Juillet, comme dans tous les départements français, les Isérois travaillent très majoritairement dans l’agriculture, à 86% 971 . Dès le XVIIIe siècle, le Bas-Dauphiné s’affirme comme « le second grenier de Lyon », exportant ses grains vers la grande ville voisine. C’est d’ailleurs dans les communes périphériques de Lyon qu’une agriculture maraîchère et fruitière prend forme, là encore pour satisfaire la demande urbaine 972 . On remarque une vague spécialisation territoriale agricole en Bas-Dauphiné : les Terres Froides, autour de Crémieu et Bourgoin , font déjà figure de grenier à blé de la ville de Lyon, tandis que la vallée du Rhône est surtout tournée vers la production fruitière et céréalière 973 . Les paysans de la vallée de l’Isère, près de Vinay et Tullins , se lancent dans la production de noix, tandis que les cantons près de Saint-Marcellin sont spécialisés dans la culture du mûrier. Dans le Voironnais, la culture du chanvre décline lentement. Pourtant, il est difficile de conclure à l’existence d’échanges agricoles entre ces différents espaces. Seule certitude, le Bas-Dauphiné se caractérise par une agriculture de subsistance dans la première moitié du XIXe siècle.

Aliment de base des régions déshéritées, la châtaigne figure parmi les mets indispensables de toute bonne table dauphinoise jusqu’au milieu du XIXe siècle au moins, perpétuant ainsi une tradition culinaire multiséculaire. Elle offre des récoltes abondantes et se conserve facilement, ce qui en fait un plat particulièrement apprécié, que ce soit sous la forme de bouillies ou entières ; très nourrissante, riche en glucide, elle permet aux contrées les plus pauvres d’éviter toute famine ou disette 974 . D’ailleurs, n’est-il pas surnommé l’arbre à pain ? Comme le note Jean-Robert Pitte, le châtaignier

‘« est une réponse remarquablement bien adaptée et contribue à éloigner des régions qui l’adoptent le spectre de la famine, et ce, jusqu’à l’arrivée de cultures nouvelles ou jusqu’à la déprise humaine de la période industrielle » 975 . ’

D’ailleurs, en Bas-Dauphiné, un vieux dicton n’affirmait-il pas « Malheureux comme un châtaignard ! », pour illustrer la pauvreté des territoires marécageux qui le parcourt 976  ? Dans le Massif Central et en Vivarais, la plantation de châtaigniers connaît un vif essor à l’époque moderne, après la Guerre de Cent-Ans. Progressivement, les contrées plus septentrionales, dont le Dauphiné, adoptent le châtaignier, à tel point que des villages comme Sardieu sont réputés pour leurs productions de marrons, exportés à Lyon, principal marché français spécialisé dans ce produit, donnant d’ailleurs son nom aux marrons qui s’y échangent 977 . En Bas-Dauphiné, l’augmentation de la superficie agricole et des rendements, avec l’assèchement des marais, le déclin de la culture du chanvre au profit des céréales ou l’usage des engrais, cumulés avec l’important exode rural en direction de Lyon, entraînent la lente disparition des châtaigniers du terroir : ils sont désormais moins indispensables que par le passé. Toutefois dans les cantons les plus reculés et les plus pauvres, ils conservent toute leur importance, notamment dans le canton de La Tour-du-Pin , où vers 1850, encore un tiers des forêts se compose de châtaigniers, mais avant l’hiver 1789, ils en représentaient le double. Près de La Tour-du-Pin ou de Morestel , la rotation des assolements s’organise autour de l’association de quatre ou cinq cultures : du blé et/ou du froment, du trèfle, du seigle ou de l’orge, et enfin du colza, des pommes de terre et quelques légumes (pois, haricot, maïs, betteraves). Dans les années 1840, quelques paysans cultivent encore le chanvre, surtout dans le canton de Morestel, rendu assez humide par la présence de vastes zones marécageuses 978 . En Bas-Dauphiné, au milieu du siècle, la polyculture est encore largement la règle 979 .

Une autre essence occupe une place particulière dans la vie paysanne : le noyer. Dans les cantons de Vinay et de Tullins , il procure des revenus conséquents aux villageois grâce aux récoltes de noix destinées à la place grenobloise, donnant naissance à une architecture rurale originale avec la construction de séchoirs. Mais, c’est aussi à partir du noyer, que paysans et menuisiers fabriquent leurs meubles, notamment les fameuses garde-robes que l’on retrouve dans les contrats de mariage, parmi les apports ou les dots des futures mariées. Dans le seul canton de La Tour-du-Pin , au milieu du XIXe siècle, les arrachages de châtaigniers ont favorisé d’une part le mûrier mais aussi le noyer : à cette date, on y dénombre plus de trente-deux mille noyers contre trente-huit mille huit cents châtaigniers 980 . Si l’on compare le rendement calorique par hectare des labours en céréales en assolement biennal et des châtaigniers, il ressort que ces derniers, bénéficiant de bonnes conditions, fournissent davantage de calories 981 . Pourtant, à partir du début du XIXe siècle, les habitants des campagnes les délaissent. Aux raisons déjà évoquées, il convient d’en associer deux autres : « le petit âge glaciaire » ainsi que la concurrence de la pomme de terre. En effet, de nombreux châtaigniers n’ont pas résisté, dans les alentours de La Tour-du-Pin, au rigoureux hiver 1789. Pour les remplacer le plus rapidement possible, les cultivateurs adoptent la pomme de terre 982 .

Cependant, dans la première moitié du siècle, les paysans du Bas-Dauphiné ont pris l’habitude d’associer les châtaignes avec un pain à base de seigle, des laitages, des légumes, dont l’incontournable pomme de terre, et des fruits (pommes, poires, prunes, cerises), pour constituer de solides repas, avec des potages. Le « bled » forme le deuxième élément nutritionnel local, cuisiné en bouillie, en galette ou en « matefin » (crêpe épaisse), très apprécié dans les chaumières bas-dauphinoises. Dans l’arrondissement de Saint-Marcellin , au début du XIXe siècle, l’aliment de base reste le blé, associé à des légumes, des châtaignes et des pommes de terres. Mais la consommation de ces trois derniers éléments dépend étroitement de la production et des prix du blé 983 . Il n’en reste pas moins que la frugalité est de mise, avec une alimentation fondée sur des féculents. La pomme de terre, déjà présente dans quelques jardins, « comme une plante rare », se répand dès les dernières années de l’Ancien Régime, et plus fortement en Bas-Dauphiné après le terrible hiver 1789, qui anéantit une partie des châtaigniers. D’abord « objet de pure curiosité », elle rivalise au début du XIXe siècle avec la châtaigne, avant de la remplacer, notamment chez les artisans. Dès le matin, ainsi qu’au souper, les pommes de terre s’y consomment sous forme de soupe, puis à midi, elles sont cuites à la cendre ou à l’eau. Vers seize heures, on les trempe dans du lait caillé. Vers 1807, on estime que la culture de la pomme de terre représente en Dauphiné environ 5 à 6% de la surface, et sans doute davantage en plaine. À bien des égards, en Bas-Dauphiné comme ailleurs, « la pomme de terre arriva dans les fourgons de la misère ». Concrètement, elle permet d’éviter une disette ou une famine et n’est utilisée que dans les contrées les plus miséreuses. La maladie de la pomme de terre, qui touche particulièrement l’Isère à la fin de la Monarchie de Juillet, fragilise l’équilibre alimentaire des campagnes, déclenchant dans l’arrondissement de La Tour-du-Pin une crise de subsistance 984 .

Au XVIIIe siècle, les principaux bourgs du Bas-Dauphiné – Saint-Marcellin , Crémieu, Voiron – sont proches d’une situation d’autosuffisance alimentaire en grains, grâce à un terroir urbain correctement mis en valeur ; éventuellement, on fait appel aux villages voisins pour combler le déficit 985 . La moindre intempérie ou hiver rigoureux peut davantage fragiliser l’équilibre économique et social de ses habitants. La situation alimentaire du Bas-Dauphiné reste précaire, avec quelques crises de subsistance particulièrement terribles, comme celle de 1810-1812. Considéré comme le « grenier à blé » du département, le Bas-Dauphiné parvient pourtant péniblement à assurer l’équilibre alimentaire, d’autant qu’il doit à la fois approvisionner le chef-lieu départemental et la puissante cité voisine de Lyon 986 . Des trois arrondissements qui composent le Bas-Dauphiné, seul celui de Vienne exporte régulièrement des grains vers d’autres contrées. Celui de La Tour-du-Pin parvient, bon an, mal an, à subvenir à sa population, tandis que celui de Saint-Marcellin est régulièrement déficitaire. En d’autres termes, l’état des récoltes dépend plus que jamais de la situation climatique. Or, après une série d’excellentes récoltes au début du siècle, des calamités naturelles s’abattent sur le département. Pendant deux années, 1810 et 1811, les mauvaises récoltes se succèdent, entraînant dans leur sillage une hausse considérable du prix des grains (triplement en l’espace de deux ans). Cela pousse le gouvernement, les autorités locales et les comités de bienfaisance à intervenir pour secourir les plus démunis : pendant plusieurs mois, un dixième de la population iséroise ne survit que grâce à l’aide des autorités, notamment grâce aux trente-trois mille soupes quotidiennes payées par le Gouvernement 987 .

En 1817, autour de Saint-Marcellin , une nouvelle disette se déclare. Encore considéré comme le « grenier à blé » de Lyon sous l’Empire, le département de l’Isère devient déficitaire en grains dans les premières années de la Restauration 988 . Puis, en 1825, les calamités climatiques s’abattent sur le Bas-Dauphiné : au printemps, des gelées tardives compromettent sérieusement les récoltes à venir dans le canton de Crémieu, tandis que mûriers et noyers, en fleurs, subissent de plein fouet les rigueurs du climat. Puis, au cours de l’été de la même année, la grêle anéantit les récoltes à Cessieu , Corbelin , Siccieu-Saint-Julien, Pont-de-Beauvoisin , Saint-Jean-d’Avelanne, Courtenay ou encore Optevoz, dans les régions de La Tour-du-Pin et de Crémieu 989 . Ainsi, en 1827 débute une énième crise agricole qui se manifeste après un hiver particulièrement long et une succession de pluies abondantes. Le prix du blé double presque en l’espace de quelques mois et se maintient à un niveau élevé jusqu’en 1832. Enfin, la terrible crise de 1846 prend une tournure particulière dans l’arrondissement de La Tour-du-Pin avec les manœuvres des marchands de grains et des grands propriétaires terriens qui stockent les grains de blé, entraînant de fait une forte poussée des prix du blé, malgré l’existence d’une agriculture céréalière exportatrice. En quelques mois, la situation déjà précaire des campagnes s’effondre tandis que le mécontentement gronde 990 .

Entre le début du siècle et 1840, l’agriculture du Bas-Dauphiné a connu une amélioration sensible. En un demi-siècle, le rendement du blé double, cependant, en 1852, l’Isère figure toujours parmi les départements ayant une productivité agricole inférieure à la moyenne nationale, selon les calculs de Michel Hau 991 . Pour les uns, le rendement du froment demeure quasiment identique, autour de six pour un pour les meilleures terres 992 . Pourtant, près de La Tour-du-Pin , le rendement peut s’élever jusqu’à douze fois la semence, tandis que les rendements sont supérieurs à douze dans l’arrondissement de Saint-Marcellin . Dans les plaines du Bas-Dauphiné, les paysans récoltent entre vingt et trente hectolitres par hectare 993 . L’abandon rapide de la jachère en Bas-Dauphiné, dans la première moitié du XIXe siècle, et l’essor des prairies artificielles concomitant, permettent également d’améliorer la productivité du système agricole. Vers 1850, les prairies artificielles occupent près de 40% de la surface arable, grâce à l’usage intensif des « boues » en provenance de Lyon, de cendres de tourbes et de la marne 994 . Ainsi, à Morette, petit village du canton de Tullins , au tournant du siècle, les paysans se lancent dans les prairies artificielles par ce moyen, tandis que l’abandon de la jachère permet d’accroître de façon significative les récoltes. Ils substituent également le blé au seigle. Grâce à d’abondants fourrages, les paysans de Morette amorcent un cercle vertueux puisqu’ils peuvent désormais augmenter leur bétail puis leur fumier. Ce dernier fournit alors un engrais naturel idéal pour fertiliser leurs terres 995 . Autour de La Tour-du-Pin, les fermages se transmettent de père en fils 996 . Dans le canton de Morestel , les grandes fermes (autour de soixante hectares) ont dans leurs écuries une vingtaine de vaches, dix veaux, soixante à quatre-vingts moutons ainsi que quelques porcs et six chevaux, d’après les relevés d’une enquête des inspecteurs de l’agriculture. Une exploitation de sept hectares comporte seulement deux truies, trois ou quatre vaches et deux chevaux. Dans le canton de Virieu, une ferme d’une vingtaine d’hectares rassemble, quant à elle, de six à huit vaches, quatre chevaux et plus de cinquante moutons 997 .

Habitués de longue date à pratiquer une agriculture commerciale, les paysans du Bas-Dauphiné accueillent pourtant sans enthousiasme les décisions impériales à propos de l’introduction de nouvelles cultures, la betterave et le pastel, comme produits de substitution à la canne à sucre et à l’indigo. Dès 1811, trois cents puis cinq cents hectares doivent être ensemencés dans le département, dont environ 60% en plaine 998 . L’industrie betteravière iséroise connaît cependant un formidable essor quelques années plus tard, sous la Restauration et au début de la Monarchie de Juillet, avant de s’effondrer tout aussi rapidement. L’arrondissement de La Tour-du-Pin abrite à lui seul neuf fabriques de sucre de l’Isère, soit une main d’œuvre d’environ mille deux cents ouvriers. Le vote d’un impôt sur le sucre de betterave en 1836, scelle le sort de cette activité naissante. Un notable comme Eugène Batie de la Rivoire a investi dans une fabrique de sucre à Nivolas , mais il doit la fermer dans les années 1840.

Dans la première moitié du XIXe siècle, la noblesse dauphinoise conserve une certaine emprise dans les campagnes des Terres Froides. Peu ouverte sur l’industrie, elle privilégie au contraire le monde de la terre. Ainsi, Louis-Achille de Meffray s’impose comme un propriétaire foncier éclairé, soucieux de moderniser l’agriculture sur ses vastes domaines. Grands propriétaires et membres des sociétés d’agriculture encouragent les paysans à utiliser des engrais comme le plâtre, pour améliorer leurs rendements 999 . Le comte de Menon, maire de Saint-Savin , près de Bourgoin , a fait aménager ses étables afin de récupérer le purin dans des rigoles qui se jettent dans des fosses 1000 . À côté de ces propriétaires éclairés, la routine domine largement chez les petits agriculteurs : les inspecteurs de l’agriculture constatent en 1843 que les rouleaux et les semoirs à grains sont peu utilisés sur les champs dans l’arrondissement de La Tour-du-Pin . De même, l’écobuage est encore largement pratiqué 1001 . À Brangues , les paysans l’utilisent fortement et n’hésitent pas à faire jusqu’à six récoltes consécutives de grains sur les mêmes sols, au risque de les épuiser 1002 .

L’usage de la viande demeure encore réservé à une population aisée. Les potagers les mieux fournis abondent déjà en légumes variés :

‘« Le persil de la Sardaigne et l’échalote de la Palestine croissent à côté de l’artichaut et du cardon de barbarie ; la laitue romaine et la laitue d’Asie se confondent avec l’estragon de la Sibérie, la chicorée, la courge, le melon, le haricot et la balsamine des Indes ; l’oseille indigène se marie à l’épinard d’Asie ; la tomate et le dahlia du Mexique se croisent et se mêlent avec la capucine et le tournesol du Pérou […] » 1003 .’

Paradoxalement, l’agriculture du Bas-Dauphiné a réalisé de réels progrès dans la première moitié du XIXe siècle, mais cela ne suffit pas pour satisfaire les besoins d’une population en forte croissance. L’amélioration des rendements n’est pas suffisante, quoique encourageante. Les pratiques des paysans du Bas-Dauphiné demeurent encore largement routinières, surtout autour de La Tour-du-Pin .

Notes
971.

Ministère de l’Agriculture, du Commerce et des Travaux Publics, Enquête agricole, 2 e série, enquêtes départementales, 25 e circonscription, Hautes-Alpes, Haute-Savoie, Isère, Paris, Imprimerie Impériale, 1867, p. 34.

972.

CHAMPIER (L.), 1965.

973.

JONAS (R. A.), 1994, p. 11.

974.

ROWLEY (A.), 1997, pp. 30-31.

975.

PITTE (J.-R.), 1986, p. 135.

976.

RAVERAT (A.), 1861, p. 400.

977.

PITTE (J.-R.), 1986, p. 175, pp. 182-183.

978.

Agriculture française, département de l’Isère, Paris, Imprimerie royale, 1843, pp. 147-150.

979.

JONAS (R. A.), 1994, pp. 9, 11.

980.

ADI, J567, Fonds Chaper, BOUQUET, Essai ms de statistique sur le canton de La Tour-du-Pin , sd [1851], f° 300.

981.

PITTE (J.-R.), 1986, p. 201.

982.

ADI, J567, Fonds Chaper, BOUQUET, Essai ms de statistique sur le canton de La Tour-du-Pin , sd [1851], f° 288 et 289.

983.

ADI, 132M11, Séries de questions adressées à MM. Les préfets sur le produit des récoltes, arrondissement de Saint-Marcellin , rédigées par le Sous-Préfet le 12 septembre 1812.

984.

VIGIER (P.), 1963, vol. 1, p. 76, ROWLEY (A.), 1986, MORINEAU (M.), 1985, pp. 124-127 et 134, NICOLAS (Jean), La Révolution… Op. cit., 1989, p. 33, JONAS (R. A.), 1994, p. 13. Morineau rejette notamment l’idée de Christian Vandenbroeke selon laquelle la culture de la pomme de terre serait responsable d’une forte croissance démographique au XVIIIe siècle. Pour Morineau, dans le cadre du Dauphiné, la croissance démographique est très inférieure aux niveaux constatés en Flandres. Au contraire, pour lui, « c’est l’augmentation du nombre de bouches à nourrir qui a poussé au développement des plantations ».

985.

FAVIER (R.), 1987, pp. 323-333.

986.

BOURGUINAT (N.), 2002, p. 95.

987.

LEON (P.), 1952.

988.

Voir les cartes dans BOURGUINAT (N.), 2001.

989.

ADI, 181M139, Lettre ms du sous-préfet de La Tour-du-Pin adressée au Préfet le 15 juillet 1825 et 3Z22, Registre de correspondance du même sous-préfet, Lettre du 2 mai 1825 destinée également au Préfet de l’Isère.

990.

LÉON (P.), 1954a, pp. 776-777 et VIGIER (P.), 1963a, vol. 1, pp. 79-80.

991.

ADI, J567, Fonds Chaper, BOUQUET, Essai ms de statistique sur le canton de La Tour-du-Pin , sd [1851], f° 281 et Hau (M.), 1987a, p. 47.

992.

PERRIN-DULAC (F.), 1806, tome 2, pp. 285-286 et MORINEAU (M.), 1968. Voir notamment les cartes produites par Morineau.

993.

Agriculture française, département de l’Isère, Paris, Imprimerie royale, 1843, pp. 195-196. En Seine-Inférieure, les rendements se situent entre dix-huit et vingt hectolitres par hectare vers 1840, d’après GULLICKSON (G. L.), 1983, pp. 831-850.

994.

Agriculture française, département de l’Isère, Paris, Imprimerie royale, 1843, pp. 108, 119 et VIGIER (P.), 1963a, vol. 1, p. 27-28.

995.

GARAVEL (J.), 1948, p. 11.

996.

Agriculture française, département de l’Isère, Paris, Imprimerie royale, 1843, p. 35.

997.

Agriculture française, département de l’Isère, Paris, Imprimerie royale, 1843, pp. 50-51.

998.

THORAL (M.-C.), 2004, pp. 575-580 et 602-609. L’investissement en capital fixe dans les quinze fabriques de sucre de l’Isère s’élève au total à 2,5 millions de francs.

999.

THORAL (M.-C.), 2004, p. 538.

1000.

Agriculture française, département de l’Isère, Paris, Imprimerie royale, 1843, p. 114.

1001.

Agriculture française, département de l’Isère, Paris, Imprimerie royale, 1843, pp. 83, 130-131, 185.

1002.

Agriculture française, département de l’Isère, Paris, Imprimerie royale, 1843, p. 147.

1003.

ADI, J567, Fonds Chaper, BOUQUET, Essai ms de statistique sur le canton de La Tour-du-Pin , sd [1851], f° 195, 252, 288 et 289.