L’ouverture au monde qui va de pair avec l’évangélisation nous amène ainsi à parler des rapports entre le locuteur et l’auditeur ; rapport que nous retrouvons dans la stratégie de programmation.
La sociologie et l’histoire françaises des pratiques culturelles, influencées par l’empirisme américain, l’esthétique de la réception et la culture du pauvre de Richard Hoggart, réhabilitent progressivement les récepteurs – désormais clairement conçus avec Michel de Certeau comme des acteurs dotés de compétences d’interprétation et de résistance. Ce constat, est approfondi par les Cultural Studies britanniques et américaines. La communication de masse est un dialogue hiérarchisé mais elle est bien un dialogue, y compris dans la domination et la souffrance. Elle forme un jeu où se négocient les multiples rapports de classes, de genres et d’âges, et non seulement la domination d’un centre à l’égard d’une périphérie.
La culture « populaire » ou « de masse » n’est ni une expression artistique libérée des contraintes de classes ni l’effet pur d’une domination : elle est un rapport négocié, mais à l’avantage des milieux dominants358. En effet, les « cultural studies » (études culturelles) assignent au récepteur une place active dans la communication. Cette méthode insiste sur le fait que l’Emetteur doit tenir compte des préoccupations, des problèmes du récepteur dans la communication. La réception d’un message est garantie dans la mesure où l’Emetteur prend en compte les problèmes liés à la vie de ceux qui le reçoivent.
La radio Notre-Dame qui veut s’occuper de la promotion de l’homme dans toutes ses dimensions essaie, dans sa stratégie, de prendre en compte cette dimension de la communication. Certaines émissions telles que L’invité de Denise Dumolin, le bistrot de la vie animée par Billie, Esprit de famille de Anne Gavani, Les chrétiens dans le monde, émission conjointe des Oeuvres Pontificales Missionnaires et de l’Aide à l’Eglise en Détresse et la fondation Raoul Follereau, Le téléphone du dimanche présentée par Jean- Marie et Jean-Claude et Génération de Marco, illustrent la place qu’occupe l’homme dans la programmation.
Avec L’Invité de Denise Dumolin, les questions liées à l’existence concrète sont discutées. L’esprit de Famille et les chrétiens dans le monde traitent des questions qui touchent à la vie de l’homme en société et sa responsabilité en tant que chrétien. Le Téléphone du dimanche et Génération, mettent en relief la solidarité, le vivre ensemble, l’entraide, etc. Autant de questions que ces émissions traitent, dans le respect de la ligne éditoriale.
Pendant que L’invité développe une vision incarnée, réelle de la vie, à travers le témoignage de quelqu’un, l’Esprit de Famille, parle de l’unité dans la diversité et l’espoir d’une vie d’entente et de compréhension. L’émission, Les chrétiens dans le monde pour sa part, s’appesantit sur la place et le rôle de ces derniers dans l’édification d’un monde plus humain. Le Téléphone du dimanche et Génération montrent qu’il est possible de rapprocher les hommes des idées et des tendances différentes. On peut donc remarquer que les émissions que nous venons de citer, ne s’éloignent pratiquement pas de la ligne éditoriale. Plus loin nous analyserons ce que peut être leur incidence sur l’évangélisation.
D’autre part, la réception et la diffusion des messages gagnent en s’appuyant sur la négociation. En effet, un groupe social négocie sa réception à partir de sa culture propre, avec ce qu’elle a de mémoire sociale spécifique, de connaissances stockées, d’attentes déployées, de ressources symboliques. De même, les individus opèrent des transactions entre ce qu’ils portent en eux-mêmes, à cause de leur histoire personnelle ou de la situation dans laquelle ils se trouvent. La négociation conduit à réaménager le message. Le récepteur–négociateur repère d’abord, dans ce qui lui parvient, les points gratifiants ou les points choquants, les zones d’accord et les zones de désaccord, les éléments qui entraînent spontanément son adhésion et ceux qui la bloquent d’entrée. Puis il travaille sur ces impressions immédiates, il distingue des séquences, découpe des objets, fait des tris, gère ses identifications, contrôle ses mécanismes de défense359. La négociation se fait autant par les médias que par les récepteurs.
Ce caractère négocié de la réception se manifeste encore par la difficulté que l’on éprouve à dégager des normes pouvant permettre de prévoir ce qui se passera, dans le public. Comme un jeu, la négociation implique une culture. C’est un jeu complexe qui demande entraînement et vigilance. La négociation s’apprend. C’est un art qui suppose un goût pour des conduites souples et adaptatives, à dominante de coopération contrôlée plus que le conflit ouvert ou de résistance non déclarée. Quand elle négocie, la réception expérimente la perception sélective ; elle développe le sens tactique qui permet de sentir quand il faut avancer ou reculer et qui rend capable d’anticiper les compromis pour pouvoir les négocier, le moment venu360. Bref, les nouvelles technologies de l’information et de la communication ont en commun de se définir moins par ce qu’elles sont que par ce que les usagers en font. Autrement dit, c’est leur usage qui leur confère un sens, comme nous l’avons déjà souligné.
Au regard de ce qui précède, il faut dire qu’à la différence du journal La Croix, le personnel de Notre-Dame est au service du diocèse de Paris. L’organisation des émissions tient compte des instructions et des objectifs fixés par l’archevêché. Ce qui ne lui empêche pas d’avoir ses repères propres, c’est ce que nous avons souligné plus haut en parlant de la ligne éditoriale.
Dans son fonctionnement, cette radio met en place des stratégies d’accompagnement, d’écoute et de dialogue. Selon Jean Bianchi, les radios chrétiennes tiennent un pacte de compagnonnage et de familiarité. Elles se positionnent face à la forte demande d’information de proximité de leur public. Ce pacte poursuit-il, réveille, rétablit, entretient et développe le sentiment d’appartenance à l’Eglise. Il exauce le vœu de ne pas perdre le contact avec l’Eglise, en particulier locale361. La radio Notre–Dame accompagne les auditeurs dans l’apprentissage et l’approfondissement de la foi, elle brise la solitude et accompagne dans la prière. Elle fait participer au débat de société et au débat au sein de l’Eglise. Elle tente d’apporter un éclairage à certains problèmes de l’homme et cherche à rapprocher les hommes entre eux. Sa programmation se fait en trois directions : la transmission et l’apprentissage de la foi, la reconnaissance et la transmission du lien social et enfin l’éducation, la solidarité et l’engagement.
En tant que lieu de la transmission et de l’apprentissage de la foi, la radio catholique est une grande catéchèse tournée vers le monde. Cela dans la logique de ce qu’affirme Mc Luhan à savoir : « le média est le message ». La radio Notre-Dame est elle–même une catéchèse pour autant qu’elle révèle au monde une communication ancrée totalement dans une démarche de foi ; elle est la voix de la catholicité. De ce point de vue, ses auditeurs savent d’avance ce qu’ils vont y chercher. Elle est un lieu de découverte, d’apprentissage et d’approfondissement du catholicisme. C’est ce que Jean Bianchi appelle le « pacte didactique » de la radio, c’est-à-dire son usage comme instance d’enseignement. Les émissions portant sur l’enseignement religieux sont généralement axées sur la formation biblique, théologique, liturgique ou d’histoire religieuse. Il concerne le plus souvent les catholiques ; c’est une catéchèse interne à l’Eglise.
On y trouve aussi la recension de certains ouvrages et même certains débats instructifs sur des questions d’actualité, sur des questions morales ou ecclésiales, etc. L’impact de ces émissions de formation peut se prolonger avec la réalisation des CD mis à la disposition des auditeurs qui en feraient la demande. Ces supports CD peuvent servir à usage individuel ou collectif. Bernard Goureau362 voit dans cette fonction d’enseignement et de formation une ouverture à la mission de l’Eglise, du fait de la raréfaction des prêtres.
Notre-Dame est aussi un lieu de reconnaissance et de transmission du lien social. Elle veut faciliter la vie des familles en portant un regard chrétien sur des questions qui les touchent : vie quotidienne, éducation, travail, pratique religieuse, santé, culture, loisirs, etc. C’est ainsi qu’elle organise des émissions de débats sur des problèmes de société. On citera en l’occurrence l’émission Esprit de famille de Anne Gavini. Cette émission conduit l’homme à se positionner par rapport à la famille et donc par rapport à lui-même. L’homme est le produit d’une famille. Parler de la famille, c’est en fait mettre l’homme au coeur même du débat de société, c’est-à-dire au coeur de la communication. Il convient toutefois de signaler qu’en parlant de la famille, Notre-Dame centre son message sur les familles catholiques traditionnelles. Ce sont généralement des familles urbaines, bourgeoises. Il s’agit d’étendre cette vision de la famille en prenant en compte l’évolution de la société, ainsi que les problèmes concrets auxquels font face les familles d’aujourd’hui. C’est le cas des familles endettées, sans logis, c’est le cas des familles immigrées des banlieues, avec leur lot de problèmes, c’est le cas aussi des couples qui sont au chômage, etc.
Pour soutenir l’éducation et la solidarité, elle insiste sur le témoignage. On peut citer l’émission L’invité… de Denise Dumolin, qui reçoit des hommes et des femmes, célèbres ou inconnus, écrivains, artistes et témoins de la foi pour partager leurs expériences. L’importance de ces émissions repose sur le fait qu’ils offrent aux auditeurs, la possibilité de s’identifier aux personnes qui témoignent à l’antenne363. Tous ces gens qui défilent à l’antenne, humbles ou marquants, actifs ou contemplatifs, dessinent le visage actuel de l’Eglise.
Au reste, l’éducation des jeunes est un aspect important de l’évangélisation. La construction de la société de demain passe par l’éducation. Cette mission est traditionnellement dévolue à la famille et à l’école. Les médias s’y mêlent en y apportant leurs touches. A la différence de la famille et de l’école, Notre–Dame à travers ses émissions, insiste sur l’héroïsme, la charité, l’esprit de service, etc.
Cette radio répond aussi au besoin de prière. Il s’agit de prières mariales (le chapelet), de prières monastiques, de prières d’équipes locales et de célébrations eucharistiques. S’ajoutent à ces émissions régulières, des réalisations ponctuelles, qui peuvent être soit des rassemblements ou des temps forts diocésains ou régionaux.
En effet, toutes les émissions de radio Notre-Dame ne concourent pas directement à la foi, même si on peut établir des liens. C’est le cas de l’émission Les médias en question présentée par Emmanuel de la Taille et Aymeric Pourbaix, qui décrypte et analyse l’actualité en faisant ressortir les interprétations dominantes afin d’en tirer librement une opinion. C’est également le cas Des goûts et des couleurs de Paul Sinety, qui se penche sur ce qui ce passe à Paris dans les domaines du théâtre, des livres, des films ou de la musique ; le but étant d’établir un lien entre l’Eglise et le monde de la culture. Il est un fait que dans une radio à identité très affirmée comme c’est le cas de Notre-Dame, les émissions culturelles détachées de toute connotation religieuse ont rarement la chance d’accrocher les auditeurs.
L’on sait par ailleurs, que l’Eglise s’intéresse à tout ce qui touche à la vie de l’homme. L’homme dit Jean-Paul II est le chemin de l’Eglise. Celle-ci considère que tout ce qui va dans le sens de la promotion de l’homme ou simplement ce qui touche à l’homme, est susceptible d’être traité avec la plus grande attention. Ce phénomène prend de l’ampleur en ces temps où les médias deviennent incontournables pour l’évangélisation. Avec les médias, l’évangélisation passe par le dialogue ou la rencontre de l’Evangile et de la culture. Mais quelle différence peut-on relever avec la manière dont l’Eglise catholique a toujours abordé la question de la culture ?
Dans l’Eglise, le rapport entre culture et Evangile s’appelle inculturation. Celle–ci est un processus et en même temps une démarche de foi pour ouvrir les communautés au Christ et à la Parole de Dieu. Elle est également une démarche qui consiste à ouvrir l’Eglise aux cultures, en vue de l’évangélisation. Parmi les sujets touchant à l’inculturation, nous pouvons relever : la traduction de la Parole Révélée dans les langues locales, l’instauration de la catéchèse en langues du pays, la liturgie, l’art, ainsi que les cultes et rites culturels et religieux. De nos jours, la question de la culture n’est plus traitée de la même manière que l’ont fait les théologiens. La culture à l’ère des médias renvoie à la modernité, au progrès, à la science qui les sous-tendent ; elle se réfère moins à l’espace et au temps. La culture renvoie d’abord au progrès technologique et à tout ce qui tourne autour. Ce dernier, bien qu’il soit globalisant à l’ère du multimédia et de l’Internet, est en rapport avec les usages qu’on en fait et le milieu qui le produit ou qui s’en sert.
Certains éléments nous permettent d’identifier la « culture médiatique » ou la culture de la communication : variété des sources et libre circulation de l’information ; modification du rapport à la vérité ; recherche individuelle du salut (la foi est fondée sur des choix personnels) ; changement dans le mode d’appartenance à l’Eglise ; une information éclatée et fragmentée ; accès plus individualisé aux biens culturels, etc.
Que dire alors de l’évangélisation ? L’évangélisation dit Henri Bourgeois, travaille pour ce qui est commun à l’humanité, elle contribue au potentiel disponible parmi les humains. Mais elle ne saurait, pour autant, renoncer à faire valoir son originalité car cela aussi appartient à sa responsabilité. Quand elle intervient dans la culture médiatique, l’évangélisation réalise qu’elle n’est pas seule à opérer sur ce terrain. D’autres formes d’expérience spirituelle sont proposées à nos contemporains. En effet, faire apparaître l’originalité dont on est porteur, cela suppose que l’on puisse accéder à celle d’autrui, de manière à relativiser mais aussi à réexprimer son propre patrimoine364. Une manière de travailler l’originalité, c’est d’être attentif aux résistances que rencontre le message ; d’où la question de langage. Pour Jean-Paul II, la question posée aujourd’hui à l’Eglise n’est plus celle de savoir si l’homme de la rue peut encore percevoir un message religieux, mais celle de trouver les meilleurs langages de communication qui lui permettront de donner tout son impact au message évangélique365.
Pour un destinateur institutionnel, public, associatif ou privé, la définition d’une véritable stratégie pour bien communiquer est une garantie d’efficacité. A partir d’axes solidement fondés, la stratégie se définit sur mesure ; elle inscrit dans la durée les actions de communication et leur garantit la cohérence sans laquelle il n’y a pas de visibilité des messages. Elle intègre une réflexion sur l’identité qu’il s’agisse des territoires, des activités ou des projets, avec un même enjeu, être visible, lisible. Pour fédérer, partager et mobiliser, en interne : habitants, acteurs, adhérents… pour dialoguer, convaincre, séduire, en externe : usagers, partenaires, relais, etc. Communiquer, c’est toujours et nécessairement tenir compte de l’autre, de ce qu’il est, de ses idées. Cela est important parce qu’il conditionne la réussite ou non de la communication. « Communiquer, dit Bateson, c’est entrer dans l’orchestre ».
Dans la communication, disent à juste titre Paul Watzlawick et ses collègues de l’école de Palo Alto, il n’y a pas que la médiatisation du contenu, il y a la relation366. « La part de relation qui lui est propre et ses caractéristiques tant énonciatives que pragmatiques doivent donc à leur tour être médiatisées dans le dispositif »367. En d’autres termes, on médiatise un contenu, on l’exprime dans le langage caractéristique d’un média donné.
Pour revenir à l’évangélisation, il convient de souligner que l’expérience de la Foi chrétienne est l’expérience d’une alliance entre Dieu et l’homme. Autrement dit, c’est l’expérience d’une communication personnelle établie par un message. Dans cette expérience, il y a toujours trois partenaires : le messager, le destinataire et Dieu. C’est-à-dire trois personnes qui communiquent par une parole jamais saturée368. Du point de vue de l’Eglise, la « parole » chrétienne se formule à trois niveaux, au niveau biblique qui est avant tout l’histoire d’une alliance, au niveau dogmatique qui est la formule unifiante des expressions de la Foi, et au niveau théologique qui est la réflexion à partir du domaine révélé. Ainsi donc, dans l’évangélisation, les trois niveaux sont nécessaires et complémentaires ; mais il est toujours recommandé de partir de la Parole biblique, expression de témoignage d’alliance à travers une histoire de l’Ancien et du Nouveau Testament. Cette tridimensionnalité de l’objet de l’évangélisation laisse la place à l’adaptation, au dialogue avec les cultures, bref à l’insertion de l’Eglise dans le monde.
Si le message reste le même, la manière de l’expliquer et de le comprendre évolue selon les circonstances ou les événements. Tel est le grand défi de l’Eglise : chercher à rendre l’Evangile audible et crédible à l’homme d’aujourd’hui. Cela susciterait la confiance et nous savons que dans le monde quotidien des médias et de la communication, « cet a priori de confiance lucide et responsable est fondamental pour que fonctionne véritablement une communication »369.
S’agissant de la réception, il convient de dire que parmi les auditeurs de la radio Notre-Dame, tous ne reçoivent pas les émissions de la même manière. Les catholiques pratiquants considèrent la radio comme le prolongement de la vie paroissiale, mieux de la célébration eucharistique. Ce faisant, ils y trouvent l’approfondissement de l’homélie, des enseignements précis sur certains sujets, des encouragements à la prière, l’appel à la conversion et à la charité, etc. La radio les accompagne pour ainsi dire, dans leur vie de tous les jours et à chaque instant. Elle est en quelque sorte un garde-fou, un service ecclésial en continu. C’est un véritable moyen qui aide au maintien de la santé spirituelle ; elle contribue à l’apprentissage et à l’approfondissement de la Bible, de l’Eglise et de son enseignement, elle est une compagne fidèle.
Pour les catholiques non pratiquants, elle est un moyen de garder des liens avec l’Eglise, de s’informer sur ce qui s’y passe. La radio leur offre également l’occasion d’être en contact avec la Parole de Dieu s’ils le souhaitent. Elle les tient près de l’Eglise.
Au regard des « chercheurs de spiritualité », Notre-Dame leur donne l’opportunité de découvrir l’Eglise catholique, de l’expérimenter par eux-mêmes avant de faire, s’ils le veulent, une démarche d’engagement. Elle se présente comme une école où l’on peut librement apprendre à connaître le catholicisme.
Bref, si Notre-Dame participe à l’accompagnement spirituel des catholiques pratiquants, elle garde près de l’Eglise les chrétiens qui y ont reçu le baptême et qui pour plusieurs raisons ne pratiquent plus leur foi ou le font occasionnellement. A l’égard des non baptisés ou des croyants qui se cherchent une voie, elle propose un seuil, des rites, des prières et des enseignements sur le catholicisme, qui peuvent déboucher ou non sur la foi catholique.
E. Maigret, Sociologie de la communication et des médias, édit., Armand Colin, Paris, 2003, p. 151.
J. Bianchi, J. et H. Bourgeois, Les médias côté public. Le jeu de la réception, (coll. Fréquence), édit., du Centurion, Paris, 1992, p. 68.
J. Bianchi et H. Bourgeois, Op. Cit., p. 73.
J. Bianchi, Un long désir de radio, dans Une Eglise des ondes ? édit., Profac, Lyon, 2002, p. 30-31.
B. Goureau, Le religieux à la radio : conditions d’une réception fructueuse, dans Une Eglise des ondes ? p. 92
B. Goureau, Art. Cit., p. 90
H. Bourgeois, Intelligence et passion de la foi, p. 306.
Les Médias. Textes des Eglises, p. 423.
Cf. P. Watzlawick, Le langage du changement : éléments de communication thérapeutique, édit., du Seuil, Paris, 2000, 184 p. ; Edmund Marc et Dominique Picard, Ecole de Palo Alto : un nuveau regard sur les relations humaines, (coll. Psychologie dynamique), édit., Retz, Paris, 2006, 223 p.
J-P Meunier et D. Peraya, Introduction aux théories de la communication. Analyse sémio-pragmatique de la communication médiatique, (coll. Culture et communication), édit., De Boeck, Bruxelles, 2004, p. 412.
M. Boullet, « Philosophie et théologie de la communication », dans Les médias et nous, p. 56.
M. Boullet, Idem, p. 57.