4. Pré : paradis de la parole ?

Avec « Le Pré » se configure un espace paradisiaque qui fait écho, en fin d’œuvre, à celui qu’évoquait originellement « La Promenade dans nos serres ». Mais la parole s’y déploie avec une liberté nouvelle et elle atteint, avec la notion d’ « onomatopées originelles », la dimension d’une recréation du monde. Entre « parole » et « paradis » la notion de parabole, tardivement introduite par Ponge, vient tisser un réseau de sons et de significations.