1.3. Une doctrine catholique : l’apostolat par la presse

Comment ces ruptures culturelles majeures, qui bousculent sérieusement l’Eglise catholique, ont-elles été prises en compte par elle ? En élaborant progressivement, du milieu du XIX ème à nos jours, une vision nouvelle de la presse, une doctrine catholique du journalisme et de ses missions, que résume bien l’expression d’« apostolat de la presse ».

Dans l’encyclique Mirari vos de 1832172, Grégoire XVI écrivait que la liberté de la presse est « la plus funeste » des libertés, « une liberté exécrable, ajoutait-il, pour laquelle on n’éprouvera jamais assez d’horreur ». Plus symbolique encore, dans le fameux Syllabus écrit en 1864 par Pie IX, la liberté de la presse figure en bonne place dans la liste des « grandes erreurs » du monde moderne, à côté du socialisme, du rationalisme, du relativisme, etc. C’est la presse, dit le pape, qui déprave les mœurs du bon peuple et l’égare dans ses valeurs et sa foi173. On voit donc que l’Eglise catholique n’est pas encore prête à accepter la liberté d’expression, tout autant que la liberté de culte.

Longtemps empêtré dans une idéologie de résistance au monde moderne, le catholicisme est entré assez tardivement, à son corps défendant, dans l’arène contemporaine du journalisme174. Il l’a fait en développant une pensée propre, concernant la presse catholique et sa mission. Comme l’affirme l’instruction pastorale, Aetatis Novae, publiée le 22 février 1992 par le Conseil pontifical pour les communications sociales, « l’Eglise doit développer, entretenir et favoriser ses propres instruments et programmes catholiques de communication ».

Au cours du XIX ème siècle, l’Eglise catholique et Rome vivent encore dans le climat de psychose créé par la Révolution française. En Europe, les empires se lézardent sous la poussée des idées libérales, nationalistes et socialistes. Le « modernisme » devient la bête noire de ces papes « intransigeants » (selon la formule d’Emile Poulat), qui se replient sur leurs Etats pontificaux. Ceux-ci sont le dernier vestige d’une puissance temporelle appelée à disparaître, dont ils seront dépossédés, en 1870, par les nationalistes italiens, achevant, avec la prise de Rome, l’unité de leur pays et faisant du pape un « prisonnier » volontaire, jusqu’aux accords du Latran, en 1929.

Ainsi donc, pendant un bon siècle, de 1850 à 1950, faire des journaux « comme les autres » était, pour les catholiques, faire des journaux d’opinion. Il s’agissait de faire entendre la voix, ou les voix des catholiques sur le forum des idées et des idéologies qui se disputaient ce que l’on appelle aujourd’hui les choix de société175. Dès le départ, le journaliste catholique est simplement un porte voix, représentant d’une institution dont il doit défendre les principes et la morale.

Au XX ème siècle, il faudra attendre Pie XI (1922-1939), qui créa Radio Vatican, Pie XII (1939-1958) et ses causeries radiodiffusées, et surtout Jean XXIII (1958-1963) pour que l’Eglise catholique révise son jugement sur la presse écrite et les médias audiovisuels, alors en pleine expansion (cinéma, radio, télévision etc.), et pour qu’elle se montre, enfin, ouverte et bienveillante. Il faut dire qu’elle mesure mieux, pour la diffusion de son propre message, le profit à tirer de ces nouveaux modes de transmission et de diffusion. Elle reconnaît peu à peu l’existence d’une opinion publique autonome, y compris dans ses propres rangs, et son rôle de contre-pouvoir nécessaire à l’équilibre de la société démocratique176.

Les textes officiels de l’Eglise catholique qui traitent de l’«apostolat de la presse » - entendons sous cette expression la mission que l’Eglise assigne à ses propres publications et à leurs acteurs : journalistes et éditeurs – marquent une évolution considérable. D’une mission de propagation des vérités religieuses et de « formation du sentiment catholique dans la vie moderne »177, la mission devient celle d’une animation de l’opinion publique, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’Eglise178.

L’étape décisive, à cet égard, est le concile Vatican II (1962-1965), un temps d’exception, on le sait, pour l’Eglise qui, sans rompre les amarres avec sa grande tradition, comme le craint une minorité d’évêques conservateurs, rejoint enfin le monde contemporain. Elle entend prendre toute sa part à la révolution introduite par la diffusion à grande échelle des nouvelles techniques audiovisuelles. Sans doute le décret du concile consacré aux médias, appelé Inter mirifica, est-il l’un des premiers adoptés, mais aussi l’un des plus bâclés et décevants au regard de cette période de grande effervescence179. Sa rédaction témoigne de résistances conservatrices. Il ne méconnaît pas le droit des hommes à informer et à être informés, ni même l’étendue des services rendus par les médias. Les médias ne sont considérés que comme des instruments de communication ; l’aspect utilitaire domine.

Grâce au pape Paul VI (1963-1978), un autre bond en avant est accompli dans cette prise de conscience des enjeux de la communication. Dans l’instruction pastorale Communion et progrès publiée le 23 mai 1971, l’Eglise passe d’une conception utilitariste des médias – moyens de combattre un ennemi et de transmettre la bonne parole – à une attention enfin portée à l’information pour elle-même, aux professionnels qui la font et à la nécessité, pour l’institution religieuse, de trouver sa place dans les nouvelles technologies et les médias d’avenir. Le ton moralisateur disparaît. La perspective est élargie et la puissance de retentissement des moyens de communication soulignée dans un sens positif.

S’agissant de la France, en jetant un regard sur le passé, l’on peut observer que l’Eglise catholique a toujours su adopter les innovations techniques pour les mettre au service de la Bonne Nouvelle. Elle a largement tiré profit de l’invention de l’imprimerie. Le texte imprimé a pris une place de plus en plus grande, surtout depuis que la plupart des gens savent lire. Comme le dit De Broucker, la presse catholique française est une réalité forte et vivante mais mal connue. Ce point de vue est relayé par Dominique Wolton qui souligne que dans la longue histoire de la communication, l’Eglise a depuis un siècle toujours été présente que ce soit avec la radio, la télévision et le cinéma180. En quoi consiste cet « apostolat de la presse » ?

Deux raisons expliquent, d’après Joseph De Broucker, la présence de l’Eglise catholique dans la presse, son engagement éditorial. Première raison, il y a les besoins d’informations et de communications propres à la « société » catholique et à ses diverses « tribus ». Ainsi donc, on distingue dans le catholicisme, la presse dite « institutionnelle », la presse dite « de mouvements », une large part de la presse dite « à diffusion locale », les publications missionnaires, les publications de spiritualité, etc. En fait, la viabilité d’un certain nombre de titres édités pour le service des communautés chrétiennes n’est certes pas confortablement assurée ni garantie. Mais c’est l’adéquation de l’offre et de la demande internes à ces communautés et non de compétitivité sur le marché commun de l’information et de la communication qui assure leur existence.

La deuxième raison est celle d’exprimer et de faire entendre la voix des catholiques dans les débats d’actualité181. Même si la grande presse idéologique et politique a pratiquement disparu, nombre de partis ou mouvances tiennent à subventionner une feuille, ou une « lettre », qui rappelle leur existence aux chroniqueurs, offre matière à écho dans les revues de presse, laisse des traces pour les historiens. Ce rôle a été longtemps tenu – mais plus de fait que de droit – par La Croix et ses suppléments ou relais régionaux. Aujourd’hui, la Croix, mais aussi tous les périodiques expressément confessionnels, chacun selon son objet, sa manière et sa périodicité, sont des vecteurs qualifiés des prises de positions catholiques, à commencer, mais sans exclusive, par celles du magistère.

En France, la hiérarchie n’a pas d’organe national de presse. Ses quelques canaux institutionnels, imprimés et radiophoniques, sont diocésains ou régionaux, et de modeste audience. Quand les personnalités ou institutions ecclésiastiques ont un message à faire passer, elles travaillent à le faire valoir sur et par la bourse publique où se cotent et s’échangent, selon les lois aléatoires du marché médiatique, les valeurs d’utilité sociale182. Ce qui est compréhensible dans un pays comme la France où les opinions sont partagées.

En effet, la presse catholique est une réalité multiforme et variée, comme l’est l’apostolat. L’Eglise catholique est appelée à communiquer avec le monde, en même temps, elle a aussi besoin de faire circuler l’information en son sein. Tout cela exige qu’elle organise sa communication. La presse comme tous les autres moyens de communication, permet l’ouverture au monde et le partage d’informations. Les organes de presse existant dans le catholicisme sont d’abord considérés comme des auxiliaires à l’apostolat. Au-delà de la ligne éditoriale qui fixe la politique à suivre, cette presse a sa logique propre ; elle est toute tournée vers la mission de l’Eglise et ne peut s’exercer en dehors de ce cadre.

Au regard de ces affirmations, peut-on affirmer que toute la presse catholique concourt à l’évangélisation ? Regardons de plus près la diversité de la « presse catholique. Nous pouvons distinguer quatre grandes catégories : les organes de communication institutionnelle, les organes d’expression religieuse, les organes de liaison associative et des organes d’accompagnement ecclésial.

Dans les organes de communication institutionnelle, d’usage interne ou externe, la communication peut être de nouvelles, de messages, de pédagogie, etc. Exemple, Semaines religieuses diocésaines aujourd’hui Bulletins diocésains, Documentation catholique. Ce sont des sources autorisées. Ces supports sont normalement sous propriété où contrôle ecclésiastique.

Dans les organes d’expression religieuse, l’expression émane de foyers intellectuels, spirituels, apostoliques ; elle s’adresse à des publics qui ont avec ces foyers des liens d’adhésion, d’affinité ou tout au moins de confiance ; cette fonction est le plus souvent assurée par des revues, d’initiative ou sous responsabilité principalement congréganiste ou universitaire. On peut en l’occurrence citer : Esprit et Vie, La Vie intellectuelle, etc.

Les organes de liaison associative établissent le contact entre des personnes qui ont en commun un même type d’engagement militant, caritatif ou autre ; ils sont un élément constitutif d’une identité de groupe ; ils sont la plupart du temps le fait de mouvements, de congrégations ou d’associations. Exemple, Les Annales du Sacré –Cœur d’Issoudun, etc.

Enfin des organes d’accompagnement ecclésial qui aident les chrétiens à comprendre et à vivre leur vie d’Eglise, de la messe dominicale à la catéchèse en passant par les temps forts de la vie ou de l’année liturgique ; ils essaient de percevoir les besoins auxquels ne répondent plus, ou pas encore, les autres presses d’Eglise ; ils peuvent être d’«économie mixte », associant des partenaires ou d’autorité ecclésiastique. Exemple, Prions en Eglise, Le pèlerin, etc.

En d’autre termes, la presse d’Eglise est constituée de tout organe de presse publié par un diocèse, un institut de vie consacré ou encore par toute autre organisation, groupe, association ou mouvement dont le but reste l’information au sein et en dehors de l’Eglise, la promotion de l’apostolat, les débats théologiques… A en croire José de Broucker, ces organes d’Eglise ne sont guère en honneur en France. Ils passent pour affaires de clercs, ou de militants plus que de journalistes ; pour l’édition ou de l’imprimé plus que pour de la presse au sens commun et réglementaire du terme ; pour des instruments de communication plus que de production d’informations et d’opinions183.

Il faut pourtant savoir que partout, hors de France, la presse catholique s’identifie pratiquement, voire exclusivement, à ces presses d’Eglise. En bien des pays, sous régimes autoritaires ou de ségrégation religieuse, il n’en est pas d’autres possibles. Et dans les pays où règnent encore les marxismes d’Etat ou les dictatures (Afrique, Asie, Amérique latine), ces petites presses d’utilité sociale, sont pour la défense des droits de l’homme et de la liberté, pour l’honneur de l’humanité et de l’Eglise. Ce qui a conduit le théologien italien Luigi Sartori à cette affirmation : « parler de la presse catholique, est une manière parmi d’autres de parler de l’Eglise »184.

D’autre part, la presse catholique en France, est représentée par des organes de presse à part entière, travaillant sous le label catholique ; c’est le cas du Journal La Croix. Nous y reviendrons. Cette presse prend une part active dans la formation de l’opinion et participe au débat de société. Elle est une tribune qui donne une lecture catholique des événements.

La presse catholique se déploie sur plusieurs plans : logique missionnaire ou pastorale, de pouvoir ou de service, laïque ou cléricale, culturelle ou religieuse, militante ou professionnelle, évangélique ou d’entreprise… autant d’options à prendre et à tenir. Les dynamismes qui font se rejoindre les partenaires du « marché » sur tel titre plutôt que sur tel autre sont variés, et leurs combinaisons varient selon les temps et les hommes. Autant d’options, autant d’équilibres à gérer entre une offre chrétienne particulière et une demande tout aussi particulière, tantôt proprement ecclésiale, tantôt plus largement sociale, tantôt encore les deux en même temps… La pluralité des fonctions, des statuts, des équipes et des économies est une des spécificités les plus notoires de la presse catholique « à la française ». Elle a son prix, au double sens du terme : elle est une valeur et elle a un coût. Le prix à payer est celui des libertés plus ou moins bien conjuguées des pasteurs, des éditeurs et des lecteurs.

En France, la presse catholique dans son ensemble se regroupe dans la Fédération Française de la Presse Catholique (FFPC), créée en Janvier 1995 par les trois organisations que sont la presse catholique locale, régionale et nationale. Le décret du Concile sur les moyens de communication sociale, Inter mirifica, a bien établi que la presse catholique ne se définit pas seulement par l’autorité dont elle se réclame, mais aussi par le but qu’elle poursuit. Selon Mgr Suhar, l’important est que ce but soit poursuivi, en cohérence, en solidarité et en communion ecclésiales185. Cela se traduit par un consensus formel autour d’un certain nombre d’interdits (apologies du sexe, de la violence, du divorce, de l’avortement…), de prudences (surtout intra-ecclésiales : théologiques, disciplinaires…) et de valeurs agréées, notamment par le concile (droits de l’homme, attention aux plus faibles et aux plus pauvres, promotion de la justice et de la paix…).

Pour qu’un journal soit dit catholique, « la grande, l’unique préoccupation du journaliste sera d’amener sa clientèle à penser, juger, agir, vivre catholiquement (…). Pour être un guide sûr, le bon journal apprendra à ses lecteurs non pas tant à savoir beaucoup de choses qu’à savoir ce que valent exactement ces choses, à porter sur elles des jugements équilibrés et sûrs186.

On comprend dès lors que la presse catholique est loin de la liberté conditionnée des autres organes qui s’en tiennent au respect de la ligne éditoriale. Les journalistes qui oeuvrent dans cette presse, sont d’abord des catholiques qui considèrent leur travail comme une mission. Aujourd’hui, on trouve des non catholiques travaillant dans la presse catholique ; leur coopération est à la mesure de leur compétence.

Les fonctions de la presse correspondent à des besoins propres de la vie chrétienne et ecclésiale. Il peut s’agir alors de donner des nouvelles de l’Eglise, ou des Eglises ; de faire écho à la voix du magistère ; d’aider chaque catégorie de croyants à comprendre et à vivre sa foi ; de donner vie à l’opinion publique dans l’Eglise ; de nourrir la réflexion, la méditation, la prière ; d’informer les militants ; de promouvoir la formation permanente des prêtres, des religieuses, des « ministres » laïcs actifs dans la catéchèse, la liturgie, les aumôneries ; d’ouvrir des forums où les catholiques peuvent se montrer, s’écouter, se parler, voire entreprendre ensemble… D’autres fonctions naissent plutôt d’énergies et de dynamismes expressifs de tropismes ou charismes particuliers. Il s’agira alors de défendre la « cause catholique » en conflit avec le siècle ; d’acculturer et de promouvoir les valeurs chrétiennes dans l’histoire au quotidien ; d’assurer une présence chrétienne dans les débats d’opinions ; d’annoncer l’Evangile à ceux que l’Eglise n’atteint pas ; d’exercer une « diaconie » d’Eglise au service des pauvres, des sans-voix, des laissés-pour-compte de l’avoir, du savoir et du pouvoir.

Au reste, la presse qu’elle soit catholique ou pas, remplit une fonction. Celle-ci change avec les besoins qu’elle doit satisfaire. Elle s’y adapte et elle évolue comme la société elle-même. Son adaptation précipite et accélère cette évolution déjà si rapide dans le monde contemporain187. En effet, il n’existe pas d’autorité pour qualifier et homologuer le label « catholique ». Sans doute celui-ci s’applique à l’évidence à tous les titres qui l’affichent ou s’en réclament exclusivement. Mais ils ne peuvent prétendre avoir l’exclusivité du témoignage et du service chrétiens dans le champ des communications sociales188.

L’état, la vitalité, la présence au monde de la presse catholique ne peuvent être que l’expression de la consistance, de la santé, du rapport au monde de la communauté chrétienne. Ainsi, dans un contexte où la pratique chrétienne a fortement baissé, cette presse ne peut qu’en subir le coup. Cependant la diversification de celle-ci fait qu’elle résiste aux assauts de la sécularisation et de la « mondanisation » de la société. La position de De Broucker, selon laquelle la presse catholique française se caractérise par des auto-recensements, dont aucun « appareil » n’a autorité ni capacité de répondre189, ne se vérifie que dans la mesure où cette capacité reste sans faille.On comprend que de toutes les presses catholiques il y en a qui se veulent et qui sont plus «presse» que d’autres, au sens industriel et marchand du terme. Elles sont les plus concernées par les mutations du « paysage médiatique ». Elles sont les plus exposées à l’épreuve du marché.

Tout compte fait, la presse catholique contribue énormément à assurer le pont entre l’Eglise catholique et la chrétienté, entre l’Eglise et la société en général. Elle permet la circulation des informations au sein de la communauté ecclésiale. Elle continue dans une certaine mesure à maintenir les liens entre les différents membres de l’Eglise et à entretenir une autre forme de participation à la vie de celle-ci, en ouvrant des fenêtres à ceux qui sont en quête de spiritualité.

Notes
172.

On trouvera en annexe, la liste des encycliques importantes.

173.

H. Tincq et G. Defois, Les médias et l’Eglise. Evangélisation et information : le conflit de deux paroles, (coll. Les médias et l’histoire), édit., CFPJ, Paris, 1997, p. 108.

174.

J. Bianchi et H. Bourgeois, Des prie- Dieu aux kiosques, dans J. De Broucker, La presse catholique en

France, p. 5.

175.

J. De Broucker, La presse catholique en France : état des lieux et des questions, édit., du Centurion, Paris, 1992, p. 31.

176.

H. Tincq et G. Defois, Op. Cit., p. 109.

177.

Message du Cardinal Pacelli (futur Pie XII) à propos d’un quotidien catholique italien en 1935.

178.

Discours de Pie XII, au Congrès international de la Presse catholique à Rome le 17 février 1950.

179.

H. Tincq et G. Defois, Op. cit., p. 109- 110.

180.

D. Wolton, L’Eglise face à la révolution de la communication et à la construction de l’Europe, dans Médias et religion en miroir ( sous la dir. P. Bréchon et J-P. Willaime), (coll. Politique d’aujourd’hui), PUF, Paris, 2000, p. 281.

181.

J. De Broucker, Op. Cit., p. 33.

182.

J. De Broucker, Idem, p. 33.

183.

J. De broucker, Idem, p. 160.

184.

J. De Broucker, Idem, p. 12.

185.

Médias. Textes des Eglises, p. 74.

186.

Discours de Mgr Suhar, dans Médias. Textes des Eglises, p. 75.

187.

G. Hourdin, La Presse catholique (coll. Je sais- Je crois), édit., Librairie Arthème Fayard, Paris, 1957, p. 48.

188.

J. De Broucker, Op. Cit., p. 11.

189.

Voir J. De Broucker, Idem., p. 27.