Université Lumière-Lyon 2
École doctorale : Lettres, langues, linguistique, arts
Faculté de lettres, sciences du langage et arts
Équipe de recherche : Passage XX-XXI
La parole mise au monde
Poétique de la parole dans l’œuvre de Francis Ponge
Thèse de doctorat en Langue et littérature française
Sous la direction de Bruno GELAS
Présentée et soutenue publiquement le 25 octobre 2008
Composition du jury :
Bruno GELAS, Professeur des universités, Université Lyon 2
Jean-Pierre BERTRAND, Professeur des universités, Université de Liège
Gérard FARASSE, Professeur des universités, Université du Littoral
Jean-Marie GLEIZE, Professeur des universités, École normale supérieure Lettres et Sciences Humaines

Contrat de diffusion

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Remerciements

Je tiens à exprimer ma reconnaissance au Professeur Bruno Gelas, qui a dirigé ma thèse, pour la confiance qu’il m’a témoignée constamment, y compris dans les premiers moments de mon travail, lorsque l’avancée en était très ralentie par le cumul de mes obligations professionnelles à plein temps et de mes obligations familiales auprès de très jeunes enfants. Son attention bienveillante, ses conseils précieux, la richesse de nos échanges m’ont soutenue tout au long de mon travail.

Je remercie également l’Université Lumière-Lyon 2 pour m’avoir accordé, en tant que doctorante, l’aménagement de service sans lequel je n’aurais pas pu mener à bien ma recherche.

Par son accueil chaleureux au sein du groupe de recherches pongiennes à l’E.N.S. et par ses encouragements sur mon travail, dont il a pu découvrir régulièrement les avancées dans le cadre de ce groupe, le Professeur Jean-Marie Gleize a joué, pendant toutes ces années, un rôle particulièrement stimulant.

Que trouvent également ici l’expression de ma gratitude tous ceux qui par leur aide amicale m’ont apporté un précieux concours, et tout particulièrement :

Serge Gaubert, dont l’attention chaleureuse, les relectures constantes, les suggestions et encouragements m’ont accompagnée à toutes les étapes de mon travail.

Benoît Auclerc, pour nos échanges stimulants sur la question du lecteur chez Ponge, ainsi que pour sa collaboration précieuse et ses relectures, dans les dernières étapes de ma recherche.

Yannick Chevalier, Jacques Huet, Chantal Michel, pour leur relecture attentive et amicale, et pour leurs encouragements.

Serge Molon, qui a accepté de consacrer de nombreuses heures à m’aider dans la mise en forme informatique de cette thèse, tâche dont je ne serais jamais venue à bout sans lui.

Que soient enfin remerciés tous mes proches et amis, et tout particulièrement Julien, Louise, Etienne, Yvonne et Didier.

Je voudrais rappeler, pour terminer, ce que je dois au Professeur Michel Collot : c’est en effet sous sa direction que j’avais entamé, il y a de nombreuses années, un premier travail de recherche sur Ponge, dont la présente étude s’est largement nourrie.