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Sans l’accord des responsables du Centre de formation de l’Olympique Lyonnais, un tel travail n’aurait pu être réalisé ; qu’ils soient ici remerciés de l’entrée qu’ils m'ont autorisée sur ce terrain. Je tiens également à remercier tous les acteurs, en particulier les jeunes ou anciens apprentis du club et leurs formateurs, qui ont bien voulu m'accorder de leur temps et de leur attention afin que l’enquête puisse être menée à son terme.
Ma démarche scientifique et son aboutissement ont été soutenus par Bernard Lahire, je tiens tout particulièrement à le remercier pour la confiance dont il m'a témoigné depuis les prémices de mon projet, pour le sens de la rigueur scientifique et le goût du métier qu’il aura sans cesse stimulés.
Je tiens parallèlement à exprimer mes remerciements à Messieurs Jean-Yves Authier, Jean-Paul Clément, Fabien Ohl et Charles Suaud, qui m'ont fait l'honneur d’accepter de participer au jury de cette thèse.
Parce qu’ils ont alimenté des échanges, riches et amicaux, qui ont grandement contribué à ma socialisation sociologique, ce travail doit également aux membres du séminaire doctoral, dont mes collègues doctorants (et notamment Géraldine Bois, Sophie Denave, Yann Faure, Gaëlle Henry et Fanny Renard) et à Muriel Darmon pour ses conseils avisés.
Parce qu’ils ont encouragé mon engagement dans cette voie, je tiens à remercier également les chercheurs qui m’ont permis de présenter mes travaux ou fait partager des documents, en particulier Jean-Michel Faure et Pascal Chantelat.
Cette thèse a pu être menée à son terme grâce aux contrats d’ATER qui m’ont été proposés par les universités de Strasbourg et de Savoie et leurs départements de STAPS. Que soit remerciés les membres de l’unité strasbourgeoise pour leur accueil, leurs conseils (Olivier Aubel) et leur invitation à présenter mon travail (William Gasparini). Mentionnons également que ce travail a bénéficié du soutien de la bourse « jeunes chercheurs » de l’INJEP.
Enfin, le travail réalisé n’aurait pas pu aboutir sans une somme d'appuis invisibles et néanmoins indispensables : que soient particulièrement remerciés ici Anne-Laure pour son soutien permanent et ses nombreux commentaires et relectures, mes parents et mes amis pour leurs encouragements. Mille mercis, pour finir, à tous ceux dont les ratures rageuses et les suggestions bienveillantes m’ont permis d’améliorer le texte d’origine : Camille, Cédric, Christiane, Fanny, François, Gaëlle, Géraldine et Thomas.