Les investissements dans de nouvelles usines.

Cependant, à partir de 1870, l’architecture industrielle des tissages change : finie l’utilisation d’anciens bâtiments conventuels, finies les constructions au rabais. Désormais, les fabricants-usiniers et les façonniers se lancent dans l’édification d’usines plus spacieuses, mieux éclairées. Les vieux planchers ne supportent pas toujours le poids des lourds métiers métalliques.

Figure 40–Le tissage Michal-Ladichère à Champet (Saint-Geoire ), vers 1900.
Figure 40–Le tissage Michal-Ladichère à Champet (Saint-Geoire ), vers 1900.

Source : coll. Privée.

Les frères Michal-Ladichère, André et Henri, ont bâti leur fortune sur l’usine de Champet, à Saint-Geoire , acquise en 1862 de la faillite Maurin . En 1876 et 1877, ils font l’acquisition d’une seconde fabrique à Saint-Geoire, dans le hameau de la Martinette, à la fois pour développer leur propre outil de production, mais aussi pour éviter une concurrence locale avec un autre industriel dans le recrutement de la main d’œuvre. L’usine principale de Champet s’organise autour des vieux bâtiments industriels construits par Frédéric Veyre et Sylvain Mathieu Maurin sous le Second Empire, facilement identifiables par leur hauteur, avec deux ou trois étages. Lorsque la famille Michal-Ladichère réorganise ses usines après des agrandissements successifs, les deux édifices à étages n’abritent plus aucun métier à tisser, mais une cantine, une infirmerie, un dortoir, un logement pour les religieuses, une menuiserie, une forge, le dévidage, le moulinage, le cannetage et l’ourdissage. Autour de ces deux bâtiments, les propriétaires ont construits de nouveaux bâtiments, en rez-de-chaussée, au fur et à mesure de leur expansion, à partir des années 1870, pour recevoir le tissage, la teinture, l’apprêt, les magasins, les bureaux et d’autres logements pour les ouvriers.

Dans les années 1870, les premiers ateliers à sheds font leur apparition en Bas-Dauphiné. En 1877, Florentin Poncet décide d’agrandir sa fabrique de Paviot (Voiron ). Outre les deux cent soixante-treize métiers à tisser répartis dans un bâtiment à étages, il prévoit d’établir deux cent vingt nouveaux métiers dans un bâtiment horizontal, à un seul niveau, éclairé par les vitres du toit 3051 . Jusqu’au début du XXe siècle, les tissages à toits de sheds comportent aussi de larges baies vitrées sur leurs façades, comme chez Michal-Ladichère à Saint-Geoire , Mignot à Saint-Bueil et Diederichs à Bourgoin . Avec l’électrification des campagnes, la lumière naturelle devient moins nécessaire et les fenêtres disparaissent progressivement ou ont des dimensions plus réduites. Cette évolution est particulièrement perceptible dans le canton de Saint-Geoire : les tissages de La Côte d’Ainan, de La Martinette (Saint-Geoire) et de Massieu illustrent les améliorations architecturales apportées aux ateliers. L’usine Michal-Ladichère de la Martinette, distante de deux ou trois kilomètres de l’usine de Champet (Saint-Geoire), située elle aussi le long de la voie de chemin de fer local, se compose d’un vaste atelier en rez-de-chaussée avec un toit en sheds, tandis que les marchandises et le personnel sont logés dans un bâtiment à un étage équipé d’une cantine. La ligne de tramway, achevée au tournant du siècle, favorise la connexion industrielle et commerciale entre les deux établissements d’une part, et avec les centres industriels régionaux d’autre part 3052 . Les toits en sheds à versants égaux laissent la place pendant les années 1880 et 1890 à des versants dissymétriques. L’usine de Massieu, construite au début du XXe siècle reprend l’allure générale du tissage Michal-Ladichère de La Martinette, mais les baies vitrées sur les façades ont disparu. L’adoption généralisée des ateliers en rez-de-chaussée ne s’accompagne pas de la disparition des anciens bâtiments à étages qui conservent un usage industriel. De même, pour loger une partie de leur personnel, les propriétaires de tissages gardent l’architecture traditionnelle : les dortoirs sont installés dans un édifice d’un ou deux étages, contigus (Massieu) ou faisant face aux ateliers (Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs , La Frette , Virieu). Quelques années avant la Grande Guerre, les frères Algoud agrandissent leur tissage du Grand-Lemps . L’architecture industrielle s’est encore transformée. L’atelier en rez-de-chaussée gagne en hauteur, tandis que les ouvertures sur la façade ont disparu au profit de murs aveugles. L’électricité autorise ce choix. Désormais, les ouvrières ne sont plus distraites par le spectacle extérieur. Elles ne peuvent qu’adopter le rythme industriel. Ce dernier changement gagne aussi les usines des façonniers. Joseph-Ferdinand Paillet adopte le modèle du tissage entièrement clos pour l’établissement qu’il construit à Champier vers 1910.

Figure 41–Le tissage Michal-Ladichère à La Martinette (Saint-Geoire ),vers 1900.
Figure 41–Le tissage Michal-Ladichère à La Martinette (Saint-Geoire ),vers 1900.

Source : coll. Privée.

Figure 42–Un tissage de soieries à Massieu , vers 1900-1910.
Figure 42–Un tissage de soieries à Massieu , vers 1900-1910.

Source : coll. Privée.

Seuls les patrons les plus éclairés ou les plus riches adoptent de nouveaux matériaux pour édifier des usines modernes et modèles. Ainsi pour son nouvel établissement de Virieu-sur-Bourbre, à la fin des années 1890, Louis Diederichs , un riche héritier ayant fait des études supérieures à l’Ecole Supérieure de Commerce de Lyon , dessine lui-même le plan des ateliers. Il bénéficie également de l’expérience acquise auprès de son père et des bureaux d’études des ateliers Diederichs pour construire une usine selon les derniers canons architecturaux en vigueur :

‘« des maçons de Virieu exécutèrent les murs, un de Jallieu les parquets en béton de ciment artificiel. […] Le m2 de rez-de-chaussée (tout compris, c’est-à-dire avec colonnes fonte) me revient à 27,50 f. au lieu de 32 f. que demanderaient des architectes. Le grand bâtiment du devant à deux étages est construit sur fondation en ciment armé de barres de fer rondes […] » 3053 . ’

L’établissement est mû par une machine à vapeur de cent chevaux-vapeur. Les métiers à tisser sont installés dans le premier bâtiment, tandis que le second abrite le dortoir et le réfectoire, et sans doute des magasins. Les coûts de construction d’un tissage varient : à Sardieu , Combat et Rabatel dépensent 13.000 francs environ pour le bâtiment dans les années 1890. Pour un tissage d’une centaine de métiers à tisser, il faut compter plus de 50.000 francs à la fin du siècle. Cela représente moins du tiers du coût total d’installation, les deux tiers revenant au matériel (un quart pour les métiers à tisser). L’estimation avancée par Chenavaz est sans doute excessive : il s’agit probablement d’un tissage conçu avec leurs meilleurs matériaux et équipé avec du matériel neuf. Grâce aux contrats d’assurance du tissage Mignot, il est possible de se rendre compte des transformations dans l’architecture industrielle et dans l’organisation des tissages à la fin du siècle 3054 . En 1886, le tissage Mignot, à Saint-Bueil , est évalué à 166.000 francs (hors biens personnels de la famille et bâtiments privés), dont 70.000 francs pour le capital fixe (bâtiments), avec seulement 40.000 francs pour le tissage, et 96.000 francs pour le matériel. En 1913, l’usine Mignot, vieille d’une trentaine d’année, et ses bâtiments annexes (hors bâtiments privés) sont évalués à 142.700 francs, dont 100.000 francs pour le bâtiment principal, tandis que le matériel ressort à 130.000 francs 3055 . Quant au tissage Jocteur-Monrozier (anciennement Faidides), au Vernay (Nivolas ), les bâtiments de l’usine sont estimés en 1909 à 131.500 francs dont 80.000 pour les ateliers, tandis que l’ensemble du matériel vaut, selon le contrat d’assurance, 112.800 francs, dont 92.000 francs pour le matériel de tissage et de dévidage 3056 .

Des economies sont possibles, notamment en achetant du matériel d’occasion. Tous les façonniers n’ont pas les moyens financiers de Louis Diederichs . Cette estimation ne prend pas en compte l’achat du terrain. La mécanisation du tissage augmente ipso facto la part du capital fixe. La construction d’une usine et l’achat du matériel immobilisent désormais plusieurs centaines de milliers de francs.

Tableau 60-Coût d’un tissage mécanique, à la fin du XIX e siècle.
Nature des frais Montant
(en francs)
Montant
(en %)
Bâtiment en rez-de-chaussée, de huit travées, pour le tissage, les bureaux… soit 1.669 m2 63.422 31,9
Une machine à vapeur de 20 à 25 CV et sa cheminée 19.000 9,6
Une turbine de 11 CV 2.800 1,4
Eclairage électrique (215 lampes, transmission de la dynamo) 9.030 4,5
Transmissions 8.100 4
Courroies 1.668 0,8
Chauffage 3.000 1,5
96 métiers à tisser 51.254 25,8
96 mécaniques en 12 lisses 9.888 5
24 dévidoirs 10.560 5,3
5 doubloirs 2.300 1,2
6 ourdissoirs 6.300 3,2
6 cantres 2.700 1,6
8 cannetières 6.720 3,4
Divers 1.500 0,8
Total 198.752 99,7

Source : CHENAVAZ (O.), 1893, pp. 7-10.

En 1893, Chenavaz, un élu du canton de Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs , évalue le coût d’une nouvelle usine à 200.000 francs environ, sans prendre en compte toutefois l’achat du terrain. Les bâtiments représentent à peine un tiers du coût total, contre deux tiers pour l’équipement en matériel mécanique. En guise de comparaison, un métier manuel neuf vaut environ cinquante francs, soit dix fois moins qu’un métier mécanique. Le travail manuel permet également de faire l’économie d’une machine à vapeur, d’une chaudière, de courroies et de transmissions. Si on ajoute à cela l’éclairage électrique, encore peu répandu, on arrive à un surcoût de plus de 86.000 francs pour l’équipement d’un tissage mécanique, soit près de la moitié du coût total 3057 .

La mécanisation pousse donc les industriels à modifier l’organisation de leurs ateliers : il faut de grands espaces pour entreposer davantage de métiers à tisser. Pour satisfaire les commandes importantes, les façonniers doivent avoir un matériel pléthorique. La lumière naturelle, obtenue grâce aux larges ouvertures, puis l’électricité, permettent d’allonger la journée de travail, tout en garantissant une plus grande clarté pour vérifier la qualité de la fabrication. Les nouveaux ateliers en rez-de-chaussée facilitent aussi les mouvements de matériels, le montage et le démontage des métiers en particulier, au gré des évolutions de la mode.

Le tissage Mignot est construit « en maçonnerie couvert en tuiles et vitrages », avec des toits en sheds. Le principal bâtiment se compose de sept travées, percées par de larges baies vitrées sur les façades. Outre les métiers à tisser, il comprend des bureaux, des entrepôts, une cuisine en sous-sol. Les métiers reposent sur un dallage en ciment. Autour du tissage, divers petits édifices se dressent abritant des ateliers annexes : forge, marchine à vapeur… utiles au bon fonctionnement des métiers à tisser. Entre 1886 et 1913, Joseph Mignot a procédé à des agrandissements de ses ateliers : l’atelier de tordage a été déplacé, une machine à vapeur installée... Il a aussi accru son potentiel productif. Sur le plan de 1886, le tordage se trouvait dans la maison bourgeoise. Comme dans les grandes usines-pensionnats, le dortoir des ouvrières est séparé de l’usine.

Plan 6-Le tissage de soieries Mignot, à Saint-Bueil , en 1913.
Plan 6-Le tissage de soieries Mignot, à Saint-Bueil , en 1913.

Source : APM, Dossier dactylographié d’assurance, 1913.

Numéro/
Lettre
Activité Numéro/
Lettre
Activité
A
1a
Petit bureau.
Cusine et magasin de tissus en sous-sol.
2 Trois étages : entrepôt, atelier de tordage et de remettage, logement du contremaître.
1a’
1b, c, d
Magasin de l’usine et bureaux.
Tissage.
2’ et 2’’ Magasin des peignes et remisses, entrepôt des schappes et coton.
f
g
Salle des turbines, transmissions, machine à vapeur.
Chambre d’eau (rez-de-chaussée), atelier du mécanicien.
M3 Maison bourgeoise (le rez-de-chaussée sert aussi d’entrepôt).
h
i
Chaudière et charbon (rez-de-chaussée), entrepôt.
Petite chaudière à vaporiser, entrepôt de bois.
3bis
4
Poulailler, buanderie, chenil.
Deux étages : dortoir.
j Sur trois niveaux : escalier, atelier de garage, entrepôt. 5 Débarras.
k Cave pour la soie et matériel (sous-sol). 6 Entrepôt pour le matériel agricole, la paille, le matériel de tissage.
l
V
Petite forge (sous-sol).
Cheminée monumentale.
7 à 12 Garage pour automobile, logement du concierge, caves, remise, entrepôt de marchandises.
Tableau 61–Valeur des usines (bâtiments et matériel) des façonniers (1864-1904).
Nom Lieu Activité Date du décès Revenu
(en francs)
Valeur 3058
(en francs)
Hector Joly Saint-Geoirs Moulinage 1864 2.000 40.000
Joseph-Gabriel Landru 3059 Coublevie Tissage 1871 4.750 95.000
François-Fleury Cuchet Chatte Moulinage 1872 1.000 20.000
Ambroise Veyre Saint-Bueil Tissage 1872 6.003 120.060
Antoine Genin Moirans Tissage 1873 4.500 90.000
Alfred Constantin de Chanay St-Nicolas-de-Macherin Tissage 1873 6.800 136.000
François-Régis Couturier St-Hilaire-de-la-Côte Moulinage 1873 800 16.000
Maurice Bouvard Moirans Tissage 1877 18.000 360.000
François Jourdan Dolomieu Tissage 1881 200 4.000
Claude Chapuis La Tour-du-Pin Tissage 1883 1.200 24.000
Louis Malescourt Saint-Jean-de-Bournay Tissage 1883 1.788 35.761
Pierre Bertet Coublevie Tissage 1883 5.000 100.000
Laurent Baratin Tullins Tissage 1884 4.000 80.000
Henry Brunet-Lecomte Jallieu Impression 1886 6.000 120.000
Henri Michal-Ladichère Saint-Geoire Tissage 1889 16.000 320.000
Claude-Victor Pochoy Voiron Tissage 1892 12.000 240.000
André Dévigne La Tour-du-Pin Tissage 1892 1.700 34.000
Séraphin Martin 3060 Moirans Tissage 1893 12.500 250.000
Gustave Veyre Saint-Bueil Tissage 1893 15.000 375.000
Pierre Mignot Saint-Bueil Tissage 1894 3.300 66.000
Jules Vignal Saint-Antoine Filature, moulinage 1896 2.000 40.000
Joseph-Victor Pochoy Voiron Tissage 1897 21.000 420.000
Lucien Jocteur-Monrozier 3061 Nivolas Tissage 1902 25.000 500.000
Alphonse Couturier Bévenais Tissage 1902 25.265 505.300
Romain Bourgeat Nivolas Tissage 1903 6.000 120.000
Veuve Valette 3062 Apprieu Tissage 1903 15.125 302.500
Michel Brunet-Lecomte Jallieu Impression 1903 7.040 140.800
Jean-Marie Brun Coublevie Tissage 1904 12.000 240.000

Source : Mutations par décès.

Plus on avance dans le siècle, plus la valeur des usines augmente. Les bâtiments sont plus importants en superficie et construits avec des matériaux plus nobles que le pisé et le bois. Les façonniers font davantage appel à des architectes et à des entrepreneurs pour édifier leurs ateliers. À l’intérieur, le matériel devient plus onéreux avec la mécanisation : les métiers mécaniques en métal remplacent les vieux métiers à bras en bois. Progressivement, il faut installer une machine à vapeur pour garantir un travail régulier et continu, contre les débits irréguliers des rivières qui entraînent la mise au chômage des métiers à tisser pendant la période estivale. La rupture est nettement visible à partir des années 1880 chez les façonniers ayant au moins une centaine de métiers : désormais, il est rare de trouver des tissages évalués à moins de 100.000 francs. En dessous de cette évaluation, on trouve des façonniers qui n’ont pas su moderniser leur affaire, comme Dévigne ou Vignal . Pour Baratin et Mignot, il s’agit probablement d’une sous-estimation par les héritiers pour frauder le fisc, car tous les deux possèdent des tissages mécaniques organisés récemment. Les petits façonniers ont des installations moins coûteuses.

À la veille de la Grande Guerre, le département de l’Isère fait partie de ceux où l’électrification est largement entamée 3063 . Dans un centre industriel comme Voiron , l’initiative de l’électrification de la ville revient à des industriels. L’un des premiers à vouloir y amener l’électricité vers 1900, est Léon Béridot, constructeur de métiers à tisser. Le projet est repris dans les mois qui suivent par la Société Hydro-électrique de Fure & Morges, une entreprise fondée en 1900, avec un capital de trois millions de francs. La Société Franco-suisse, proche de Fure & Morges, reçoit alors pour mission d’installer la nouvelle énergie à Voiron, Moirans et Rives 3064 . Afin de moderniser leurs installations industrielles, quelques façonniers du textile participent à l’électrification rurale en obtenant la concession de l’éclairage électrique de leur commune, tel Romain Bonvallet , à Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs au début du XXe siècle 3065 . Dans le Voironnais et l’arrondissement de Saint-Marcellin , l’électricité fournit en 1910 déjà 40% de la force motrice des usines textiles, contre 32% pour la vapeur et un quart pour l’énergie hydraulique 3066 . Comme à Saint-Etienne, dans la passementerie 3067 , cette électrification rapide, prépare le retour – éphémère – des petits tissages familiaux dans les années 1920 dans les campagnes du Bas-Dauphiné.

Ces coûts d’agencement élevés nuisent à la rentabilité des tissages à façon, car désormais le poids des amortissements réduit fortement les bénéfices annuels. Le retour sur investissement est plus long, tandis que dans le même temps, le prix des façons diminue régulièrement.

Notes
3051.

ADI, 162M11, Lettre ms du président de la commission d’inspection du travail des enfants, le 10 août 1877.

3052.

ADI, 9U368, Justice de Paix de Bourgoin , Acte de société devant Me Lescot, à Grenoble, le 28 mars1907.

3053.

APJD, Carnet ms de Louis Diederichs « Notes sur la vie de Louis Diederichs », rédigé en mars 1908.

3054.

APM, Contrats d’assurance du 18 mai 1886 et du 14 janvier 1913.

3055.

APM, Contrat d’assurance du 14 janvier 1913.

3056.

APJM, Contrat d’assurance du 8 juillet 1909.

3057.

Sans compter le coût du bâtiment et le reste du matériel.

3058.

Le revenu a été multiplié par vingt.

3059.

Landru n’exploite plus lui-même le tissage et préfère le louer à Jean-Marie Brun . Landru s’est reconverti dans la banque.

3060.

ADI, 3Q43/97, ACP du 6 novembre 1893 (donation-partage devant Me Margot du 27 octobre). Martin décède en 1903.

3061.

APJM, Brouillon ms de Lucien Jocteur-Monrozier le 30 septembre 1902.

3062.

ADI, 3Q43/290, Mutation par décès de Jean-Baptiste Bret . Il loue son usine à la veuve Valette depuis 1898.

3063.

GILLIO (H.), « L’électrification rurale en France et dans la région dauphinoise en particulier », Les Alpes économiques, mai 1928, pp. 201-237.

3064.

ABdF, Rapport d’inspection de la Banque de France à Grenoble, années 1900, 1902.

3065.

Dictionnaire biographique départemental de l’Isère, dictionnaire biographique et album, Paris , Librairie E. Flammarion, 1907, p. 154.

3066.

Chambre de Commerce de Grenoble, Bulletin mensuel, séance du 16 octobre 1910, p. 240.

3067.

BURDY (J.-P.), DUBESSET (M.), ZANCARINI-FOURNEL (M.), 1987.