2.3.1. Analyse des seuils de concentration des populations pauvres

Nous considérons comme pauvre ou à faible revenu tous les individus gagnant moins de la moitié du revenu par UC médian de l’aire urbaine ou appartenant au premier quintile, en 2001 (Cf. chapitre 2). Dans les deux cas, la concentration des populations pauvres est nettement plus élevée à Marseille puis, dans une moindre mesure, à Lille, qu’à Lyon (Figure 40 et 41).

Figure 40 : concentration des populations pauvres (inférieur à la moitié du revenu médian)
Figure 40 : concentration des populations pauvres (inférieur à la moitié du revenu médian)

Source : données INSEE-DGI 2005