2-L’embrigadement moral et spirituel.

Selon Reybaud,

‘« pour maintenir une discipline aussi austère, la contrainte ne suffirait pas, il faut que la ferveur s’y joigne » 2188 .’

Jusqu’à la fin du XIXe siècle, ce sont les ouvrières internes qui subissent le plus fortement l’influence et la sévérité religieuse. Dans ces établissements, prières quotidiennes (matin et soir) et hebdomadaires (le dimanche) sont toujours en vigueur. Majoritairement, ces établissements abritent quelques religieuses dont le rôle se borne à tenir les dortoirs, les réfectoires… mais elles n’ont aucun rôle dans la gestion des ateliers. Tout au plus servent-elles de garant moral auprès des parents ou de l’opinion publique inquiète de voir de telles concentrations ouvrières 2189 . De ce point de vue, il convient de relever la place particulière accordée à la femme dans la première moitié du XIXe siècle : pour beaucoup, elle incarne « la voie de la rédemption » pour ceux qui veulent régénérer la société française. La femme apparaît donc comme la gardienne de la morale, mais pour cela, il faut la discipliner.

À l’origine, Victor Auger et son beau-père, Louis-Rose Gindre 2190 , sont associés pour créer une usine-pensionnat modèle en Bas-Dauphiné, une usine chrétienne, dans la droite ligne des conceptions de l’archevêque de Lyon, Mgr de Bonald et des conceptions légitimistes du patronage 2191 . Pour les initiateurs du projet, il s’agit de lutter contre la « décadence morale profonde », « l’irréligion » et « la pauvreté », véritables fléaux qui se développent avec l’industrialisation, dans cette première moitié du XIXe siècle. À l’instar de Mgr de Bonald, l’usine chrétienne de Boussieu doit donc moraliser le travail industriel autour d’une éthique chrétienne, valable non seulement pour les ouvriers, mais aussi et surtout pour le patronat, car ce dernier n’exerce pas en général son rôle chrétien et « tutélaire » sur la classe laborieuse. Ce projet rejoint celui initié dans les décennies suivantes par Harmel, au Val-des-Bois, mais ce dernier pousse la logique plus loin 2192 . Cette éthique des affaires doit favoriser un épanouissement sain des ouvriers, grâce à des rudiments d’instruction, à une bonne gestion des budgets ouvriers, au catéchisme et à une bonne alimentation :

‘« La plupart des industriels ne favorisent ni l’instruction, ni l’éducation des enfants qui leur sont confiés. Voilà pourquoi la classe ouvrière croupit dans l’ignorance la plus fatale à l’esprit et au cœur. Les industriels se débarrassent trop facilement, dans un moment de crise commerciale, de l’ouvrier qui pourtant leur fit gagner beaucoup au jour de la prospérité. De là, fluctuation perpétuelle de la classe ouvrière qui se ruine en pérégrination, et n’a pas même pour dieux protecteurs les lares du foyer » 2193 .’

La filiation lyonnaise se retrouve également dans le choix des religieuses, de l’ordre de Saint-Vincent-de-Paul 2194 . Le rôle des Sœurs n’est pas de s’immiscer dans la gestion des ateliers, cette tâche étant confiée aux ouvrières les plus pieuses, appartenant à une congrégation d’ouvrières laïques, Les Enfants de Marie 2195 , rassemblant une partie du personnel de l’usine, une soixantaine de membres environ sous le Second Empire. Les membres de cette congrégation sont, entre autres, chargés d’élire les contremaîtresses de l’usine 2196 . En revanche, les religieuses prennent en charge la vie des ouvrières en dehors des ateliers, pendant les récréations, à l’école, à la chapelle ou au réfectoire, où elles servent les repas au personnel. Elles assurent donc la discipline, mais aussi le bien-être des ouvrières 2197 . En accord avec l’évêque de Grenoble, un prêtre est détaché au service religieux de l’usine pour y célébrer l’office dominical, enseigner le catéchisme et confesser 2198 . Sous le Second Empire, les jeunes ouvrières de moins de treize ans triment onze heures par jour, contre une heure de plus pour les ouvrières plus âgées. En cas de crise industrielle, la direction garantit à son personnel la nourriture et un gage fixe, plutôt que le renvoi en raison du chômage des métiers à tisser. Seule la partie du salaire payée à la tâche est supprimée. En dehors des heures d’atelier, les jeunes ouvrières reçoivent de la part des religieuses des cours de lecture, de calcul, de couture, de chants de psaumes et de cantiques, cinq fois par semaine, sans compter le catéchisme. Une école existe aussi chez Montessuy & Chomer, à Renage . L’école constitue un autre « système d’autorité institutionnel », où les jeunes filles apprennent l’obéissance, l’autorité, le respect de la hiérarchie 2199 . Contrairement à certaines usines-pensionnats où la pratique religieuse est libre, tout le personnel de l’usine Auger doit apprendre le catéchisme 2200 . La pratique conventuelle élaborée chez Bonnet, à Jujurieux (Ain), se retrouve chez Auger 2201 .

L’usine Auger possède une chapelle richement décorée, conçue comme un lieu de culte à part entière, pouvant rivaliser avec l’église paroissiale. Dans son chœur, on retrouve un autel en marbre ainsi que des stalles en noyer, probablement pour Auger, le directeur et les religieuses, à moins qu’ils ne se servent de la vingtaine de prie-Dieu. En revanche, les ouvrières assistent à l’office, assises sur l’un des quarante et un bancs alignés dans la chapelle ; au rythme de la musique délivrée par un harmonium, les ouvrières interprètent des cantiques. Comme tout lieu de culte, ciboire et calices en argent, ostensoir, burettes, aspersoirs, chandeliers, encensoir et candélabres permettent au desservant et à ses enfants de chœur de célébrer la messe dans le faste. La fabrique Auger leur fournit même les soutanes et les aubes. Trois croix, six statues ainsi que quatorze tableaux illustrant le chemin de croix décorent l’intérieur de la chapelle avec des tapis, des bannières… De part et d’autre de la travée centrale, on a pris soin d’installer deux confessionnaux, à disposition des ouvrières. Les ouvrières peuvent à tout instant de la journée se rendre auprès de l’aumônier de l’usine pour se confesser. Dans ce cas, la confession représente non seulement une libération morale et spirituelle, mais également une libération physique puisqu’elle est un moyen d’échapper au travail dans les ateliers !

Auger prend soin également du personnel religieux : là où ses cinq employés doivent se contenter d’un mobilier sommaire (chacun un lit, quatre tables de nuit, quatorze chaises et une commode, avec quelques linges), les Sœurs ont droit à un réfectoire et à une chambre de communauté pour huit lits à baldaquin en fer, une bibliothèque, trois bureaux, deux petites armoires et un linge abondant, avec une vaisselle en ruolz 2202 .

Figure 27–L’usine-pensionnat Auger, à Boussieu (Ruy), vers 1900.
Figure 27–L’usine-pensionnat Auger, à Boussieu (Ruy), vers 1900.

Source : coll. Privée.

Figure 28–La chapelle de l’usine Auger, à Boussieu (Ruy).
Figure 28–La chapelle de l’usine Auger, à Boussieu (Ruy).

L’usine de Renage , en 1850 emploie deux cent soixante-seize ouvriers dont 95% de femmes 2203 . En 1851, Sébelon 2204 , directeur de la fabrique Montessuy & Chomer, à Renage, obtient l’installation de religieuses de l’ordre de Saint-Vincent-de-Paul, dans son établissement (elles sont sept en 1877). Poursuivant la restructuration depuis la reprise de l’établissement par Just-Antoine Montessuy 2205 à la maison Peillon, Roche & Cie, il sollicite la venue d’un vicaire pour célébrer quotidiennement la messe le matin, le reste de la journée étant consacré à l’instruction et à l’assistance envers les pauvres et les malades de la paroisse, sous le patronage du curé de Renage. En contrepartie, la maison lyonnaise verse au vicaire une indemnité de cinq cents francs, en lieu et place de la commune. Pour célébrer le culte, une chapelle provisoire est installée dans la fabrique dès 1851, jusqu’à la construction et l’inauguration d’une nouvelle chapelle par l’évêque quinze ans plus tard. Cependant, à partir de 1871, avec l’arrivée d’un nouveau curé à Renage, la situation se complique puisque celui-ci accapare le vicaire et lui confie de nouvelles tâches, tant et si bien que le service religieux de la fabrique n’est plus assuré de façon régulière. Finalement, le litige se dénoue avec la rédaction d’un tableau des cultes dans la fabrique : au début du XXe siècle, il prévoit une messe quotidienne, à l’exception du dimanche et des jours fériés, dix-neuf saluts par an le soir et quatorze bénédictions annuelles, la bénédiction du Rosaire en octobre et celle du premier vendredi de chaque mois. Enfin, la chapelle est réservée à l’usage exclusif du personnel de l’usine. En retour, le curé de Renage touche une indemnité de 800 francs 2206 .

Dans quelques cas, comme chez Durand frères à Vizille ou Pochoy à Voiron , les chapelles sont ouvertes à la demande des ouvrières elles-mêmes ou de leurs parents pour éviter tout « dévergondage » de leurs filles dans l’univers industriel et urbain 2207 .

La présence de religieuses dans l’enceinte d’une usine ne surprend guère les contemporains, tant les Bas-Dauphinois sont habitués à les côtoyer dans leur quotidien. Cinquante-cinq communes des arrondissements de La Tour-du-Pin et de Saint-Marcellin , en 1832, possèdent un établissement abritant des religieuses, que ce soit pour la tenue des écoles, des hôpitaux ou pour mener une vie contemplative, au sein des ordres des Sœurs de la Charité, de la Providence ou de la Nativité 2208 . Les religieuses de l’ordre de Sainte-Philomène sont régulièrement sollicitées pour prendre en charge les internats, comme par exemple à Boussieu (Ruy) ou au Vernay (Nivolas ) 2209 . Cette dernière congrégation, installée à Saint-Marcellin à partir des années 1870, devient même dans le dernier quart du XIXe siècle le fer de lance de la pastorale lancée par Mgr Fava auprès du monde ouvrier 2210 . Chez quelques patrons, la pratique religieuse quotidienne s’explique par leur propre éducation. Ainsi, chez les Rabatel, en 1860, avant que la fabrique ne soit mise en activité, la famille avait transformé une pièce de sa demeure de Corbelin en oratoire, avec un autel en bois, un reliquaire, un bénitier faisant face à six prie-Dieu. L’office y est probablement célébré par le curé de Corbelin : Nicolas Rabatel et son épouse ont pris soin de lui fournir chasuble, calice, burettes et ciboires en vermeil. Une fois, la fabrique achevée, Constant Rabatel , l’un des fils du couple, ouvre la chapelle à son personnel 2211 . Mais la confession du propriétaire de l’usine n’est qu’un élément parmi d’autres pour expliquer la présence d’usines-pensionnats 2212 .

À l’opposé, l’usine Girodon , à Saint-Siméon-de-Bressieux , ne compte aucune religieuse derrière ses murs. Pourtant, une statue de la Vierge surveille le travail des ouvrières. Celles-ci sont autorisées par la direction à réciter le chapelet pendant le mois de mai 2213 . À Corbelin , en 1901, la maison lyonnaise Wies , Vallet & Lacroix loge dans l’usine qu’elle loue de Constant Rabatel , quinze ouvrières, un boulanger, deux cuisinières, ainsi que le directeur et deux surveillantes, sans que l’on sache si ces dernières sont encore des religieuses, comme du temps où Rabatel exploitait lui-même la fabrique 2214 . L’établissement dispose lui aussi d’une chapelle.

Dans l’usine Alexandre Giraud & Cie des Abrets , on a installé un confessionnal dans l’usine 2215 . Ces ateliers ressemblent donc à ces « jésuitières » dénoncées par Godin, à propos de la célèbre usine textile du Val-des-Bois (Marne), dirigée par le très catholique Léon Harmel, et admirée par le patron lyonnais Auguste Isaac 2216 . La construction d’édifices cultuels n’est pas spécifique au textile, ni au Bas-Dauphiné ; elle semble plutôt liée à l’installation d’une grande entreprise de plusieurs centaines d’ouvriers. Il s’agit alors d’offrir à cette population nombreuse un service supplémentaire susceptible de les attirer, au même titre que la présence d’un médecin, de commerces, d’une école 2217

Finalement, les pratiques religieuses, tant décriées, sont plutôt des exceptions que des normes. Les vrais « cloîtres industriels », à l’instar des usines Bonnet, à Jujurieux (Ain), et Auger à Boussieu , ne sont pas légion. En Bas-Dauphiné, les religieuses ne participent pas directement à la vie des ateliers.

Notes
2188.

REYBAUD (L.), 1859, p. 201.

2189.

LEROY-BEAULIEU (P.), 1872.

2190.

Voir sa notice biographique dans CAYEZ (P.) et CHASSAGNE (S.), 2007, pp. 169-173. Fabricant de soieries, Louis-Rose Gindre naît à Pont-de-Beauvoisin (Isère) le 17 brumaire an VI, et est le fils d’un « horloger ». Il épouse en 1825 Marie Vettard. Il devient vice-président de la Commission exécutive de la caisse de prêts destinés aux chefs d’atelier et membre du Conseil des Prud’hommes de Lyon. À sa mort, le 2 septembre 1864, il laisse une fortune supérieure au million, avec 1.097.160 francs.

2191.

Voir KALE (S. D.), 1992.

2192.

PIERRARD (P.), 1984, pp. 343-344.

2193.

GINIER (J.H.), sd, pp. 3-6, DROULERS (P.), 1957 et 1975.

2194.

Elles participent aussi à la surveillance d’usines-pensionnats dans la Loire, notamment à Bourg-Argental. Voir REYBAUD (L.), 1859, p. 197. Chez C.-J. Bonnet , selon cet auteur, ce sont les Sœurs de Saint-Joseph qui dirigent le pensionnat de Jujurieux (Ain).

2195.

Confrérie fondée à Rome en 1864. D’après Jean Fréchet, chaque commune des Terres-Froides dispose d’une congrégation des Enfants de Marie, chargée d’encadrer les jeunes filles, sous la protection de Sainte-Agnès. Après avoir été aspirantes pendant au moins trois mois et avoir effectué leur première communion, elles intègrent effectivement la congrégation. Elles participent à des réunions pieuses, à des processions. Elles ne doivent pas lire de romans, ni danser, ni participer à des réunions mixtes… afin de conserver une « pureté » dans leurs mœurs. Voir FRECHET (J.), 1984, p. 13.

2196.

Chez Waddington, en Normandie, les responsables de chambre sont aussi désignés par les ouvriers plutôt que par le patron. Toujours dans la région rouennaise, la fonction de chef de salle revient au doyen d’âge, qui se charge alors de faire appliquer les règles définies par les ouvriers, d’après AUDIGANNE (A.), Les populations ouvrières et les industries de la France, Capelle, 1860, vol. 1, p. 78, cité par LEFEBVRE (P.), 2003, p. 60.

2197.

À partir de la Première Guerre mondiale, l’industrie métallurgique anglaise et française utilise des surintendantes sociales, rappelant partiellement les religieuses des usines-pensionnats textiles. Voir DOWNS (L. L.), 2002, pp. 215 et sq.

2198.

GINIER (J.H.), sd, pp. 15

2199.

MILGRAM (S.), 2001, p. 171.

2200.

GINIER (J.H.), sd, p. 14.

2201.

CHASSAGNE (S.), 1998.

2202.

ADR, 3E24626, Acte de société devant Me Lombard-Morel (Lyon) le 28 novembre 1867.

2203.

AN, F20 501, Statistiques ms du Préfet de l’Isère, le 3 août 1850.

2204.

Amyot, son successeur à la direction de l’usine Montessuy & Chomer est originaire de Tours où il est né le 31 mai 1818.

2205.

Fabricant de crêpes, Just-Antoine Melliet-Montessuy est né à Lyon le 27 mars 1817 d’un père « négociant ». L’un de ses parents, Jacques-Benoît Paturle, fonde une fabrique de châles au Cateau-Cambrésis en 1818, reprise quelques années plus tard par les Seydoux. Paturle se fait élire député du Nord puis de Paris sous la Monarchie de Juillet, avant de rejoindre la Chambre des Pairs et de siéger au Conseil général des Manufactures. Catholique pratiquant, Montessuy reprend l’usine de Renage , en association avec Alexandre Chomer. Il siège au conseil d’administration de la Banque de France à Lyon et préside celui de la Société Lyonnaise. Il participe à la fondation de l’Association de la Fabrique Lyonnaise (1868-1869). À sa mort, sans enfant, il laisse à ses héritiers, dont son neveu Georges Montessuy, une fortune évaluée à 3.825.579 francs. Voir sa notice biographique dans CAYEZ (P.) et CHASSAGNE (S.), 2007, pp. 212-217.

2206.

AEG, Dossier Paroisses, Extrait des délibérations du Conseil municipal de Renage le 16 mai 1851, Lettre ms de Sébelon au maire de Renage le 26 février 1852, Lettre ms à l’évêque de Grenoble le 2 octobre 1872, Rapport ms du curé de Renage, sd [1870/1872], Lettre ms du directeur de la fabrique Montessuy & Chomer à l’évêque le 31 octobre 1877, Lettre ms de la maison Les Successeurs de Georges Montessuy le 25 mars 1912.

2207.

AN, BB 18A92, Lettre ms du procureur général de Grenoble au Ministre de la Justice, le 15 septembre 1892 et lettre ms du procureur de Grenoble au procureur général le 7 juillet précédent.

2208.

ADI, 7V1/1, Statistiques ms des Religieuses dans l’arrondissement de La Tour-du-Pin le 14 janvier 1832 et de l’arrondissement de Saint-Marcellin le 1er décembre 1831.

2209.

BOUTRY (P.), « Le mouvement vers Rome et le renouveau missionnaire », in LE GOFF (J.) et REMOND (R.), 2001, pp. 415-416, FORD (C.), 2005, voir le quatrième chapitre consacré à Sainte-Philomène. Il est intéressant de noter que le culte de Philomène, martyre supposée, se développe fortement en France, après la découverte de ses ossements à Rome en 1802. Rapidement, elle fait l’objet d’une dévotion particulière grâce aux miracles et aux guérisons qui se produisent autour de ses restes. Les papes Grégoire XVI et Pie IX lui accordent messes et offices. Le curé d’Ars assure la diffusion de son culte en France à partir de 1835, tandis que son prénom devient à la mode au milieu du siècle. En 1839, un sanctuaire lui est dédié à Lyon, sur la colline de Fourvière.

2210.

MATAGRIN (G.), 1994. La Congrégation de Sainte-Philomène offre ses services par exemple à Lambert, un industriel de Lisieux. Mais leur action se concentre surtout sur les départements de l’Isère, de la Drôme et de l’Ardèche.

2211.

ADI, 3E28117, Inventaire après décès de Nicolas Rabatel, chez Me Reynaud, à Corbelin , le 14 novembre 1859.

2212.

SCHWEITZER (S.), 1993.

2213.

MOYROUD (R.), 1995/1996. Alfred Girodon a un neveu, Paul, qui porte la soutane et a fondé l’école Ozanam à Lyon.

2214.

ADI, Listes nominatives de recensement de la population de Corbelin , en 1901.

2215.

AN, BB18A92, Lettre ms du procureur de Bourgoin au procureur général le 3 juillet 1892.

2216.

GUESLIN (A.), 1992 et TRIMOUILLE (P.), 1974.

2217.

FOMBONNE (J.), 2001, pp. 111-112.