A :
Papa : toi qui fus ! Merci pour ce que tu fis.
Ma mère : à la fois au commencement et à la terminaison de la quête
Aux miens :
Assy la patience : hommage à toi dévouement et à ton courage dans la solitude, face à un quotidien chaque jour envahissant
Mes enfants : Fatou, Rokhaya et Ndèye Fatou
A ma famille de Saint-Louis
Mon père Madické SECK : toujours là, discrètement efficace
Mes frères et sœurs
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Nous remercions :
Monsieur le professeur Waldiodio NDIAYE, qui a bien voulu nous accompagner dans notre recherche en acceptant d’en assurer la cotutelle ; et qui a toujours été présent par ses conseils.
Madame Andrée TIBERGHIEN sous l’ombre de qui ce travail a été conduit, réalisé. Trois années de passion et de doute partagés ont créé un climat de complicité et de confiance rendu possible grâce à une généreuse disponibilité et une rigueur jamais prises à défaut.
Les deux professeurs : Mme Anne-Marie MIGUET du Lycée Saint-Exupéry de Lyon (France) et M Mamadou NDOUR du lycée Technique industriel Maurice Delafosse de Dakar (Sénégal)) et leurs élèves qui ont bien voulu nous accepter pendant plusieurs semaines dans leur classe, contraints ainsi de s’adapter aux désagréments liés à la situation.
Toutes les personnes côtoyées au sein des laboratoires ICAR à Lyon et CUSE à Dakar avec lesquelles nous avons redécouvert les valeurs d’une communauté scientifique.
Ces sénégalais qui, de Dakar à Lyon, ont su transborder et recréer autour de nous les chaleurs de nos communautés sociales.