3.3.2. L’écriture et les critères d’inclusion

Sans l'écriture, le visible resterait confus et désordonné. L'ethnographie, c'est précisément l'élaboration, la transformation scripturale de cette expérience, c'est l'organisation textuelle du visible dont l'une des fonctions majeures est aussi la lutte contre l'oubli 158 . Si l'observation ethnographique est un rapport entre les objets, les êtres humains, les situations et les sensations provoquées chez le chercheur, la description ethnographique est donc l'élaboration linguistique de cette expérience.

C'est bien la perception ou plutôt le regard qui déclenche l'écriture de la description, mais cette dernière consiste moins à transcrire qu'à construire, c'est-à-dire à établir une série de relations entre ce qui est regardé et celui qui regarde, l'oreille qui écoute, la bouche qui prononce une série de noms et maintenant la main qui écrit, qui doit à son tour se déshabituer à tenir pour naturel ce qui est culturel : les mots qui vont être recherchés pour faire voir à d'autres que nous chercheurs le caractère chaque fois singulier de ce que nous avons observé. Les capacités d'observation sont loin de ne concerner que ce qui est visible. Il s'agit cette fois du langage lui-même, et l'ethnographe, c'est-à-dire celui qui s'efforce de transformer le regard en écriture, doit alors se défier des clichés, des stéréotypes, de tous ces dépôts et ces sédimentations culturelles qui sont celles de la réduction répétitive de l'autre à l'identique.

C'est l'une des leçons que nous avons tirée notamment de la lecture de Paul Valéry qui, dans « Degas Danse Dessin  159 », nous invite à oublier les noms des choses que l'on voit. Il s'agit donc d'articuler le regard et l'écriture, non dans leur simultanéité — ce qui serait un leurre — mais dans leur coextensibilité, de comprendre le rapport entre le voir et l'écriture du voir. Ces rapports ne peuvent être compris comme étant à sens unique, car l’enquêteur, qui est celui qui se doit de retourner voir (revoir), est par ailleurs confronté en permanence à ce qui a été vu et à ce qui a été écrit par d'autres que lui.

L'ensemble des réflexions précédentes nous permet d'esquisser la définition suivante: la description ethnographique, c'est de la réalité sociale appréhendée à partir du « voir », mais de la réalité sociale devenue langage et qui s'inscrit dans un réseau d'intertextualité : l'ethnologie, et a fortiori l'anthropologie, entretiennent un rapport nécessaire avec du déjà dit et du déjà écrit. La description énonce et annonce, énumère, épelle, détaille, décompose, mais d'abord enregistre, démontre, recense, comptabilise. Ce n'est pas une activité particulièrement imaginative : elle dresse des listes, établit l'état des lieux, procède à des inventaires. Ayant soin de ne rien oublier, elle cherche volontiers à épuiser son objet. Tout voir, aller partout, tout savoir et tout dire 160 .

L'écriture descriptive s'efforce de rendre compte de la totalité de ce que l'on voit. Aucun espace, aucun recoin ne doit être laissé en jachère, pas plus par l'œil qui observe que par la main qui désigne. Il s'agit de rendre compte et d'abord de nommer la totalité de ce que l'on voit. On collectionnera tous les produits fabriqués ; on étudiera tous les moments de la fabrication de la machine ; la description vise l'exhaustivité et la finition 161 .

Nous avons choisi comme terrain d’étude les personnes en situation de handicap et d’errance à Lyon et à Dakar. Si ces deux villes constituent deux substrats culturels différents, mais comparables, le processus de l’errance est un phénomène international qui touche les populations les plus vulnérables. Nous avons défini les critères d’inclusion de cette population-cible.

Nous considérons en situation d’errance toute personne vivant depuis trois mois ou plus dans la rue ou en centre d’hébergement d’urgence, homme ou femme, sans nous attacher à des critères d’âge, de sexe ou de nationalité.

Nous considérons par ailleurs en situation de handicap toute personne reconnue comme telle par des commissions (de type COTOREP) ou par des instances médicales pour la France, et au Sénégal toute personne désignée comme telle par des associations, par des communautés ou par des instances médicales.

3.3.3. Les outils, les obstacles et la rédaction

La mise en place de la structure méthodologique qui s’inspire de la grille d’entretien nous a paru un moyen privilégié de production d’une parole sociale. Nous avons constitué une première grille d’entretien expérimentale en adoptant les concepts de soutien social. Car les personnes interviewées se situaient davantage sur leur perception subjective de la situation, exprimant leur souffrance et leurs espoirs. Vis-à-vis de nos recherches antérieures, nous avons opéré une rupture épistémologique en nous centrant volontairement sur le soutien social perçu par les personnes en situation de handicap et d’errance.

La grille d’entretien définitive 162 est élaborée autour de plusieurs questions-cibles (avec de multiples questions de relance pour recentrer si nécessaire l’interview) de façon à favoriser une liberté d’expression des personnes. La première question porte sur la cause de l’errance ; la deuxième sur le vécu de la situation dans la rue, la troisième sur le soutien social perçu. Avec les questions transversales de la situation de handicap, de ce qui est vécu et de ce qui existe (état des lieux de l’existant et stratégies d’ajustement), des transformations souhaitées de l’existant (ce qui pourrait ou devrait être sur les plans personnel, environnemental et du soutien social).

La grille de codage des entretiens est structurée sur plusieurs thèmes. Ces thèmes contiennent des variables codées utilisées dans le traitement des données avec le logiciel tableur « Excel » :

  • les causes de l’errance (vulnérabilité familiale, cause économique ou désaffiliation)
  • les formes de déficiences
  • l’implication dans les situations, avec les restrictions de participation
  • les ressources individuelles et sociales
  • le soutien social (réseau, type et qualité)
  • les stratégies d’évitement
  • les transformations souhaitées et les propositions.

Globalement, les données ont été recueillies à partir d’entretiens individualisés réalisés dans la rue, dans les squats, dans les centres d’hébergement d’urgence ou dans les cafés à raison de 50 entretiens à Dakar et 50 à Lyon. Parallèlement, des entretiens de groupe ont permis aux personnes interrogées de discuter entre elles et devant nous de leur définition de la situation, de leurs idées et opinions, de leurs sentiments…Pour compléter le recueil des données, nous avons eu des conversations occasionnelles de terrain et avons étudié des documents officiels (dossiers confidentiels, missions d’établissement, évaluations, réunions de synthèse, documentation diverse), et des documents personnels des enquêtés (correspondances personnelles, lettres intimes, poèmes, dessins, etc.), en sus de nos notes, fiches d’observation et documents personnels.

Avec ce modèle de l’OMS, la difficulté principale que nous avons rencontrée est celle de l’extrême complexité de la prise en compte de l’ensemble des éléments de la CIF. Parallèlement, nous avons découvert l’approche bio-psycho-sociale de la santé. Celle-ci propose une place prépondérante au « soutien social », en tant que déterminant au niveau des ressources internes de l’individu et au niveau du développement des stratégies d’ajustement développées par la personne face aux situations rencontrées. Nous nous sommes appuyés sur les concepts centraux de soutien social perçu et de stratégies d’ajustement.

Le soutien social 163 est l’intégration subjective par l’individu des ressources que le réseau social lui procure. Il est défini comme « l’ensemble des perceptions et des représentations d’un individu relatives à la qualité de ses relations interpersonnelles. Il peut être de plusieurs types : informatif, matériel, émotionnel et d’estime ». Si le soutien social (émotionnel avec les amis, la famille, le partenaire ; informatif avec les professionnels de la santé par exemple) est généralement bénéfique, il peut être perçu négativement : d’où la nécessité d’en étudier l’adéquation. C’est pourquoi la notion de « soutien social perçu » est pertinente, car seul l’individu-cible peut évaluer la qualité de ses relations à autrui. Le réseau social « objectif » n’a pas le même impact sur l’individu.

La stratégie d’ajustement 164 (ou coping) est un processus transactionnel, élaboré activement par la personne en situation de handicap et d’errance en fonction de ses ressources sociales et individuelles, et des contraintes de l’environnement. Il est à fortiori susceptible d’être modifiable par des techniques d’intervention 165  . Les stratégies sont constituées par « l’ensemble des efforts cognitifs et comportementaux, constamment changeant destinées à gérer les demandes externes et / ou internes perçues comme consommant ou excédant les ressources de la personne 166 .

Dans une situation éprouvante, la personne en situation de handicap et d’errance mobilise ou non ses ressources individuelles et sociales. A partir de la mobilisation ou non de ses ressources, elle fait face aux situations en adoptant diverses stratégies. Celles-ci sont centrées soit sur l’action, soit sur l’émotion. Les stratégies développées sur l’émotion se font soit sur le versant positif du partage émotionnel passif (les personnes en situation de handicap et d’errance communiquent leurs émotions, avec le risque sur le long terme de développer une dépression) ; soit sur le versant négatif par des comportements à risque (avec des conduites d’addiction, drogue, alcool ou tabac particulièrement à Lyon). Une autre stratégie globale se dégage : celle de la recherche de soutien social par la personne en situation de handicap et d’errancequi désire l’aide d’autrui.

Au niveau des ressources individuelles des personnes en situation de handicap et d’errance, nous avons retenu le soutien social perçu et la capacité à rechercher du soutien dans le réseau social. Au niveau des ressources sociales, nous avons mis l’accent sur les facteurs économiques (en particulier les ressources minimum, de survie ou inexistantes), les facteurs environnementaux (ville, pollution, habitat, accessibilité des lieux publics, etc.), le réseau social et le dispositif (d’insertion) social (adéquat, insuffisant, inadapté, inexistant). Au niveau de l’ajustement des personnes aux situations, nous avons retenu deux modes de classement : l’un centré sur l’émotion, l’autre sur l’action. Nous avons aussi pris en compte le soutien social comme technique d’intervention susceptible de modifier les stratégies d’ajustement.

En plus, nous avons inclus d’autres concepts dans notre analyse, la résilience, cette «capacité à réussir à vivre et à se développer positivement, de manière socialement acceptable, en dépit du stress et d’une adversité qui impliquent normalement un risque important d’issue négative » 167 , qui fait partie intégrante des stratégies de résolution des problèmes ; et, la désaffiliation qui intervient au niveau des ressources individuelles. Ce terme, utilisé par Robert Castel pour analyser le lien entre la vulnérabilité relationnelle et l’exclusion contient les notions de rupture du lien d’affiliation (au sens d’inscription dans un réseau) et du lien de filiation ; la filiation étant «le lien qui unit l’individu à son père et à sa mère, la suite d’individus directement issus les uns des autres 168  ».

Pour aborder la question des déficiences, nous avons conservé les nomenclatures proposées par la CIF. Nous nous sommes appuyés sur les propos des personnes, ainsi que sur leur expertise du réseau social (associatif, médical, etc.). Seules les déficiences dominantes ont été retenues, avec principalement les atteintes de la structure anatomique et des fonctions organiques mentales.

La question de leur dénomination 

Comment se nomment-elles ? Comment les nomment-on dans la cité ? Quelle légitimité et quelle éthique pour nous, chercheurs, lorsque nous utilisons une nomination ?

Les tares du milieu culturel 

Nous avons eu des difficultés à développer des entretiens personnalisés longs, sans intervention des membres du groupe des pairs ; des difficultés de repérage géographique du fait de la mobilité des personnes en situation de handicap du fait de la lèpre, notamment à l’occasion de leurs voyages entre Dakar et le village.

Le dénombrement 

Quelles statistiques sur les personnes en situation de handicap et de vie à la rue dans les villes de Dakar et de Lyon ? Quelles proportions de femmes, d’enfants, d’hommes, de couples, d’isolés ? Nous disposons de données issues des rapports des associations, de l’INSEE et de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale, en ce qui concerne Lyon. Pour le cas de Dakar, elles sont presque inexistantes, en attendant la sortie programmée des derniers résultats du recensement national en 2004. Les données à notre disposition sont intéressantes mais elles ne rendent compte que partiellement de la réalité. Il en est de même pour les données chiffrées transmises par les services sociaux et les associations nationales et internationales.

L’enregistrement 

Autant qu’il l’a été possible, les entretiens ont été enregistrés. Même si à la base, l’anonymat était explicité et garanti, cela n’a pas été sans difficulté : à Dakar, lorsque Martine, en tant que « blanche » le demandait, les personnes finissaient par l’accepter. Mais lorsque Aliou était seul, c’était plus difficile car il était alors perçu comme un journaliste ou un « intellectuel » sénégalais qui allait utiliser leurs paroles à des fins médiatiques ou mercantiles.

A Lyon comme à Dakar, certaines personnes en situation de handicap et d’errance ont catégoriquement refusé l’enregistrement, ayant peur des utilisations (policières, etc.), et ce d’autant plus lorsqu’elles étaient en demande d’asile, en situation irrégulière ou sortant de prison. D’autres, marquées par la souffrance psychique avec des tendances paranoïaques, refusaient toute relation ou fuyaient lorsqu’elles apercevaient le magnétophone. L’utilisation du magnétophone, pourtant discret, a parfois provoqué l’attroupement de badauds, puisque cela se passait dans la rue (Dakar). Cependant, depuis un an, l’utilisation d’une clé MP3 a facilité les enregistrements, car elle impressionne moins qu’un magnétophone.

C’est pourquoi nous avons pratiqué l’enregistrement direct dès que cela était possible. Par défaut, nous nous sommes enregistrés tout de suite après l’entretien, de façon à utiliser notre mémoire vive et conserver les expressions de la personne « à chaud ».

Les sollicitations financières

Quels gestes ? C’est la question du geste de l’aumône et de ses usages. A Dakar, la question de l’aumône s’est posée à nous lors de nos rencontres avec les personnes. Donner ou ne pas donner ? Combien et jusqu’où aller ? En effet, il y a des usages de civilité à respecter, au même titre que les salutations. L’ensemble du système social traditionnel est marqué par les échanges de pièces de monnaie (ou de billets) lors des visites mutuelles.

Parfois par des dons en nature, qui deviennent de plus en plus rares du fait de l’exode rural et de la vie citadine notamment. Une forme de redistribution de la richesse s’effectue ainsi, protégeant les individus de l’extrême misère. En particulier, avec les personnes qui présentent des déficiences et qui ne peuvent difficilement exercer une activité autre que celle de la mendicité pour survivre. Nous nous sommes situés dans la même dynamique que celle d’un Socio-Anthropologue que nous avons rencontré à l’Institut de recherche et de développement (IRD) à Dakar.

Dans sa pratique quotidienne au Sénégal, il est confronté aux mêmes interrogations : donner ou ne pas donner ? Il se positionne en disant que, selon la culture, le don peut être possible. A condition qu’il n’engendre pas une attitude de dépendance. Il s’agit de respecter les usages de civilité de la société. Car il importe d’intervenir dans des limites qui ne nuisent pas à la personne qui est en face de soi, de façon à ne pas créer un lien de dépendance et d’éviter de se substituer à ses propres réseaux existants.

Pour nous, ce geste d’aumône, posé lors de la première rencontre, n’est jamais devenu un geste répétitif. Lorsque nous nous sommes retrouvés avec des groupes, nous avons systématiquement demandé leurs règles propres de fonctionnement et respecté leurs rôles établis, notamment celui de « l’ancien », pour donner de l’argent (à redistribuer entre eux). Pour nous, il ne s’agissait pas seulement d’un don en terme d’aumône selon les us et coutumes du pays, mais plutôt de compenser la perte de gain de la manche pendant le temps passé avec nous.

Nous avons également reçu beaucoup de demandes d’aides financières, sous des formes diverses allant de l’achat de médicaments à la pharmacie (avec l’ordonnance restée en souffrance) jusqu’à la construction des cases dans le village de reclassement. Nous avons choisi de ne pas faire de prise en charge financière pour garder la posture de chercheurs. A Lyon, nous avons tenu à garder la posture déontologique qui consiste à ne pas donner d’argent. Il nous est arrivé de ramené de quoi consommer (nourriture ou boisson), nous inscrivant ainsi dans la dynamique du partage propre au groupe de personnes en errance.

Au niveau de l’analyse des données recueillies, nous nous sommes appuyés en partie sur nos analyses spontanées (remarques et commentaires à chaud à partir des notes de terrain), principalement sur un travail de classification et de catégorisation pour, d’une part, donner une structure au matériel recueilli pour l’analyse finale (à rendre le plus possible cohérente, complète, logique et succincte) et, d’autre part, laisser émerger un schéma qui sert de modèle utilisable pour le fieldwork.

La formulation de concepts s’est effectuée sous deux formes en codifiant les termes locaux ou « indigènes » sous forme de « symboles culturels » (ex : avoir honte) et en les construisant de façon à présenter des données structurelles communes (tout en les mettant à profit avec les lectures préliminaires). Nous avons procédé à l’analyse du contenu du corpus de façon suivante : par un traitement des données quantitatives (sexe, âge, durée de vie dans la rue, type de déficience), et à partir de l’examen approfondi des discours, par un codage systématique des restrictions d’activités et de participation, des causes de l’errance, des ressources individuelles et sociales (en terme de facilitation ou obstacle), de stratégies d’ajustement et de transformations souhaitées.

Puis, nous avons confronté les représentations thématiques de façon à mettre en lumière les relations et/ou les conflits qu’elles génèrent ou entretiennent. Nous avons procédé ensuite à l’analyse qualitative des contenus, de façon à rendre compte de la globalité qui émerge des cas exemplaires, représentatifs des personnes en situation de handicap et d’errance. Pour la théorisation, nous nous situons dans la dynamique de l’autonomie d’une démarche ethnographique qui produit ses hypothèses chemin faisant, en partant d’une hypothèse nulle. Nous nous situons davantage dans la description pour éviter le « théoricisme » et être au plus près du monde réel. De là émerge une question nodale susceptible de donner naissance à une problématique à développer lors d’une thèse ultérieure.

En ce qui concerne le rite de passage qu’est la rédaction, nous nous situons dans la description ethnographique (comme écriture des cultures), cette expérience du voir qui tente d’élaborer un savoir (l’anthropologie) en faisant « sans cesse retour au voir ». Le processus créatif de notre recherche s’est poursuivi au cœur même de la rédaction qui l’achève. Nous n’avons pas eu une organisation classique : préparation, collecte des données, analyse, rapport final. Nous avons d’abord mis en place un « schéma spéculatif préliminaire » qui nous a permis de combiner la solidité du travail déjà réalisé sur le terrain avec nos intentions de conceptualisation. N’ayant cessé de reprendre le plan de travail provisoire que nous avons élaboré au début de la recherche, nous avons enrichi les têtes de chapitres et les sous titre par la parole des personnes en situation de handicap et d’errance. Puis, pour la rédaction finale, nous avons rédigé un nouveau plan définitif.

Notes
158.

Laplantine, François. 1996. Op.cit.

159.

Valéry, Paul. 1998. Degas Danse Dessin, Paris, Gallimard.

160.

Laplantine, François. 1996. Op.cit.

161.

Mauss, Marcel. 2002. Manuel d’ethnographie, Paris, Payot.

162.

La grille d’entretien et la grille de codage sont en annexe.

163.

Bruchon-Schweitzer, Marilou, 2002. Op.cit.

164.

La stratégie est définie comme « l’art de diriger un ensemble de disposition pour atteindre un but » et l’ajustement comme « l’adaptation », Petit Larousse, 2002.

165.

Marilou Bruchon-Schweitzer, 2001. Op.cit.

166.

Marilou Bruchon-Schweitzer, 2002. Op.cit.

167.

Concept créé par Michael Rutter (1985) et popularisé par Boris Cyrulnik (1999), défini comme « style cognitif global, consistant à avoir une vision positive de soi et du monde et à croire en l’issue favorable des évènements et de nos actions».

168.

Dictionnaire Larousse 2002.