Méthodes de créations des « séries »

Rappelons que nous avons défini un film comme un enregistrement d’une séance de cours qu’il soit fait avec la caméra élève ou la caméra professeur. Ces films sont organisés dans la catégorie « série », chaque série créée porte un nom. L’utilisateur peut choisir de construire n « séries » comportant i films (n et i dépendent de la capacité de l’ordinateur). Pour un corpus vidéographique donné, la façon de disposer les « séries » dépend de l’objet de la recherche. Les cas de dispositions extrêmes, entre lesquelles toute autre forme est possible, sont : un film par « série » (donc autant de « séries » que de films) ou une série contenant tous les films du corpus vidéographique (dans ce cas on est en présence d’un seul élément dans cette catégorie). Dans ce continuum de dispositions des films, c’est l’objectif que l’on s’est visé qui oriente le choix de l’utilisateur.

Dans notre recherche, nous souhaitons avoir une vue globale sur les phases didactiques, les organisations de la classe, les découpages thématiques dans toute la séquence, c’est la raison pour laquelle nous avons choisi de regrouper tous les films qui participent à la « base de données » dans une seule et unique « série » (figure 2). Il faut noter que le nom utilisé pour identifier une base de données ne peut pas être modifié sur cette fenêtre, pour le faire il faut recourir à une autre commande du logiciel « exporter en fichier XML ». Nous avons utilisé cette commande pour disposer de deux bases de données avec la même disposition adoptée pour la série : une pour l’analyse au niveau macroscopique et une pour l’analyse microscopique.

Figure 2. Visualisation des composantes de la série (une partie des films). Forme de regroupement (tous les films concernant enseignement de l’énergie en 1
Figure 2. Visualisation des composantes de la série (une partie des films). Forme de regroupement (tous les films concernant enseignement de l’énergie en 1ère S) créant les différentes séries.