d) Institut supérieur pour la communication, l’audiovisuel et le multimédia (basé à Toulouse).

L’ISCAM est un des organismes du pôle « Conseil et Recherche » de l’ICT.
Il comporte deux secteurs d'activités :

Le département ISCAM du Web : pour la création et la gestion de sites/bases de données.
Le département ISCAM de formation : pour la formation à la communication, l’audiovisuel et le multimédia.

Pour ces 2 domaines, l’ISCAM est inséré dans un réseau de partenariats multiples :

• Avec les différentes facultés du  pôle « Sciences théologiques et religieuses » de l’ICT : la Faculté de théologie, l’Institut d’Etudes religieuses et Pastorales ( IERP), l’Année de Formation permanente (AFP).
• Avec les instances pastorales du Grand Sud-ouest (Diocèses, mouvements, services).
• Avec d’autres organismes : l’Ecole de journalisme de Toulouse (EJT), l’Institut pour le Recrutement et la Formation des maîtres et personnels de l’Enseignement catholique (IRFEC), l’enseignement catholique ( ARPEC)

Avec son approche spécifique, associant production et formation dans les domaines de l'audiovisuel et du multimédia, il participe à la dynamique de

l’ICT, espace universitaire pour le Grand Sud-Ouest. Ceci nous amène ainsi à parler des médias audiovisuels dans l’Eglise.

Pour clore cette partie, disons, avec Jean Hourdin qu’à travers les formules différentes auxquelles il peut et doit faire faire appel, malgré les difficultés qu’il rencontre sur sa route, la tâche du journaliste chrétien reste en définitive de faire aimer et faire connaître l’Eglise, son institution, sa vie, sa liturgie, sa doctrine, son message , les enseignements de la hiérarchie et la vie de ses fidèles, accompagner l’Eglise dans la recherche de la justice et l’établissement d’un monde meilleur, etc.

Cependant le journaliste peut buter à des difficultés, dues au fait que l’Eglise aime le secret, la discrétion. Tout n’est pas à publier ; une certaine censure plane toujours sur la tête de ceux qui écrivent.

D’autre part, les quelques agences de presse qui existent, vivent difficilement avec des subventions, ce qui fait qu’elles manquent de variété dans les nouvelles à transmettre.