III-Le déclin de la sériciculture.

Au milieu du siècle, le Bas-Dauphiné, comme l’ensemble du Midi, est gagné par une fièvre séricicole qui touche aussi bien les grands propriétaires éclairés du département que les petits ménages paysans. Les autorités locales encouragent l’essor de la sériciculture, car elles y voient un remède à la pauvreté rurale, car elle procure quelques dizaines de francs supplémentaires aux éducateurs. Rapidement, la situation change dans toutes les régions séricicoles d’Europe.