L’attachement désorganisé/désorienté

J. Bowlby avait observé que, lorsque les enfants vivent des situations de négligence ou de maltraitance, leur représentation primaire d’eux-mêmes est une représentation dans laquelle ils se sentent non-désirables et non-aimables. La représentation dominante de la figure d’attachement qui reflète cela est celle d’un objet qui ne se préoccupe pas et qui rejette. J. Bowlby avait néanmoins trouvé que ce modèle peut être en conflit avec d’autres représentations plus positives, réelles ou imaginées, de soi et des autres, que les enfants développent dès la naissance. Ceci avait conduit Bowlby à décrire en 1979242 ce qu’il a nommé des « systèmes séparés » ou des « modes d’attachement fragmentés », qui seraient réprimés car trop douloureux pour être gardés à la conscience. Ces modes ne seraient pas « oubliés », mais relégués dans l’inconscient. Ils continueraient d’opérer, dès qu’ils seraient activés par des expériences interactives qui appellent des indices d’attachement normaux. Leurs manifestations apparaîtraient irrationnelles, imprévisibles, hors contexte et hors contrôle. D’autre part, certains enfants pourraient présenter plusieurs types de comportements d’attachement, qui correspondraient à des modèles internes opérants parallèles. L’un répondrait à la figure d’attachement intégrée « maman triste », par exemple, l’autre à « maman fâchée », une autre à « maman en besoin », une autre encore à « maman attentive ». Le problème est que ces enfants ne savent jamais si le modèle interne activé est adéquat, et si le comportement d’attachement associé sera bien accordé à l’état émotionnel réel de l’objet…

Contrairement aux enfants évitants et ambivalents, les enfants désorganisés-désorientés ne semblent pas avoir développé de stratégies adéquates et cohérentes pour gérer le stress de la séparation. Placés dans la « strange situation », ils présentent des réactions individuelles variables. L’enfant peut demeurer pétrifié, immobile, tomber face contre terre, avoir des stéréotypies ressemblant à des tics, ou montrer simultanément des modèles de comportements contradictoires, comme marcher en détournant la tête. Souvent un mouvement vers la mère est freiné et détourné à la dernière minute. Selon J. Solomon et C. George243, l’aspect le plus extrême de l’attachement désorganisé est celui de la dissociation.

La désorganisation correspondrait à un conflit non-résolu entre deux stratégies incompatibles, et se traduirait par une interruption prématurée du comportement d’attachement ou par l’activation simultanée de comportements contradictoires de recherche et de fuite, ou encore par des manifestations d’effroi, du type des états d’alarme « lutte, fuite, blocage » que j’ai déjà signalés.

Le mode d’attachement désorganisé se développerait quand les figures d’attachement ne parviennent pas à inhiber une activation forte ou chronique du système d’attachement. Par exemple, lorsque les figures d’attachement ne peuvent pas diminuer l’inconfort, la douleur ou l’anxiété. Le manque d’attitude régulatrice et apaisante de la part de la figure d’attachement semble être un aspect interactif important dans l’établissement de modes d’attachement désorganisé. La rupture temporaire des liens d’attachement pendant la phase de socialisation doit être immédiatement réparée par la figure d’attachement, pour que l’enfant se sente réconforté, sécurisé et rétabli dans son sentiment de continuité d’existence et de capacité d’influence sur son sort. Les recherches en neurologie que j’ai présentées plus haut montrent en effet que si cela ne se produit pas, le système cérébral est soumis à des niveaux de stress extrêmes, aux conséquences à terme très dommageables pour son développement. D’autre part, A.N. Schore244 montre que cela conduit à des réponses exprimées de façon bi-modale, soit comme une « honte décourageante », soit comme une « honte-colère ».

Mais cela ne suffirait pas à la constitution d’un attachement désorganisé qui se développerait si la figure d’attachement était perçue comme la source de la détresse.

Selon les recherches de M. Main, les comportements de l’enfant trahissent son incapacité à faire face et à résoudre la situation de stress, car le parent serait à la fois source d’anxiété et potentiel de sécurité. Dans ce cas, la figure d’attachement émet un stimulus paradoxal : l’enfant est alors partagé entre la terreur du contact et la terreur du rejet.

Elle écrit245 :

‘« La situation est insoluble parce que le rejet par une personne avec laquelle l’attachement a été établi active des pulsions simultanées et contradictoires d’approche et de retrait. Le nourrisson ne peut s’approcher à cause du rejet du parent, et ne peut se retirer à cause de son propre attachement. La situation se poursuit en cercle fermé parce que la rebuffade augmente l’alarme, et donc augmente l’attachement, ce qui conduit à une rebuffade plus forte, qui augmente encore l’alarme et encore plus l’attachement. En d’autres mots, en repoussant son nourrisson, sa mère l’attire en même temps. »’

M. Berger comprend ce phénomène comme un type particulier de « Syndrome de Stockholm » 246.

Ceci mène à un effondrement des comportements d’attachement organisés. L’enfant ne peut ni s’approcher (stratégies sécurisées et résistantes ambivalentes), ni détourner son attention (stratégies évitantes).

M. Main rapporte que les parents des enfants classés « désorganisés » qu’elle a observés semblent effrayés, effrayant ou désorientés dans leur communication avec leur enfant, alors que Lyons-Ruth et al.247 impliquent l’incohérence relationnelle, dérivée d’états d’esprit parentaux non-intégrés. Ainsi, un nourrisson dont la mère alcoolique peut, d’un moment à l’autre, se montrer attentive ou indisponible affectivement, serait à la fois témoin et sujet de peur. Il ressentirait alors « confusion et chaos » au lieu de « contenance et prévisibilité ».

Il me semble que l’on retrouve ici les conditions d’établissement de l’objet interne tyrannique en forme de « dieu mythologique » à la place du « compagnon évoqué », que j’ai présenté plus haut, en appui sur les propositions de D. Stern quant aux effets des expériences de désaccordage avec l’objet premier.

La classification désorganisée-désorientée est donc associée à la maltraitance de l’enfant, ainsi qu’à des traumas non résolus dans l’histoire du parent. Des causes plus subtiles, mais ressenties profondément du point de vue de l’enfant comme des moments de dissociation et d’effroi observés chez les parents, pourraient également contribuer à susciter la peur de l’enfant. La prévalence de l’attachement désorganisé est fortement associée à la présence de facteurs de risque dans la famille comme la maltraitance, la dépression majeure ou le trouble bi-polaire, l’alcoolisme et la toxicomanie. Néanmoins, d’autres caractéristiques semblent devoir être considérées à propos de l’étiologie de l’attachement désorganisé.

A.Burnell248 repère ainsi les facteurs suivants :

M. Main et J. Cassidy249 ont utilisé des jeux avec des poupées et des cartes d’histoires à compléter avec des séries en lien avec l’attachement pour examiner les représentations mentales des enfants présentant des attachements désorganisés. Leurs études montrent que leurs attachements tendent à être fondée par le désespoir et la solitude. Les histoires fournies par ces enfants étaient de deux sortes : soit elles contenaient des éléments de danger et de chaos, soit elles étaient d’une grande pauvreté, monotones, sans personnage, et reflétaient une inhibition importante des capacités de jeu imaginaire et de création de scenari. Il semble que ces enfants évitent activement de penser sur une situation ressentie comme très angoissante. Elles écrivent :

‘« Le premier groupe est caractérisé par la description d’événements chaotiques et effrayants menant à la séparation et souvent à la désintégration de la famille. (…) la peur gît au cœur de la désorganisation. Quand les enfants racontent leur histoire, ils sont souvent incapables de la contrôler et de l’organiser. Ils semblent « conduits », « submergés » par le contenu qui dépeint des personnes diaboliques et des monstres qui semblent arriver de nulle part ou s’évanouir pour réapparaître. Ces histoires ressemblent à des cauchemars. » (p.417) ’

Plusieurs études récentes laissent croire que la désorganisation de l’attachement chez l’enfant est liée à la psychopathologie. Ce type d’attachement serait présent chez environ 15% de la population. Par ailleurs, les recherches montrent que 80% des enfants avec des attachements désorganisés ont été maltraités et font preuve d’une incapacité marquée à faire appel et à utiliser les personnes ressources de leur environnement pour s’apaiser. Il semble qu’ils développent plutôt des attitudes de co-régulation pour l’objet, associées à des méthodes pathologiques d’autorégulation250 ; j’y reviendrai.

M. Lamour251, reprenant les travaux d’Emmi Pickler, a étudié le mode de relation pathologique privilégié de l’enfant avec ses partenaires en l’associant à des « patterns interactifs inadéquats ». Selon ces travaux, ceux-ci suscitent une régulation de l’interaction envahie par le déploiement de mécanismes adaptatifs distordus, souvent identiques à ceux appliqués par l’objet premier. La rencontre avec ces mécanismes aurait constitué des expériences subjectives primitives traumatiques, inscrites dans des schèmes mémoriels, ou « mémoires procédurales », qui tendraient à donner leur forme aux expériences analogues ultérieures.

Ce point m’a évoqué le principe éminemment complexe du refoulement originaire chez Freud. Dans les descriptions successives que Freud en donne tout au long de son œuvre, il le présente comme le premier temps du refoulement, conçu comme une fixation des pulsions correspondant, à chaque stade libidinal, à des représentations particulières, inscrites à leur tour de ce fait dans l’inconscient. Cette représentation subsisterait ainsi de façon inaltérable et exercerait une attraction irrépressible sur toutes les représentations ultérieures destinées à être refoulées. Le point qui a particulièrement retenu mon attention, pour les effets de résonance que le concept de « modèle interne opérant » semble avoir avec lui, est que Freud indique252 que l’origine du refoulement originaire serait à rechercher dans des expériences archaïques très fortes. Il écrit (p. 65) :

‘« Il est tout à fait plausible que des facteurs quantitatifs comme une trop grande force de l’excitation et l’effraction du pare-excitations soient les premières occasions où se produisent les refoulements originaires ». ’

En d’autres termes, mais en m’appuyant toujours sur le référentiel freudien, je dirai que l’origine des refoulements originaires serait donc des traumatismes relationnels précoces.

A ce point de l’analyse, que pouvons-nous retenir de ces présentations en vue de la construction de notre démarche de recherche ?

« Refoulements originaires » selon Freud, « représentations d’interactions généralisées » selon D. Stern, « cartes routières internes » selon C. Archer, « modèles internes opérants » selon J. Bowlby, « schèmes mémoriels procéduraux » ou « patterns interactifs et comportementaux » pour M. Lamour, l’ensemble de ces appellations me semblent correspondre à un même principe d’inscription très précoce et durable d’abstractions réalisées par le nourrisson à partir de ses expériences subjectives, éprouvées lors des premières interactions avec son environnement.

La seconde caractéristique commune à ces différents modèles me semble résider dans le fait qu’une fois ces abstractions inscrites, elles servent de guides, d’organisateurs, de référence pour l’appréhension et la détermination des réactions à toute nouvelle expérience ultérieure, a minima similaire. Il semble donc que ceci conduise les sujets à manifester une tendance à reproduire les mêmes types de relation avec toute personne rencontrée.

La prise en considération des recherches fondées sur une observation fine et précise de nourrissons que je viens de présenter, amène à concevoir un élargissement temporel du concept de Modèle Interne Opérant défini par J. Bowlby. Classiquement, les théoriciens de l’attachement expliquaient que l’attachement entre le bébé et le parent commence après les 6 premiers mois de la vie d’un enfant. Ceci parce que les signes externes, manifestes, de l’angoisse de séparation ne sont pas évidents avant qu’un bébé n’atteigne 6 mois. Or, on a aujourd’hui des preuves qu’il existe des réactions globales beaucoup plus précoces à la détresse, ainsi que des capacités de traitement des expériences sensorielles et émotionnelles, notamment des capacités de discrimination, mémorisation et abstraction dès l’aube de la vie. Ceci permet de resituer chronologiquement et historiquement le début de la constitution de modèles internes opérants à l’origine de la vie d’un sujet, avant même sa sortie du ventre maternel.

C’est dans l’acception ainsi étendue du concept que j’utiliserai le terme « Modèle interne opérant » (M.I.O.) au cours du développement de ma propre recherche.

Je propose donc une étude, chez les enfants qui ont vécu des traumatismes relationnels précoces, du « modèle interne opérant de la rencontre d’objet» et de « l’appareil à relationner », des phénomènes transubjectifs qui en découlent, ainsi que des réactions intersubjectives et interpersonnelles qui génèrent la reproduction des patterns interactifs inadéquats.

J’ai fait le choix d’aborder les processus inhérents au lien traumatique uniquement dans leur expression intra et inter-individuelle, bien qu’une approche groupale, et l’appréhension des phénomène observés en systèmes et modes de fonctionnement groupaux, fussent sans doute pertinentes et complémentaires. Pour cela, je pars du principe que le lien traumatique condense les expériences subjectives primitives, les relations d’objet primaires intériorisées, les aléas des processus de liaison congruents, et les phénomènes d’aliénation à l’objet réel. Cette logique me semble pouvoir permettre d’étudier les liens entre le sujet et ses objets externes d’investissement, sur lesquels opèrent les comportements du sujet dans un contexte relationnel déterminé.

Dans cette perspective, je me suis intéressée à l’approche de S. Ferenczi. En effet, celui-ci semble avoir toujours pensé la clinique de l’enfant en articulant symptômes et environnement affectif. Il a tenté d’orienter le travail de la psychanalyse sur la nature des liens et des échanges entre adultes et enfants, sur le plan de l’intersubjectivité et des relations interindividuelles, plutôt que de l’intra-subjectivité253, ce qui a constitué le point de rupture avec l’approche freudienne. Par ailleurs, il a été un des premiers psychanalystes de son temps à proposer des observations cliniques et une compréhension possible des effets du trauma sur la psyché, ainsi que de ses répercussions sur la personnalité infantile et adulte. Il a surtout été pionnier dans la tentative de déchiffrage des effets traumatiques des défaillances de l’environnement affectif précoce sur le développement de l’enfant.

R. Guimaraes254 adresse un vibrant hommage aux thèses de S. Ferenczi, et reprend ses interrogations afin d’exposer comment celui-ci, en mettant l’accent sur la prise en compte du trauma, introduisit une vision explicite des troubles du développement de l’enfant en lien avec les qualités de son environnement affectif. Selon elle, la perspective ouverte par S. Ferenczi sur les facteurs interpersonnels impliqués dans la construction du psychisme humain confirme toute l’actualité de sa recherche tant dans la théorie du développement de l’enfant en interaction avec le milieu familial que dans les modes possibles de « remédiation » ou de « réparation » pour l’enfant ou l’adulte. Elle remarque que S. Ferenczi s’intéressait aux mesures de réparation des effets d’un environnement blessant sur le développement de l’enfant, bien avant l’avènement et le succès du concept de résilience de B. Cyrulnik.

Elle rappelle que S. Ferenczi255 écrivait (p. 93) :

‘« Le matériel mnésique mis au jour ou confirmé par la néocatharsis a redonné une grande importance au facteur traumatique originel dans l’équation étiologique des névroses. Les mesures de précaution de l’hystérie et les évitements obsessionnels peuvent trouver leur explication par des formations fantasmatiques purement psychiques ; ce sont toujours de réels bouleversements et conflits avec le monde extérieur qui sont traumatiques et ont un effet de choc, qui donnent la première impulsion à la création de directions anormales de développement : ceux-ci précèdent toujours la formation des puissances psychiques névrogènes, par exemple aussi celles de la conscience morale. » ’

En 2000, R. Roussillon256 semble également remettre les positions de S. Ferenczi à l’honneur. Il reprend et développe une idée amenée par S. Ferenczi257 dès 1929, où s’articule l’incidence de la confrontation précoce à un environnement inadéquat, voire hostile, et la pulsion de mort. Il écrit258:

‘« Si Freud n’a jamais traité directement des effets d’un environnement hostile sur la psyché naissante de l’enfant, s’il en a toujours plus ou moins postulé l’environnement premier « suffisamment bon », il laisse en revanche entrevoir à différentes reprises dans les métaphores naturelles ou sociales comme de manière indirecte, c’est-à-dire ne venant d’aucun « objet » repérable ou repéré, que les temps premiers de la psyché pourraient être marqués par la nécessité de répondre à une menace de mort venue du dehors. La mort pourrait-elle venir aussi de l’objet premier, des objets parentaux premiers, sous forme de mouvements et de souhaits de mort en provenance de l’environnement primaire ? Ce qui est théoriquement difficile à envisager se retrouve en revanche en clinique où les objets peuvent ne pas être suffisamment bons, soit parce qu’ils sont défaillants, soit qu’ils soient activement destructeurs. » (…) « J’ai souvent remarqué que dans la clinique des mouvements mélancoliques, et des mouvements « suicidaires » que l’on peut alors observer, ou des mouvements ou des tentatives d’annihilation de soi qui leur sont cliniquement apparentés, ce mouvement, venu maintenant de l’intérieur comme sous l’effet d’une « pulsion de mort », était l’héritier direct d’anciens mouvements issus des objets maternel ou paternel intériorisés. ».’
Notes
242.

BOWLBY J., (1979), op.cit.

243.

SOLOMON J., GEORGE C., (1999), Attachment desorganization, New-York : Guilford Press

244.

SCHORE A.N., (1994), op.cit.

245.

MAIN M., (1986), Security in infancy, childhood and adulthood : a move to level of representation , in BRETHERTON I. and WATERS F. (eds) Growing points in attachment theory and research, Monographs of the society for research in child development, 50, 1-2, serial n°209, pp. 66-104, cité par HOKINS J., (1992), op. cit.

246.

BERGER M., (2008), L’écoute de l’enfant traumatisé. Le traumatisme psychique chronique, en cours de parution aux éditions Eres, coll. Mille et un bébés, Ramonville-Saint-Agne

247.

LYONS-RUTH et al., (1999), A relationship diathesis model of hostile-helpless states of mind : expressions in mother-infant interaction, in SOLOMON J., GEORGE C., (1999), Attachment desorganization, op. cit.

248.

BURNELL A. in ARCHER C., BURNELL A., (2008), op.cit.

249.

MAIN M., CASSIDY J., (1988), Categories of response to reunion with the parent at age 6 : predictable from infant attachment classifications and stable over a 1-month period, in Developmental Psychology 24, pp. 415-426

250.

SCHORE A. N., (1994), op. cit.

251.

LAMOUR M., (1990), Le bébé est-il fragile ?  in Devenir n°4, pp. 20-29

252.

FREUD S., (1926), Inhibitions, symptômes, angoisses, (2002) PUF, collection Quadrige, 5ème édition

253.

FERENCZI S., (1933), Laconfusion des langues entre les adultes et les enfants : le langage de la tendresse et de la passion, in Œuvres complètes, Tome 4 (1927-1933), (1982) Psychanalyse 4, Payot, Paris, 335 p.

254.

GUIMARES R., (2004), Plaidoyer pour une histoire et une clinique du trauma, Thèse de Doctorat de Psychologie, Université Lumière Lyon 2

255.

FERENCZI S., (1930), Principe de relaxation et néocatharsis, in Psychanalyse 4, op. cit.

256.

ROUSSILLON R., (2000), Paradoxes et pluralité de la pulsion de mort : l’identité de perception, in J. GUILLAUMIN et al., L’invention de la pulsion de mort, Dunod, Paris, pp. 71-87

257.

FERENCZI S., (1929), L’enfant mal accueilli et sa pulsion de mort, in Œuvres complètes, Tome 4, op. cit., pp. 76-81

258.

ROUSSILLON R., (2000), op.cit., (p. 86-87)